Le Cercle a pour but de de partager leur passion pour les Arts, l’Archéologie et la Culture, et se destine à promouvoir la culture sous toute ses formes auprès des étudiants de l'ULB. Il a son propre journal La Chaarue.
Bruxelles, le 2 avril 1910 - Braine-le-Comte, le 1er avril 2000.
Zoologiste et professeur à l’Université libre de Bruxelles. Elue membre correspondant de la Classe des sciences de l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique, le 13 décembre 1975,
Diplômé en langues et littératures classiques (ULB 1997) et langues et littératures orientales (ULB 1999). Docteur en langue et littérature (ULB, 2004)
Docteur en sciences de la motricité (ULB, 2007)
Docteur en santé publique
Licence en Sciences zoologiques (1979), agrégation en sciences biologiques, Docteur en Sciences zoologiques (1988)
Doctorat en science politique (Paris, La Sorbonne, 2001)
Licenciée en science politique (Université de Bucarest, 2001) ; Master en politique européenne de l’Institut d’études européennes (ULB, 2003) ; docteur en Sciences politiques et sociales (ULB, 2008).
Docteur en droit (2016, Université libre de Bruxelles et Université de Genève)
Licenciée en droit (ULB, 1977) ; licenciée spéciale en droit économique (ULB, 1979) et docteur en droit (ULB, 1990)
Au début des années 60, après l’entrée en vigueur du Traité de Rome, les autorités académiques de l’ULB ont souhaité créer un Institut d’études européennes. L’Institut est officiellement inauguré le 27 février 1964.
Ce centre se concentre sur les questions européennes principalement à travers quatre disciplines : le droit européen, les sciences politiques, l’économie et l’histoire. Centre de recherche et d’enseignement, il forme les spécialistes des questions européennes.
Le Centre a d’abord existé en tant que section juridique de l’Institut d’Études Européennes. Il existe en tant que Centre rattaché à la Faculté de droit et de criminologie depuis 2015.
C'est en 1963 que l'Université libre de Bruxelles décide, sur proposition de la faculté de Médecine, de transformer l'Institut d'Hygiène et de Médecine Sociale en "École de Santé publique." Cette école réunit trois services de la Faculté de médecine : le Laboratoire d'hygiène de Médecine du travail, le Laboratoire de médecine sociale et le Laboratoire de statistique médicale.
En plus des champs d'études et de recherches, ces services assumaient de nombreux autres domaines d'enseignement et de formation des médecins et des personnels de soins. Parmi eux : l'administration et la gestion des hôpitaux, des services infirmiers et d'autres institutions de soins, la planification de la santé, la santé de l'enfant et de la famille, les soins de santé mentale, la prévention et l'éducation pour la santé, l'habitat et l'environnement...
Licencié en sciences géographiques (ULB, 1988), Docteur en Sciences (Orientation Sciences Géographique) (ULB, 1994)
Economiste (Université Louis Pasteur, Strasbourg, France, 1995), Master en Sciences, Techniques et Sociétés (Ecole Polytechnique fédérale de Lausanne, Suisse, 1996), doctorat en Sciences et gestion de l'environnement (ULB, 2007)
Docteur en médecine (ULB, 1885)
Charles, inscrit en 1878 en médecine à l'Université libre de Bruxelles, diplômé en 1885
Docyeur en sciences chimiques
Les prémices de la création du mouvement syndical étudiant à l'ULB commencent en octobre 1960 avec la mise en place d'un Comité estudiantin de Revendication (CER). Cette première organisation syndicale cherche à améliorer la situation matérielle des étudiants. Le CER appellera à la participation des étudiants lors de la grande grève de 1960/1961, et beaucoup de ceux-ci répondront présents. Ceci, et la démocratisation de l'enseignement supérieur qui a débuté dans les années 50, permettant à des étudiants issus de classes sociales moins favorisées de s'inscrire à l'université, entraîne le développement d'une conscience syndicale au sein du milieu étudiant.
C'est ainsi qu'en octobre 1961, un groupe de militants du CER crée l'Union Générale Syndicale (UGS). L'UGS met deux revendications en avant : la démocratisation ainsi que la réforme du système d'enseignement et le combat avec la classe ouvrière pour faire sauter les structures sociales mises en place par la bourgeoisie. En novembre 61, l'UGS et le Brussels studentengenootschap (l'équivalent de l'AG pour les flamands) créent ensemble une Centrale d'achat, qui a pour but d'offrir aux étudiants des tarifs avantageux sur toutes sortes de biens (alimentation, cours, impressions...), elle sera par la suite intégrée aux service de l'ULB.
Des premières actions sont mises en place pour obtenir une réduction des prix sur les cours aux Presses et une réduction des tarifs au restaurant universitaire. L'Union prendra également contact avec le Ministère de la Prévoyance sociale afin de discuter des problèmes de sécurité sociale pour les étudiants (présalaire, soins médicaux gratuits...). Concernant la politique de l'ULB, l'UGS exige la cogestion, avec une représentation étudiante au Conseil d'administration. En 1962, l'Union compte plus de 2000 membres cotisants, et commence une unité d'action avec la CGSP-ULB. La réforme de l'AG qui a lieu la même année permet la création d'une Commission syndicale de l'AG (CoSAG) qui se rapproche de l'UGS , et certains membres de ce dernier deviennent membre du bureau exécutif de l'AG.
Suite à la première année d'actions syndicales à l'université les autorités prennent des mesures limitant le nombre d'affiches sur le campus et interdisant la vente de journaux politiques. En 1963, l'UGS dépose au Conseil d'administration de l'ULB un mémorandum concernant la cogestion, la réforme de la sécurité sociale et une critique de la cité des filles. Ne recevant aucune réponse, les étudiants organisent une grève avec le soutien de la CGSP-ULB. Cette proximité entre l'UGS et la CGSP amène à l'idée d'une intégration de l'Union à la CGSP en tant que secteur étudiant. Cependant, cette proposition divise fortement les membres de différentes tendances (socialistes et communistes) de l'UGS, et les relations internes se détériorent. En février 1964, le bureau de l'Union démissionne et l'UGS disparaît.
Mais déjà en septembre 1964 un nouvel organisme syndicale est créé, le Comité d'Action Etudiant, qui a pour but de jeter les bases pour une nouvelle organisation syndicale étudiante stable, tout en attaquant la politique sociale des autorités académiques. C'est sur base de ce Comité qu'en février 1965 l'Union Etudiante Syndicale (UES) est créée. Celle-ci adopte les structures d'un syndicat et affirme sa volonté d'intégration au sein du syndicalisme des travailleurs.
De nombreux travaux seront entamés pour intégrer l'UES à la CGSP, mais une motion dans ce sens est rejetée par cette dernière, qui renvoie la responsabilité de la création d'un secteur étudiant à la FGTB. Malgré ces déboires, l'UES entame des actions syndicales avec les jeunesses syndicales de la FGTB liées à la démocratisation de l'enseignement, et continue ses actions aux côtés de la CGSP. En 1966, la FGTB pose les conditions pour la création d’un secteur étudiant en son sein, mais celles-ci ne plaisent pas à l’Union. En effet, la FGTB veut développer ce secteur sur des bases neuves, sans passer par l’UES et ce secteur serait au niveau présyndical, alors que l’UES voulait être sur un pied d’égalité avec les secteurs professionnels. Cet épisode marque la fin des tentatives d’intégration au sein d’un syndicat national.
A côté de son implication au niveau de la politique sociale étudiante, l’Union s’engage également contre la guerre du Vietnam. En 1968, l’UES sera très occupée avec la crise de Leuven et réclamera le dédoublement linguistique des universités de Louvain et Bruxelles. Pour ces occasions, de nombreuses manifestations et grèves seront organisées, et celles-ci continueront lors des évènements de Mai 68. L’UES disparaitra peu après, et les raisons de cette disparition restent assez floues.
Les premières années de la Faculté ne comportaient que les enseignements suivants: l'algèbre, l'astronomie, la géométrie et la trigonométrie, la chimie, la physique, la géologie, la botanique, la zoologie et l'anatomie comparée. D'autres disciplines se sont développées à partir du XXe siècle.
Pierre Gourou, géographe et professeur à l'Université libre de Bruxelles, est né le 31 août 1900 à Tunis. Licencié en histoire et géographie de l’Université de Lyon (1919) et d’études supérieures dans les mêmes matières (1920), il est élevé au grade d’agrégé d’histoire et géographie en 1923. Il débute sa carrière professorale à Tunis, puis il enseigne à Saigon, Hanoï. Durant cette période, il continue ses recherches qui aboutissent à la soutenance d’une thèse à la Sorbonne qui sera ensuite publiée sous le titre Les Paysans du Delta tonkinois (1936). A cette date, Pierre Gourou rejoint l’Université libre de Bruxelles et prend la succession des enseignements de géographie, laissés vacants par Alfred Hegenscheidt, et participe à la direction de l’Institut de géographie. Durant la Seconde Guerre mondiale, il continue son enseignement d’abord à Montpellier puis à la Faculté des Lettres de Bordeaux en 1942. Spécialiste de l’Indochine, Pierre Gourou s’ouvre à l’étude de l’Afrique lors d’un séjour à Dakar en 1945. Ce voyage est une contribution importante pour la réalisation de son ouvrage Les pays tropicaux, principes d’une géographie humaine et économique (1947) qui lui vaut le Prix Paul Peillot et son entrée au Collège de France.
En octobre 1945, il regagne Bruxelles et ses activités de recherche et d’enseignement à l’université qui se centrent de plus en plus sur les territoires du Congo. À la demande de l’Institut royal colonial belge, Gourou reçoit la tâche de réaliser un atlas du Congo. Dans cette perspective, il effectue un premier long voyage en 1949 pour l’établissement des cartes de son atlas. Ces voyages donneront également lieu à la publication d’une importante étude intitulée La densité de la population rurale au Congo belge (1955), recherche qu’il applique également au cas du Ruanda-Urundi. Aussi, Pierre Gourou dirige la section géographie du CEMUBAC et de ce fait, dirige la politique d’envoi de jeunes géographes au Congo. Durant ces années, il participe à de nombreux projets scientifiques internationaux et devient l’un des spécialistes de la discipline géographique centrée sur l’Afrique. Son ouvrage L’Afrique est ainsi publié en 1970 chez Hachette. La même année, il prend sa retraite, mais continue à développer son travail de publication et de recherche. Il publie notamment les ouvrages Pour une géographie humaine (1973) ou encore L’Amérique tropicale et australe (1976). Pierre Gourou décède le 13 mai 1999 à Bruxelles.
Bruxelles, 7 janvier 1903 - 1 juillet 1985.
Doctorat en sciences physiques et mathématiques (ULB, 1926)
Venise, 20 juillet 1834 - Bruxelles, 11 décembre 1880
Banquier, financier.
Rejoint Bruxelles en 1856 pour effectuer un stage chez Joseph Oppenheim.
Co-fondateur de la Banque de Bruxelles le 13 novembre 1871.
Ixelles, le 18 mars 1902 - Uccle, le 2 août 1963
Docteur en philologie germanique (ULB, 1925), Docteur en droit (ULB, 1925), licenciée en droit maritime (ULB, 1925), licenciée en économie financière (ULB, 1925), licencié en sciences coloniales (ULB, 1927), licencié en sciences administratives (ULB, 1927), licencié en sciences économiques (ULB, 1928), docteur en sciences économiques (ULB, 1929)
Juge d'instruction
Louvain, 21 août 1813 - Bruxelles, 13 décembre 1891.
Médecin et chimiste analytique (Université de l'Etat de Louvain, 1835).
Connu pour ses travaux sur la masse atomique des éléments chimiques et ses recherches sur les poids atomiques.
Il intervient comme expert dans le procès du vicomte de Bocarmé, accusé d'avoir empoisonné son beau-père, Hyppolite Visart, à l'aide de nicotine (1850)
Utilisant les outils de la sémiologie, de la sociologie et de l’analyse de discours, les chercheurs de ReSIC y mènent des projets de recherche fondamentale et appliquée autour de la culture, des médias et des technologies.
Bruxelles, le 26 juin 1863 - Bruxelles, le 5 mai 1945
Docteur en sciences naturelles (ULB, 1884), Docteur spécial en sciences zoologiques (ULB, 1888)
Jassy (Roumanie) 18 juin 1908 - 14 février 1983
Docteur en Sciences économiques (ULB, 1931)
Bienne (Suisse), le 11 mars 1905 - Bruxelles, le 14 janvier 1980
Diplômé en Sciences physiques et mathématiques de l'Ecole polytechnique fédérale de Zürich.
Anvers, 23 mai 1909 - Braine-l'Alleud, 3 décembre 1996.
Ingénieur civil. Assistante pendant 45 ans auprès du professeur Piccard à la Faculté des Sciences appliquées de l'Université libre de Bruxelles.
Deux-Acren, le 31 mars 1909 - Bruxelles, le 11 juin 1991
Docteur en sciences physiques et mathématiques (1931)
Biernatki (Pologne), 2 janvier 1922 - Bruxelles, 7 janvier 1994
Ingénieur civil mécanicien.
Bruxelles, 19 août 1872 - 11 mai 1957
Docteur en sciences physiques et mathématiques (ULB, 1899)
Physicien, mathématicien et chimiste belge. Membre de l’Académie royale de Belgique, astronome correspondant de l’Observatoire royal de Belgique (1929)
Géologue, ingénieur des mines et professeur à l’Université libre de Bruxelles, Maurice Robert est né à Stambruges le 19 février 1880 et décédé à Ixelles le 27 octobre 1958. Après des études effectuées aux écoles normales de Namur et de Gand et un doctorat en géographie à l’Université de Gand (1905), le professeur et géologue Jules Cornet le pousse à suivre le cursus d'ingénieur-géologue à l'École des Mines de Mons tout en travaillant pour lui en tant qu'assistant. Maurice Robert sort diplômé de l'École des Mines de Mons en 1908. Grâce au soutien de Jules Cornet, il enseigne la géographie et la géologie du Congo belge à l’Université libre de Bruxelles. Il enseigne aussi la géographie, la géologie et la minéralogie du Congo belge à l’École polytechnique.
En 1910, il part comme ingénieur-géologue au Katanga pour y effectuer des recherches minières. De 1913 à 1914, il inspecte les mines de diamant du Kundelugu pour la Société Simka. Il arpente aussi le Kasaï, le nord de l’Angola et le Bas-Congo au profit du syndicat des Mines de Lueta. Durant la Première Guerre mondiale, il travaille au service topographique de l'armée belge. Après le conflit, il est nommé directeur du Service géographique et géologique du Comité spécial du Katanga. Il remplit cette fonction au Congo de 1919 à 1929 et ensuite en Belgique jusqu’à sa pension en 1945 tout en se rendant régulièrement au Congo. Durant la Deuxième Guerre mondiale, il est nommé directeur d’honneur du Comité spécial du Katanga dont il devient également consultant technique par la suite.
Co-fondateur en 1929 de l’Institut royal colonial belge dont il devient le président en 1948, membre du Conseil colonial depuis 1935, il est aussi membre correspondant de l’Académie royale des Sciences et Belles-Lettres de Bruxelles à partir de 1952.
Auteur prolifique, près d’une centaine de ses très nombreux travaux sont consacrés à l'Afrique, à la géologie et la biologie du Katanga et du Congo notamment. Ses recherches le conduisent également à s’intéresser à la géomorphologie, ce qui l’amène à publier les premières données originales sur le Katanga. Maurice Robert réalisa également de nombreuses cartes topographiques et géologiques qui composent l’Atlas du Katanga.
On lui doit également l’ouvrage Contribution à la géologie du Katanga, le système du Kundelungu et le système schisto-dolomitique ainsi que Le Congo Physique.
Docteur en droit (ULB, 1946)
Bruxelles, 12 avril 1939 - 15 décembre 2018.
Licencié en histoire (1961), Docteur en histoire (ULB, 1970), professeur émérite de critique historique et d’histoire économique à l'Université libre de Bruxelles et spécialiste des Pays-Bas autrichiens.
La Patinoire Royale, Galerie Valérie Bach a ouvert ses portes en avril 2015. Le bâtiment qui l'abrite est la première patinoire à roulettes mondiale construite en 1877 et classée monument historique en 1995.
Marie Hélène de La Forest Divonne fonde la Galerie Vieille du Temple en 1988 et c'est en 2015 qu'elle adopte le nom de Galerie Forest Divonne lors de son déménagement vers la rue des Beaux-Arts au cœur de Saint Germain des Prés. Un nouvel espace voit le jour en 2016 à Bruxelles, celui-ci est dirigé par son fils Jean de Malherbe.
George Houyoux nait à Uccle le 1er février 1091 et décède à Ixelles le 15 novembre 1971. Il entreprend des études en sciences à l'Université libre de Bruxelles en 1923 et 1924 qu'il ne terminera pas.
En 1925, il quitte Bruxelles pour Paris où il ouvre la "Librairie G. Houyoux", 34 rue Sainte-Anne et se spécialise dans les éditions originales d'auteurs belges et français.
Il épouse Jeanne Blanck en 1930 et rentre à Bruxelles où il s'installe définitivement.
En 1935, il fonde "Les Editions des Artistes" spécialisée dans la publication d'auteurs belges de langue française. Il éditera des romans, du théâtre, de la poésie, des essais et également des livres pour la jeunesse.
Il tente de s'implanter à nouveau à Paris en 1950 en créant "Les Editions de la Main Jetée" mais ne publiera que quelques livres.
Il cesse ses activités le 1er octobre 1968 pour des raisons financières.
Licence en histoire (ULB, 1961) ; Docteur en histoire (ULB, 1975)
Ses recherches portent sur deux thèmes : la Révolution industrielle en Belgique et l'étude diachronique des finances de l'ensemble des pouvoirs publics belges à l'époque contemporaine.
Yannick Bruynoghe nait à Louvain en 1924. Il est photographe, critique, écrivain, réalisateur, animateur pour la radio et la télévision. Il étudie le droit à l'Université de Louvain.
Présidé par le recteur ou la rectrice, le Conseil académique définit et exécute la politique académique et scientifique de l’Université : enseignement, recherche, relations internationales, formation continue, etc. Il nomme aux emplois du corps académique et du corps scientifique. Il est composé de vingt-six membres.
DEA de philosophie (Université Paris IV-Sorbonne, 2003)
Le BEA se charge de la représentation étudiante au niveau de l’ULB. Ce sont ses administrateurs qui siègent dans les différents conseils et commissions de l’ULB. Il se charge aussi de différents projets qui concernent tous les étudiants de l’ULB.