Ce fonds consacre l’activité professionnelle d’André Jaumotte. D’ailleurs, les documents les plus anciens sont ses bulletins à l’Athénée de Saint-Gilles. Les archives de type familial sont absentes de ce fonds. Toutefois, le fonds est riche en documents autobiographiques révélant son analyse personnelle de ses diverses activités scientifiques. Comme évoqué plus haut, les archives sont composées de travaux scientifiques ainsi que de documents concernant sa carrière au sein de l’Université, du monde industriel et des institutions scientifiques. Après tri et classement, les archives s’étendent sur 16,4 mètres linéaires, débutant avec ses bulletins scolaires de 1927 pour se clôturer en 2016 avec ses activités dans les fondations scientifiques.

Les archives de Paul Kipfer se répartissent en deux grandes parties. La première, qui est la plus petite, couvre ses activités d'enseignant et de chercheur à l'ULB. Elle contient en particulier des documents sur l'organisation de l'enseignement pendant la Seconde Guerre mondiale.

La deuxième partie concerne les activités professionnelles de Kipfer à l'extérieur de l'ULB. Elle porte pour l'essentiel sur les activités de recherche et de mesure du radium au sein de l'Union Minière du Haut-Katanga (UMKH). L'ensemble est assez technique et demande des connaissances minimales en physique et en chimie.