L'Institut, créé en 1993, mène des recherches interdisciplinaires dans les domaines de l'environnement, du développement territorial, de la géographie humaine et du tourisme. Depuis 2006, l'Institut est un département de la Faculté des Sciences de l'Université Libre de Bruxelles, puis est intégré, en 2015, au Département de Géosciences, Environnement et Société de cette même faculté.
Suite à une donation faite par M. Robert Werner (Fondation Werner), le Conseil d'Administration de l'Université, en sa séance du 29 novembre 1930, crée l'Institut. L'objet sera l'étude de l'histoire et des langues des peuples de l'Asie antérieure et de l'Egypte jusques et y compris l'époque byzantine.
D'abord Institut de philologie et d’histoire orientales, il fusionnera peu après avec la chaire de langues et de littératures slaves pour former l’institut de philologie et d’histoire orientales et slaves (IPHOS)
L'Institut de Philosophie et de Sciences Morales n'existe plus et correspond désormais à la partie du Département de Philosophie Ethique et des Sciences des Religions de la Laïcité consacrée à la philosophie et à ·l'éthique. [2020]
L’Institut de Sociologie Solvay est créé en 1902 à l’initiative d’Ernest Solvay. C'est le premier institut à organiser des recherches en sciences sociales en Belgique. En 1922, suite au décès de E. Solvay, l'Institut sera rattaché à l'Université libre de Bruxelles.
L'Institut se compose d'unités de recherches spécialisées :
Atelier Genre(s) et Sexualité(s) (AGS)
Centre d'anthropologie culturelle (CAC)
Centre d'Etudes de la Coopération Internationale et du Développement (CECID)
Centre d'Etudes des Politiques et de l'Administration Publique (CEPAP)
Centre de Recherche et de Prospective en droit social (CeRP)
Centre d'Histoire et de Sociologie des Gauches (CHSG)
Centre de Sociologie de l'Education (CSE)
Centre de Théorie Politique (CTP)
Groupe de recherche sur les Relations ethniques, les Migrations et l'Egalité (GERME)
Groupe de Recherche sur les Acteurs Internationaux et leurs Discours (GRAID)
Groupe de Recherche sur l'Action Publique (GRAP)
Groupe de Recherche en Sociologie des Arts et des Cultures (GRESAC)
Laboratoire d'Anthropologie des Mondes Contemporains (LAMC)
Laboratoire de Méthodologie du Traitement des Données (LMTD)
Centre de recherches sur les Migrations, Espaces, Travail, Institutions, Citoyenneté, Epistémologie, Santé (METICES)
L'Institut des Hautes Études de Belgique, fondé en 1894, a été constitué en association sans but lucratif, jouissant de la personnalité civile, par acte de Me Hauchamps en date du 29 décembre 1922 ("Moniteur Belge" du 20 janvier 1923). L'Institut a pour but d'organiser des conférences de niveau universitaire, des colloques internationaux, journées d'étude, tables rondes, séminaires, débats, etc ainsi que des cours ne faisant pas partie des programmes universitaires.
L'Institut de phonétique change de nom en 1994.
L'Institut des Langues vivantes et de Phonétique a pour objets l'étude scientifique du langage, celle de la linguistique appliquée et les enseignements qui leur sont liés.
En 2004, l’Institut est supprimé en tant qu’institut autonome et ses formations sont intégrées aux programmes des facultés.
L’Institut du Travail est fondé à l’ULB, le 25 juin 1955 par Madeleine Gevers-Dwelshauvers, Léon-Eli Troclet (ministre du travail à l’époque), Michel Magrez et Louis Duchatelet. L'institut a pour but de former les cadres supérieurs des pays en voie de développement en développant la connaissance et l’enseignement universitaire du droit social et de la sécurité sociale en droit international, en droit comparé et en droit interne.
En 2004, l'Institut devient l'Institut des sciences du travail.
Institut voué à l'étude multidisciplinaire du travail humain, sur le modèle du Bureau international du travail (BIT) en tentant de lier les diverses disciplines impliquées dans l'étude de l'activité humaine.
Quatre sections de recherche et enseignement furent créées par L. Troclet (droit et sociologie du travail), J.M. Faverge (problèmes humains du travail), F. Waleffe (problèmes du travail dans les pays en développement) et M. Millet (licence spéciale en médecine du travail).
L'idée de fonder un institut ayant pour objet de développer l'étude du judaïsme à l'Université remonte à l'activité du Centre National des Hautes Etudes Juives, institution de recherche créée en 1959 à l’initiative de Max Gottschalk et de Marcel Marinower auprès de l'Institut de Sociologie de l'ULB. Réunis le 17 décembre 1970, des professeurs et des chercheurs attachés aux Universités de Bruxelles, de Gand et de Liège, ralliés autour de cette idée, fondèrent l'Institut universitaire d'études du judaïsme Martin Buber.
Par l'arrêté royal du 7 mars 1988, il prend le nom d'Institut d'études du judaïsme.
Au début des années 60, après l’entrée en vigueur du Traité de Rome, les autorités académiques de l’ULB ont souhaité créer un Institut d’études européennes. L’Institut est officiellement inauguré le 27 février 1964.
Ce centre se concentre sur les questions européennes principalement à travers quatre disciplines : le droit européen, les sciences politiques, l’économie et l’histoire. Centre de recherche et d’enseignement, il forme les spécialistes des questions européennes.
En 1937, Eugène Dhuicque propose la création d'un Institut d'urbanisme qui formerait dans une discipline commune des architectes, des ingénieurs, des administrateurs. Son projet est accepté. L'Institut est inauguré en 1937 et placé sous sa direction. En 1962, le programme d’étude est étendu à l’aménagement du territoire et l’Institut renommé Institut d’Urbanisme et d’Aménagement du Territoire (IUAT). En 1969, une collaboration est initiée entre l’ULB et l’Institut Supérieur d’Architecture Victor Horta. En 1974, un programme de
doctorat est créé transformant l’IUAT en une unité de recherche. En 2006 l’IUAT intègre le département BATir. En 2008, après la réforme de Bologne, le programme devient un master complémentaire en urbanisme et aménagement du territoire, récemment (2015) changé en master de spécialisation. Depuis 2017, ce nouveau master en urbanisme de la transition est proposé conjointement par la Faculté d’Architecture et l’Ecole Polytechnique.
Sous l’impulsion d’Ernest Solvay (1828-1922) incité lui-même par Walter Nernst (1864-1941), le premier conseil de physique (La théorie du rayonnement et les quanta) eut lieu en novembre 1911 à Bruxelles. Il révolutionna tant la physique quantique que ses instigateurs cherchèrent à instituer un soutien administratif solide pour pérenniser cette formule inédite de rencontre scientifique internationale. Pour ce faire, l’Institut International de Physique Solvay (IIPS), suggéré à Ernest Solvay par Robert Goldschmidt, vit le jour dans le dessein de favoriser le développement international de réunions savantes et de recherches en physique. Son but consistait tant à organiser des réunions scientifiques en petit comité regroupant d’éminents physiciens qui discuteraient des avancées dans leur spécialité qu’à offrir des subsides et des bourses. Jusqu’en 1946, l’Institut International de Physique Solvay, comme l’Institut de Physiologie ou celui de Sociologie, soutint financièrement de jeunes scientifiques belges et étrangers afin qu’ils puissent progresser dans leurs travaux. De même, Ernest Solvay souhaitait instaurer un système analogue pour la chimie. À cette fin, au moment même des discussions portant sur la fondation d’un Institut de physique, il correspondait. Néanmoins, les désaccords entre Ernest Solvay, Albin Haller et William Ramsay ne permirent pas à l’Institut International de Chimie Solvay (IICS) de voir le jour en 1913. En effet, le premier souhaitait une institution centralisatrice des savoirs au sein d’un comité scientifique international équilibré (autant de membres français, britanniques et allemands) alors que le second pensait cet institut comme une bibliothèque des savoirs regroupant la documentation mondiale dans le domaine de la chimie, à l’image de l’Office international de bibliographie (Mondaneum) de Paul Otlet (1868-1944)5 et Henri Lafontaine (1854-1943)6 — et de ce que représentait déjà l’Association Internationale des Sociétés Chimiques (AISC). Alors que l’échange épistolaire sur cette question du rôle de l’IICS s’intensifiait, la Première Guerre mondiale éclata mettant ce projet de côté jusqu’en 1920. À la sortie de la Grande Guerre, l’AISC est dissoute. Dès lors, en 1921, Ernest Solvay était libre de fonder l’IICS dans un dessein homologue à celui de l’IIPCS. Malgré l’ingérence récurrente des physiciens dans les affaires des chimistes, l’IICS tenta d’évoluer aussi indépendamment que possible de sa consoeur, l’IIPS. En 1963, en réponse à une restructuration économique — et après une prolongation de leur existence pour trente années sous les bonnes grâces des descendants d’Ernest Solvay — les Instituts retrouvent un nouveau souffle en fusionnant leurs conseils d’administration respectifs en une entité commune le 17 octobre 1963. Ainsi, ils deviennent les Instituts Internationaux de Physique et de Chimie Solvay (IIPCS). Mais, ils ne s’organisent pas pour autant de la même manière qu’aujourd’hui. En effet, en 1970, survient une nouvelle crise politique et budgétaire en Belgique. Il y eut d’une part, une récession économique qui toucha tant la recherche scientifique fédérale que les IIPCS et d’autre part, un épisode politique menant à la création de la Vrij Universiteit van Brussels (VUB). Pour pallier ces contingences politico-économiques, le directeur des IIPCS, Ilya Prigogine (1917-2003)7 et les recteurs des deux Universités désormais consoeurs — avec le soutien de Jacques-Ernest Solvay (1920-2010)8 — décidèrent, en 1970, de transformer les IIPCS en ASBL. Ceux-ci devinrent conséquemment indépendants des comptes des deux universités, bien que toujours localisés au sein de leurs bâtiments. Ainsi, l’ULB et la VUB prêtent toujours un président (Ilya Prigogine [1958 à 2003] et Marc Henneaux [1955 — ]9 depuis 2003) et un bâtiment aux IIPCS. La même année, la chaire Solvay est fondée afin de permettre aux jeunes étudiants belges d’évoluer et de se former tant à la physique qu’à la chimie dans un environnement international. Créée conjointement par les Instituts et l’ULB, elle invite deux fois par an des physiciens et des chimistes internationaux afin qu’ils partagent leurs connaissances avec de futurs physiciens et chimistes belges, favorisant, par la même, la circulation des savoirs dans ces deux branches de la science. Quant aux conseils internationaux de physique et de chimie, et ce jusqu’à ce que les Instituts fusionnent leurs administrations en 1963, ils eurent lieu tous les trois ans. Depuis, les conseils internationaux se donnent en alternance entre la physique et la chimie. Ainsi, tous les trois ans, se tient un conseil consacré soit à la physique, soit à la chimie. Il convient de souligner que, depuis la Seconde Guerre mondiale, la frontière hermétique entre ces deux sciences s’est amoindrie, ce qui donne lieu parfois à des conseils conjoints (Surface Science, Austin, 1987) ou à des Conseils portant sur la physico-chimie. Parmi les pointures scientifiques présentes lors de ces événements, de nombreux prix Nobel se sont réunis pour discuter des avancées en chimie et en physique. Terminons cette brève introduction en soulignant que les conseils de physique se placent parmi les premières rencontres internationales instituées au début du XXe siècle, annonçant le début de l’internationalisation de la science et plus tard, après la Seconde Guerre mondiale, sa supposée mondialisation.
Groupe universitaire, fortement attaché à l'idéal de libre-examen, il contribue à distraire les étudiants et les étudiantes et en même temps à former leur goût et à compléter leur culture culturelle
Le KEPS (Kring der Economische, Politieke en Sociale wetenschappen), créé en 1961 à l'Université libre de Bruxelles, est le pendant néerlandophone du Cercle des sciences économiques politiques et sociales (CEPS). En 1969, le KEPS déménage à la VUB.
Marie Hélène de La Forest Divonne fonde la Galerie Vieille du Temple en 1988 et c'est en 2015 qu'elle adopte le nom de Galerie Forest Divonne lors de son déménagement vers la rue des Beaux-Arts au cœur de Saint Germain des Prés. Un nouvel espace voit le jour en 2016 à Bruxelles, celui-ci est dirigé par son fils Jean de Malherbe.
Le cercle Picard, créé en 1974, se dissout en 1978 pour créer La frontalière et rassembler les étudiants des régions frontalières
La Patinoire Royale, Galerie Valérie Bach a ouvert ses portes en avril 2015. Le bâtiment qui l'abrite est la première patinoire à roulettes mondiale construite en 1877 et classée monument historique en 1995.
Les travaux du centre portent sur l’histoire de la musique et son langage du Moyen-âge à nos jours, qu’il s’agisse des traditions occidentales ou extra-européennes, et des cultures savantes ou populaires.
Suite à l'installation de l'ULB au Solbosch, l'ASBL se proposait d'apporter une aide matérielle et morale au développement de la Bibliothèque de l'Université Libre de Bruxelles. La situation ayant évolué, l'Association se veut désormais l'amie de l'ensemble du réseau des bibliothèques de l'Université. Elle organise des activités culturelles autour du monde du livre et des bibliothèques, finance des acquisitions d'ouvrages et participe à des travaux de restauration pour le compte de la réserve précieuse.
Les Amis de la Bulle crée un journal satirique en 1959 "La Bulle" par deux étudiants en droit de l'ULB.
Groupement catholique d'étudiants non exclusivement inscrits à l'ULB.
Créé au départ pour se moquer de l'affichage des Macchas, l'Ordre a perduré ...
Créée en 2015 à l'initiative de Didier Viviers, la Maison des sciences humaines s'inscrit dans une recherche concernant les questions et les débats qui animent la société civile. Elle abrite 7 centres : AmericaS (Centre interdisciplinaire d’Etude des Amériques), CREG (Centre de recherche sur l’expérience de guerre), LIEU, (Laboratoire interdisciplinaire en études urbaines), OMAM (Observatoire des mondes arabes et musulmans), STRIGES (Structure de recherche interdisciplinaire sur le genre, l’égalité et la sexualité), EASt (East Asian Studies) et Modernitas (Modernism and Avant-Garde studies) depuis novembre 2022. En 2022, LIEU quitte le centre et devient une équipe affiliée au sein de la MSH.
Les statuts du Cercle établissent la fondation des Népelés en 1935 par Georges Neirynck, Emile Penninck et Christian Lepoivre. Le nom du Cercle est d’ailleurs issu des initiales des noms des trois fondateurs (N.P.L.). La date de création officielle est cependant incertaine, car les statuts ont été rédigés à posteriori, 1935 étant uniquement la première date présente sur une liste des membres.
Peu d’informations subsistent sur les activités des Népelés avant la guerre. Mais un grand nombre de ses membres s’impliqua activement dans la Résistance, comme Henri Neuman, Christian Lepoivre ou René Ewalenko au sein du Groupe G. Quatorze de ses membres ont, avec certitude, été Résistants, bien qu'il soit possible que ce nombre soit plus élevé.
De 1939 à 1942, et puis à nouveau à partir de 1946, les Népelés organisent généralement un banquet par an, qui se déroule pendant deux ou trois jours, en parallèle de journées d’études sur un thème désigné à l’avance. Au cours de ces moments, un "dictateur" (chef de cérémonie) est désigné pour organiser le banquet suivant.
Leur chant est "Le plaisir des dieux"
Leur chant est "Les fraises et les framboises" et leur journal "Le Pantagruel" et les couleurs de leur penne sont bordeau et bleu
L'Ordre des Frères Macchabées est le plus ancien ordre encore en activité aujourd'hui. L'Ordre a été créé en 1918 (ou 1919 en fonction des sources), juste après la Première Guerre Mondiale, et aurait été appelé les Funèbres Macchabées dans un premier temps.
Selon une légende, l'Ordre trouve son origine dans la période de guerre, où des étudiants furent envoyés sur le front. Là, dans les tranchées, ils auraient participé à des réunions secrètes, basées sur la camaraderie maçonnique, organisées par des francs-maçons plus âgés. Après la guerre, les étudiants auraient voulu recréer cette mentalité en fondant l'Ordre. Le nom découlerait du fait que certains étudiants ne sont pas revenus de la guerre, ou que ceux qui sont revenus ont vu la mort de trop près.
Une autre origine de l'Ordre avancée est que les fondateurs étaient des enfants de francs-maçons, et qu'ils auraient voulu recréer un équivalent de Loge à l'ULB.
Au début de l'Ordre, les étudiants pouvaient poser leur candidature, et les Macchas décidaient de qui était digne de les rejoindre, après que ceux sélectionnés aient passé une série de tests et questions. Par la suite, les nouveaux membres sont cooptés, c'est-à-dire qu'un membre présente un étudiant aux Frères, qui est alors interrogé afin de décider de son admission. L'Ordre est très élitiste, et cherche surtout à recruter des étudiants bien placés dans des cercles, associations… A l'origine, l'Ordre est exclusivement masculin, et la première femme a être Grand Maître l'aurait été en 1981.
Si dans les années 20, leurs réunions étaient accessibles à la communauté universitaire, elles sont par la suite devenues secrètes. L'année 1931 marquerait le passage de l'existence publique à l'existence secrète de l'Ordre. Lors des réunions (tenures), les Frères se réunissent en toge et cagoule autour d'une table en fonction de leur hiérarchie. Chacune des fonctions porte un titre précis : Grand Maître, Antiseptique Injecteur, Méticuleux Gardien des Rites… Ces réunions servent à questionner les candidats potentiels, présenter des thèses (travaux thématiques), débattre du folklore et de problèmes universitaires, ou encore d'organiser des fêtes rituelles.
L'Ordre est rempli de symbolisme, tant au niveau des rites que de son langage. Ainsi, les jours et les mois portent des noms particuliers, et la correspondance fonctionne par antiphrase (il faut comprendre l'inverse de ce qui est écrit). Le décors et le vocabulaire se réfèrent souvent à la mort, le nombre 13 est sacré, et Jefke est un personnage important des rituels Macchas.
Le but de l'Ordre était de promouvoir un groupe construit sur la camaraderie estudiantine, afin de défendre les traditions estudiantines et les valeurs de l'ULB, comme le libre examen et la liberté d'expression. C'est dans cette optique que les Macchas communiquent par des tracts et des affiches à propos d'évènements d'actualités, en terminant souvent par la phrase : “Si la communauté universitaire ne réagit pas, les Macchas, eux, réagiront”. Les Frères Macchabées n'ont pas de revue officielle, mais ils ont pendant plusieurs années dirigé la publication du Bruxelles Universitaire, l'organe de l'Association Générale des Etudiants.
En ce qui concerne le lien avec la Franc-Maçonnerie, l'Ordre ne sert pas à proprement parler d'antichambre des loges, mais il est dit qu'à une époque, une partie des Frères rejoignaient une loge après leurs études.
Les activités de l'Ordre ont été interrompues pendant la Seconde Guerre Mondiale, l'occupant allemand étant fortement antimaçonnique. Une anecdote raconte que, dans un premier temps, les activités avaient continué, mais qu'au cours d'une tenure deux militaires allemands éméchés surgirent par hasard et crurent être au milieu d'un rituel maçonnique. Les Macchas se hâtèrent de partir et interrompirent leurs activités par prudence.
Il s'agit d'abord d'une société de guindaille exclusivement masculin, les Thanéas étant leur équivalent féminin. Avec le temps, l’Ordre du Phallus mélangera discussions, recherches philosophiques et activités festives comme, entre autres, la brocante organisée le 1er mai au Cimetière d’Ixelles. L'Ordre communique à travers sa revue "Le Monde diplomatich'" ou Phallus Hebdo. Leur chant est "Ni ni peau de chien" et leur symbole est la lettre grecque Phi ϕ
Ordre folklorique louvaniste faisant partie de l'Ordre national belge
Le Centre appréhende les textes comme des objets complexes et étudie le « littéraire » dans son acceptation la plus large, selon des approches caractérisées par leur dimension comparatiste et pluridisciplinaire. En s’attachant à l’explication de textes et à leur contexte de production, elle aborde les domaines traditionnels de l’étude de la langue et de la matérialité du texte mais elle s’ouvre également au renouvellement des disciplines des sciences humaines.
"Une libre expression assumée et constructive, un attachement immodéré au tissu social bruxellois et un amour sans borne pour la diversité musicale et culturelle"
BXL 92.1
Centre dédié à l'étude des questions de sécurité et les politiques publiques internationales (environnement, santé, économie internationale, développement, …).