Docteur en économie (KUL et LSE, 1992)
Licence en biologie (2003), Master en psychologie (2007), Docteur en psychologie [2010]
Docteur en sciences psychologiques (2000)
Bruxelles, le 21 septembre 1877 - Aix-les-Bains, le 22 juin 1951
Officier du génie (Ecole militaire).
Bilzen, le 26 mai 1871 - Anvers, le 25 février 1968
Docteur en philologie germanique (Liège)
Camille fonde en 1926, l’École supérieure de la Cambre qui eut comme premier directeur Henry van de Velde.
Dinant, le 25 octobre 1891 - Bruxelles, le 31 décembre 1969
Fait ses études à l'Université libre de Bruxelles de 1910 à 1914 qu'il interrompra pour s'engager en qualité de volontaire à la guerre de 1914-1918 ; Docteur en philosophie et lettres (1919)
De 1940 à 1945, il enseigne aux Etats-Unis d'Amérique, sous la patronage CRB, à la New School for Social Research, New York et à Claremont Colleges, Claremont (Cal.). Il est co-directeur de la revue Le Flambeau.
Huy, le 20 juillet 1885 - Bruxelles, le 8 avril 1959.
Gustave Charlier (1885-1959) est né à Huy le 20 juillet 1885 d’un père instituteur. Après un parcours brillant à l’athénée de sa ville natale, il s’inscrit à l’Université de Liège en philologie romane. Section créée par Maurice Wilmotte. Il s’oriente ensuite vers l’histoire de la littérature moderne et y présente sa thèse de doctorat en 1908 intitulée Le sentiment de la nature chez les romantiques français. Cette thèse sera remaniée sous la direction de Gustave Lanson et éditée dans les Mémoires de l’Académie Royale de Belgique en 1912. Après ses études, Gustave Charlier complète sa formation à Paris, Florence et Bonn. De retour à Bruxelles en 1912, il entame une carrière de professeur à l’Université libre de Bruxelles qu’il maintiendra jusqu’à sa retraite en 1955. Il y crée en 1920 la section de philologie romane et sera également président de la Faculté de Philosophie et Lettres. Il continuera parallèlement à produire des ouvrages scientifiques. Gustave Charlier décède à Bruxelles le 8 avril 1959.
Bléré, le 31 août 1861 - Paris, le 8 juin 1933
De nationalité française, P. Sollier fait des études de médecine à Paris, où il soutient en 1891 une thèse sur la psychologie de l'idiot et de l'imbécile. Dès la fin du siècle, il partage ses activités entre Paris et Bruxelles; d'un côté, il dirige un sanatorium/clinique psychiatrique réputé à Boulogne-sur-Seine, — il y accueillera notamment Marcel Proust — ; de l'autre, il assure, dès 1897, divers enseignements et fonctions administratives au sein de l'Institut des Hautes Études de Belgique.
Wasmes, 29 avril 1901 - Bruxelles, 1 février 1979.
Docteur en droit (ULB, 1923)
Originaire du bassin hennuyer, Jean Baugniet fait ses humanités à l’Athénée royal de Mons avant d’entreprendre un cursus de droit à l’Université libre de Bruxelles. Au cours de ses études, Il participe à la fondation de la Confédération Internationale des Etudiants (CIE) dont il occupe la présidence pendant huit ans. Proclamé docteur en droit en 1923, Jean Baugniet entame une carrière juridique comme avocat près la Cour d’Appel. Dix ans plus tard, en décembre 1933, il débute sa carrière de professeur au sein de son alma mater, en tant qu’assistant du professeur Paul Vander Eycken au cours de droit commercial comparé de la Faculté de Droit. Cette nomination fait suite à seconde en 1934 comme assistant au cours de droit notarial et ce, pour quatre années. En juillet 1936, il embrasse la fonction de chargé de cours et dispense les leçons de « Rédactions et applications d’actes en langue française » et de « Procédure notariale en langue française ».
Durant l’été 1941, sur proposition du Bureau de la Faculté de Droit, Jean Baugniet accède à l’ordinariat. En octobre de la même année, il lui est demandé d’assurer la suppléance du cours de « Loi organiques du notariat » dispensé par Camille Hauchamps, alors malade. Néanmoins, face à la pression exercée par l’occupant allemand sur la gestion de l’Université, le Conseil d’Administration, en date du 24 novembre 1941, vote la suspension des cours à l’unanimité. À la libération, il prend officiellement la suppléance du cours de « Lois organiques du notariat » à la Faculté de Droit et celui de « Droit Commercial » à l’École de Commerce.
En juillet 1947, Jean Baugniet est désigné recteur de l’Université pour trois ans. À la suite de son rectorat, il assume conjointement à sa fonction de pro-recteur, la qualité de membre du Conseil d’administration du Centre Scientifique et médical de l’ULB en Afrique Centrale (CEMUBAC) et de la commission coloniale de l’Université. Parallèlement à ses fonctions universitaires, il assure également la présidence de la commission nationale de l’UNESCO en 1954. Il poursuit ses hautes fonctions académiques comme vice-président puis président de la Faculté de Droit d’une part, et président de l’École des Sciences criminologiques Léon Cornil d’autre part. En juin 1968, alors qu’un vent de révolte souffle sur le campus, Jean Baugniet devient président du Conseil d’Administration de l’Université.
Ce mandat présidentiel prend place dans un contexte singulier. L’Université, à partir du mois de mai 1968, est en effet perturbée par la vague internationale de protestation étudiante. Ce mouvement de contestation, inspiré des évènements de mai 68 en France, dénonce le manque de démocratie interne à l’Université. Durant une cinquantaine de jours, l’auditoire principal du campus du Solbosch est occupé par les protestataires ; des assemblés libres y sont organisées en vue de penser l’université réformée. Jean Baugniet, nommé président du Conseil à la suite de la démission de Felix Leblanc au début des protestations, se voit attribuer la tâche délicate de concilier les positions traditionnelles des uns et réformistes des autres. Avant d’accéder à l’honorariat en juin 1971, il sera donc témoin de la réforme des structures de l’Université vers une plus grande représentativité étudiante.
Bruxelles, 5 mars 1955 -
Physicien théoricien. Docteur en sciences (Ulb, 1980). Directeur des Instituts internationaux Solvay de physique et chimie (2004)
L'Institut des Hautes Études de Belgique, fondé en 1894, a été constitué en association sans but lucratif, jouissant de la personnalité civile, par acte de Me Hauchamps en date du 29 décembre 1922 ("Moniteur Belge" du 20 janvier 1923). L'Institut a pour but d'organiser des conférences de niveau universitaire, des colloques internationaux, journées d'étude, tables rondes, séminaires, débats, etc ainsi que des cours ne faisant pas partie des programmes universitaires.
Durant l’année 2014-2015, la Faculté de Philosophie et Lettres et la Faculté des Sciences sociales et politiques se sont structurées de manière à intégrer les enseignements de traduction et interprétation de l’ISTI et de l’Institut Cooremans à l’ULB. Deux nouvelles structures facultaires ont été créées : la Faculté de Philosophie et Sciences sociales et la Faculté de Lettres, Traduction et Communication.
Ensival (Verviers), le 8 avril 1876 - Ixelles, le 25 novembre 1959.
Ingénieur civil des mines (Université de Liège, 1900), Ingénieur géologue (Ulg, 1902)
Bruxelles, le 7 janvier 1893 - Bruxelles, le 14 juillet 1978
Docteur en médecine, chirurgie et accouchements (ULB, 1921).
Docteur en droit (ULB, 1999), maître en philosophie (1993, Paris) et licencié spécial en droit économique (1990, ULB)
Stavelot, le 23 octobre 1858 - id., 25 juin 1944.
Pharmacien (ULg, 1879), continue ses études à l'Université de Strasbourg (1879-1882) et à l'Institut chimique de Bonn.
Chimiste, il fonde la Société chimique de Belgique en 1904, qui, en réalité, est une refondation de l'Association belge des chimistes. Il mène l'essentiel de sa carrière professorale à l'École militaire de 1893 jusqu'à sa retraite en 1928. Entretemps, il occupera la chaire de chimie à l'Université libre de Bruxelles de 1904 à 1906.
Lionel-Édouard Wiener, Bruxelles 13 avril 1879 - Bordeaux 5 septembre 1940. Ingénieur, professeur à l’ULB, écrivain, musicien, collectionneur.
Lionel Wiener naît dans une famille réputée dans divers domaines. Les arts, il est le petit-fils du graveur Jacques Wiener. Les finances, fils d’Édouard Wiener vice-président du Crédit général liégeois et administrateur de la Banque de Bruxelles. La politique par son oncle Sam Wiener sénateur de l’état indépendant du Congo et finalement la littérature via son cousin Franz Wiener pseudonyme de Francis de Croisset.
Ces nombreuses influences contribuent à l’épanouissement artistique de Lionel Wiener. Sous le pseudo Lionel Renieu, il publie une “Histoire des théâtres de Bruxelles” et prépare une “Histoire des théâtres de Paris” et une “Histoire des théâtres de Londres” qu’il n’a pas pu éditer.
Autre aspect de sa personnalité, Lionel Wiener est collectionneur : papillons, cartes postales, tickets de chemin de fer. Il quitte la Belgique à l’annonce de la seconde guerre mondiale pour Bordeaux.
Diplômé de l'Institut supérieur d'architecture La Cambre (1989)
Créé en 1976 sous l'impulsion de Charles de Coster. Le Cercle sera officialisé sous la présidence de Michèle Descy et Evelyne Engels.
La couleur du Cercle est le mauve, comme les mathématiciens.
Le cercle se propose de rassembler toutes les personnes intéressées dans ce domaine. Pour ce faire, des soirées d'accueil, des programmes culturels et des soirées TD, banquet ou bal annuel sont organisées chaque année.
Doctorat en sciences politiques et relations internationales (Sciences Po, Paris, 2009)
Homme politique socialiste belge, né 6 octobre 1869 à Hornu et décédé le 19 juillet 1948 à Knokke. Marius Renard est également enseignant, professeur et journaliste, illustrateur et romancier.
Né le 23 août 1835 à Tournai, décédé le 26 juin 1900 à Bruxelles. Homme d'État belge et homme politique libéral
La couleur du cercle est le vert (toile). Il publie La Betterave suave très irrégulièrement.
Fondé en 1887 par Dwelshauwers. Cercle qui a comme ambition de rassembler toutes les facultés le plus également possible.