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Correspondance militaire et privée. Arbre généalogique

Textes autographes dont le manuscrit de sa thèse d'agrégation défendue à l'Université libre de Bruxelles en 1859, un dossier de correspondance de et à Jules Bara (1862-1895), 7 textes dont deux conférences données à la loge "Les Vrais Amis de l'Union et du Progrès de Bruxelles" et 3 discours maçonniques

Le fonds constitue une source de première valeur pour l'histoire politique de la Belgique entre 1847 et 1894. La documentation, de première main, accumulée par Frère-Orban, fournit des informations relatives aux rapports avec la Cour, les cabinets ; à la constitution, au programme et aux difficultés internes des différents ministères, qui se sont succédés de 1847 à 1884 ; aux lois et réformes électorales ; à la question linguistique ; aux élections législatives ; à l'évolution des partis politiques ; à la question scolaire ; à la question militaire ; aux problèmes financiers ; aux statuts des chemins de fer ; à certaines questions sociales comme les grèves et le travail des femmes dans les mines et manufactures ; et enfin aux relations entre l'Eglise et l'Etat. Sur la politique étrangère, les archives contiennent aussi des détails sur l'incident franco-belge de 1869 et sur L'Echange de Vues avec le Vatican.
Des lettres originales adressées par Frère-Orban à L. Trasenster, N. Delfosse, Th. Fléchet et d'autres, ainsi que des autographes de Léopold Ier de la reine Marie-Louise se trouvent dans la partie VI.

Les documents de natures différentes (programmes de cours, articles, correspondance, études, cahiers de note, carnets de note, comptes-rendus d'ouvrages et articles, fiches de lecture, syllabi, bibliographies, observations, photographies, planches, dessins, etc.) sont classés :

• par thématiques (force vitale, biologie humaine et animale, optimum, sciences botaniques et non botaniques, chimie, physiologie végétale, vie et société, antisémitisme, activités professionnelles, prix, commémorations, etc.)
• par support (travaux, conférences, cours, notices bibliographiques, lettres, etc.)
• par ordre chronologique sommaire et dans plusieurs langues et techniques d'écriture (français, anglais, allemand, norvégien, italien, sténo, etc.)

Notes scientifiques relatives aux conditions de travail depuis l'Antiquité, aux classes ouvrières, aux classes rurales.
Cette documentation est puisée dans la très grande majorité dans des publications et auteurs français, et en diverses coupures hors des journaux de son époque.
L'écriture est assez difficile à lire car ce sont des notes de travail avec pas mal d'abréviations.

2 lettres

Correspondance et quelques photos

Ce fonds contient des informations pour l'écriture du texte sur l'histoire de la franc-maçonnerie belge au 18e siècle.

Le fonds est constitué pour l’essentiel de notes et de brochures de Friedrich Delitzsch (1850-1922) concernant des études sur les langues anciennes du Proche-Orient et de l'Ancien Testament, et des recherches archéologiques de Raymond Weill (1874-1950)

Comme explicité ci-dessus, le fonds d’archives d’Herbert Speyer contient des documents qui se trouvaient au domicile d’Herbert Speyer lors des spoliations nazies durant la Seconde Guerre mondiale : il s’agit des documents qui n’ont pas été détruits par Madame Dupon-Godart, secrétaire d’Herbert Speyer. Les documents composant ce fonds d’archive semblent être en lien avec sa vie professionnelle et ses diverses activités. Il s’agit majoritairement de documents écrits : de la correspondance, des discours et autres types de textes dactylographiés, des documents parlementaires, des notes manuscrites ou encore des articles de presse. Toutefois, ce fonds d’archives comprend également des documents d’autres natures telles qu’une carte ou des bons aux porteurs.
Ces documents sont répartis dans 16 fardes lorsqu’ils reviennent de Russie. Celles-ci semblent respecter l’ordre dans lequel les documents ont été transférés après la guerre. Il ne semble en tout cas pas y avoir de trace de classement ni d’Hebert Speyer (excepté des feuilles pliées qui devaient servir de page de garde et qui ont été retirées du fonds) ni des nazis. Dès lors, il semblerait que les archivistes soviétiques aient simplement reconditionné les documents dans des fardes – ils ont numéroté chaque document (dans le coin haut droit) en recommençant la numérotation à 1 à chaque farde – sans les reclasser. En effet, les fardes reprennent des documents portant sur une même thématique – excepté la farde 5, voir ci-dessous –, mais aucun classement spécifique n’a été réalisé : les documents ne sont pas mis dans l’ordre chronologique ni par type de document. Il faut également noter que la quantité des documents dans chacune des fardes est variable et que la numérotation des fardes n’est pas forcément liée aux thématiques(10).

10. Voir annexe 1 et 2. (dans l'Instrument de recherche disponible pour téléchargement sur la barre de navigation de droite)