Cox, Jacques

Zone d'identification

Type d'entité

Personne

Forme autorisée du nom

Cox, Jacques

forme(s) parallèle(s) du nom

    Forme(s) du nom normalisée(s) selon d'autres conventions

      Autre(s) forme(s) du nom

        Numéro d'immatriculation des collectivités

        Zone de description

        Dates d’existence

        1898-1972

        Historique

        Astronome et mathématicien, né à Anvers le 16 août 1898 et décédé à Bruxelles le 20 octobre 1972.
        Formé à l’Ecole moyenne de Bruxelles, il prépare seul l’examen d’entrée à la Faculté des Sciences appliquées. En effet, l’occupation allemande de la Belgique à partir de 1914 a entraîné la fermeture de toutes les universités du pays. À la réouverture de l’Université libre de Bruxelles en février 1919, Jacques Cox entame un cursus de polytechnique et obtient le grade de docteur en sciences physiques et mathématiques en juillet 1924. Nommé élève-assistant de l’Institut d’astronomie à l’automne 1923, il en devient l’assistant à partir de 1924 et ce, jusqu’en 1938.

        Suppléant de Paul Stroobant pour le cours d’«Astronomie mathématique» entre 1930 et 1931, il est nommé chargé de cours en juin 1933 et dispense les leçons de «Géographie mathématique» et d’«Exercices de géographie mathématique» à la Faculté des Sciences. La même année, Jacques Cox devient titulaire du cours libre de «Chronologie historique» à la Faculté de Philosophie et Lettres et un an plus tard, titulaire des «Exercices de géographie mathématique». Il accède à l’ordinariat en juin 1936 tandis qu’il assure, quelques mois plus tard, la suppléance de Paul Stroobant pour l’examen des 1ères Licence de la Faculté des Sciences ainsi que la charge des cours d’ « Eléments d’astronomie et de géodésie » d’ «Astronomie sphérique et astronomie mathématique», de «Mécanique analytique et mécanique céleste» et d’ «Astrophysique». Désigné collaborateur en 1937 du cours d’ «Histoire de la pensée scientifique», il devient l’année suivante directeur de l’Institut d’astronomie.

        C’est à l’automne 1941 que Jacques Cox est nommé vice-président de la Faculté des Sciences appliquées. Néanmoins, un mois plus tard, face à la volonté allemande de germaniser l’Université, le Conseil d’Administration décide à l’unanimité de suspendre les cours. L’Université close, Jacques Cox décide de rejoindre l’Angleterre en 1942. Engagé par la Royal Air Force comme senior scientific officer, il participe à de nombreuses missions dans la formation de pilotes et la mise au point d’appareils et de nouvelles méthodes de navigation aérienne. Revenu en Belgique en octobre 1944, il succède à Frans van den Dungen comme recteur de l’Université libre de Bruxelles. Parallèlement, il est nommé membre du Conseil d’Administration de l’Université.

        Nommé pro-recteur à l’automne 1947, il devient un an plus tard, secrétaire, puis en 1950, directeur de l’Institut d’aéronautique. Conjointement, Jacques Cox est mandaté comme titulaire de différents enseignements à la Faculté des Sciences appliquées. Appelé à participer au Conseil d’Administration du Centre Scientifique et médical de l’ULB en Afrique Centrale (CEMUBAC) en 1952, il est nommé recteur honoraire un an plus tard. Il accède à l’honorariat professoral en octobre 1960.

        Lieux

        Statut légal

        Fonctions et activités

        • Directeur de l'Institut d'astronomie (1937)
        • Président de la Société belge d'astronomie (1940-1942)
        • Président du Centre belge de recherches de l'espace (1959)

        Textes de référence

        Organisation interne/Généalogie

        Contexte général

        Zone des relations

        Zone des points d'accès

        Mots-clés - Sujets

        Mots-clés - Lieux

        Occupations

        Recteur

        Note

        1944-1947

        Zone du contrôle

        Identifiant de notice d'autorité

        BE AULB NA P 0321

        Identifiant du service d'archives

        Règles et/ou conventions utilisées

        Statut

        Niveau de détail

        Dates de production, de révision et de suppression

        Langue(s)

          Écriture(s)

            Sources

            1P 601

            Notes de maintenance