Vous pourrez trouver dans ce fonds de la correspondance liée à certains recteurs, des travaux scientifiques des années 1930 réalisés par des professeurs de l’ULB, des journaux “In Memoriam”, ainsi qu’une grande quantité de manuels d’instruction, publicités ou catalogues concernant des inventions des années 1900-1950.

La quasi-totalité de ce sous-fonds concerne des notices, brèves de presse, sélections dans des ouvrages de passages, ou items écrits tiers permettant de décrire une partie ou la totalité de la vie de journalistes (dont les noms constituent le titre des dossiers) relevés de son vivant par Bertelson.

Manuscrits autographes de Georges Khnopff, documents consacrés à celui-ci en particulier le mémoire d'Andrée Lenoir "Georges Khnopff, un esthète oublié" (deux copies datée de 1961 et un article rédigé ultérieurement et jamais publié). De la correspondance échangée entre celle-ci et des proches de Georges Khnopff.

Ensemble d'environ 140 lettres et cartes postales autographes adressées à Francis Lauters. Elles émanent essentiellement de journalistes-écrivains belges, tels que Fernand Bernier, Arthur de Rudder, George Garnir, Gérard Harry, Paul Hymans, Georges Hulin de Loo, Franz Mahutte, Sander Pierron, Victor Reding, Fritz Rotiers, Maurice Sulzberger ou encore Marguerite Van de Wiele. Cette correspondance présente un intérêt pour l'histoire de Bruxelles et de la presse belge.

Ce fonds rassemble des pièces collectionnées par le Baron Alexandre Jamar et liées soit à sa passion pour le livre et l'édition, soit à des personnalités de son époque. Il est majoritairement composé de lettres autographes signées, complétées par dix-sept portraits, une série de notices biographiques et des documents divers.

Le fonds comprend de la correspondance d'auteurs désireux d'être publiés. Les dossiers sont quelques fois complétés par des documents relatifs à la publication des ouvrages. Les auteurs concernés sont Julien de la Doès qui cherche à faire publié un ouvrage consacré à Julia Forest (lettres autographes), Ernest Delève pour l'édition de ses recueils de poésie "La belle journée", "Pura Seta", "Je vous salue Chéries".

Archives dédiées à Armand Henneuse et à sa maison d'édition "Les écrivains réunis". Sise à Paris, puis à Lyon, cette maison d'édition éditera principalement des poètes parmi lesquels Louis Aragon, Blaise Cendrars, Georges Duhamel, Paul Eluard, Géo Norge, Francis Ponge.
Outre des archives privées, le fonds reprend des documents concernant l'activité de l'éditeur et de l'écrivain.
Le fonds contient également des documents relatifs aux auteurs publiés, articles de presse et correspondance.
Cet ensemble comprend des manuscrits d'Armand Henneuse ainsi que des textes qui lui ont été soumis en vue d'une édition éventuelle et de la documentation personnelle.

Archives littéraires contenant un tapuscrit de l'ouvrage "Le masque de fer" accompagné de critiques de presse, d'avis et de correspondance relative à sa traduction en italien. Une étude non achevée sur le lieu de la sépulture du janséniste Antoine Arnauld. Deux exemplaires publiés du discours de M. Duvivier "Le Barreau et la nation" au barreau de Bruxelles. Le tapuscrit et de la correspondance, en particulier avec son ami Paul Spaak, relative à l'œuvre "Les histoires du notaire Bol" publiée sous le pseudonyme d'Emile Vandenbrouk. Les illustrations de cet ouvrage, signées J. Valcke ont été réalisées par Paul Spaak.

Correspondance autographe (1887-1924) de et à Célestin Demblon émanant de militants socialistes et journalistes liégeois.
Lettre d'Adolphe Daëns et Paul Janson.
Série de textes manuscrits (1880-1918), articles de presse originaux de et sur Célestin Demblon collationnés par Maurice Kunel son beau-fils et biographe (1890-1950).
Tapuscrit de Maurice Kunel "Un tribun : Célestin Demblon" qui sera publié à Bruxelles par la Fondation Jacquemotte en 1964.

Le fonds inclut la collection complète de son pamphlet "Le Brûlot" qu'il édita de janvier 1936 à sa mort en 1998 (350 numéros), des cartes postales, timbres réalisés par l'auteur, une série d'études et de publications consacrées au Brûlot.
Des documents relatifs à l'œuvre de son épouse Ginette Litt et à celle de son père le peintre Henri Litt.

Les archives sont principalement des documents écrits : on retrouve des tracts, des périodiques, des communiqués et des articles manuscrits ou dactylographiés de la part du CNP, d’autres groupes de solidarité palestinienne et d’organisateurs d’évènements plus officiels. La correspondance belge et étrangère de ce fonds est très riche et fait partie intégrante des activités faites par ces groupes de solidarité. A côté de cela, vous retrouverez une presse conservée au fil du temps par le CNP.
Par ailleurs, des documents iconographiques comme des photographies, des affiches et des prospectus de sensibilisation sont des traces des activités faites par les groupes de solidarité palestinienne et par le CNP. Cependant, des documents administratifs de la structure du Comité National Palestine complètent les activités du comité.

Le fonds comporte de nombreuses productions artistiques uniques, dactylographiées ou manuscrites, du poète parmi lesquels on peut trouver autant des pièces de théâtre que des poèmes personnels ou de la main de ses amis ou des textes brefs, produits sur des formats divers, pouvant aller de la simple page A4 aux feuilles volantes de petit format. On peut également y trouver sa correspondance personnelle, entrante mais surtout sortante compte tenu de l’assemblage non conventionnel de ce fonds. Y figurent donc des lettres destinées à son frère Gilbert Périer et son ami Éric de Hauleville, par exemple. Il contient également des carnets étudiants et des revues produites en collaboration avec ses amis. Une importante partie de ces documents sont accompagnés d’une copie dactylographiée. Les copies ont été ajoutées au fonds bien qu’Odilon-Jean Périer n’en soit peut-être pas l’auteur. Des ouvrages édités ainsi que son fameux jeu de carte A tous hasard, réédités en 1995 par la maison d’édition Les Silènes, complètent sa production littéraire. En plus de ses œuvres littéraires, quelques dessins de la main de l’auteur sont présents et témoignent de sa polyvalence. Une photo de sa maison au Zoute, deux affiches des Forgerons, des faireparts de décès et des hommages complètent le fonds.
Les archives récoltées contenaient des documents appartenant à Madeleine Defrenne, biographe de Odilon-Jean Périer mais également de la correspondance postérieure à la mort du poète entre ses amis. Enfin, elles contenaient également des cahiers et poèmes manuscrits de Joseph Desgenêt ainsi que de Gilbert Périer, le frère de Odilon-Jean. Ces documents ont été retirés du fonds et sont conservés au service des archives de l’Université libre de Bruxelles, ils seront inventoriés ultérieurement.

Ce fonds contient essentiellement les papiers de Ernest, Georges, Jean et Baudouin, et dans une moindre mesure de Nicolas, Maximilien, Alfred, Léon, Fernand, Henri, Guy Defuisseaux et de Lucienne Blanjean, Eulalie Leblanc.
Ce fonds recoupe 5 générations et reprend les familles collatérales.

Le fonds renferme un ensemble de documents liés, dans une large mesure, à l’activité scientifique, administrative et financière des Instituts Internationaux de Physique et de Chimie Solvay (IIPCS). Nous y trouverons, par exemple, une abondante correspondance entre les membres des commissions administratives et scientifiques ; des procès-verbaux des commissions, des programmes de chaque conseil ainsi que les listes des membres participants... Une majorité des pièces du fonds consiste toutefois en de la correspondance entretenue par les présidents et les secrétaires de chaque commission avec des acteurs du monde scientifique en physique et en chimie — qu’il s’agisse de lettres à caractère administratif ou directement scientifique ; ainsi que des échanges liés aux activités des IIPCS dans le monde scientifique, dans sa relation avec d’autres organisations scientifiques ou d’autres membres de la scène scientifique internationale tant en physique qu’en chimie. Les pièces les plus anciennes remontent à 1910, tandis que les plus récentes sont produites en ce moment même puisque les IIPCS existent toujours et que ce fonds est encore ouvert. La plupart des documents conservés aux Archives de l’ULB appartiennent à la période 1910-2004 ; nous supposons par ailleurs que le fonds est lacunaire (il manque des réponses à des lettres, des documents lors des périodes importantes [des semaines voire des mois ou des années de trous dans les archives]. En outre, la plupart des fils de correspondance conservés dans le fonds présentent des manques.
Ce vaste ensemble documentaire témoigne cependant de l’intense participation des IIPCS et de ses acteurs à la vie intellectuelle et aux avancées scientifiques de leur temps tant en physique qu’en chimie.

Le fonds est constitué de 8 fardes qui contiennent au total 11 numéros d'inventaire. En général, il s'agit des procès-verbaux des assémblées générales de l'Association et des rapports sur sa situation. Deux exceptions sont réprésentées par les lettres (à M. Bougnié, lui faisant rémarquer qu'il ne pouvait être à la fois membre de l'Association et membre d'une société politique et éléctorale à Bruxelles; et d'Emile De Mot annonçant l'envoi de trois régistres ayant apartenu à l'Association en 1846-1847).

Le fonds d'archives concerne essentiellement les archives de l'administration centrale de l'Université Nouvelle (Comité Central, Corps Professoral, etc.) et son ancienne bibliothèque (discours inauguraux, thèses, etc.) mais peu de pièces relatives à ses facultés, écoles et instituts. De ces pièces, il ressort une interrogation constante sur l'enseignement et le développement des disciplines, dont la sociologie. En outre, la participation de nombreuses personnalités politiques (par exemple, Edmond Picard et Paul Janson) et scientifique (en particulier, Guillaume De Greef) relève d'autant plus l'intérêt de ce fonds. Ces archives, s'étendant de 1894 à 1919, fournissent donc un témoignage irremplaçable de la vie et de la mentalité de la Belle Epoque mais surtout des débats relatifs à l'enseignement supérieur durant la Première Guerre mondiale, l'Université Nouvelle étant une des rares institutions de ce type à continuer le travail.
Pour l'administration centrale, la correspondance et les comptes forment le gros du fonds de 1907 à 1919. Cependant, pour la période antérieur à 1907, c'est-à-dire avant le déménagement de l'Université Nouvelle vers le bâtiment donnant à la fois sur le 90, avenue Louise et sur le 67, rue de la Concorde, une grande partie des documents est perdue. A noter aussi, la conservation de l'ensemble des dossiers étudiants des origines à sa fermeture. En ce qui concerne la partie « bibliothèque » du fonds, il est à noter que l'on conserve pratiquement l'ensemble des thèses défendues dans l'institution. En outre, on conserve également l'ensemble des discours de rentrée, révélateur des considérations de l'époque.