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Histoire administrative
Le Cercle de Psychologie est né en avril-mai 1983, de la fusion du Cercle Psycho-Folklore et du Cercle Psycho-Péda (Cercle de Psychologie et de Pédagogie). En effet, l’année 1982-1983 fut une année de collaboration commune entre les deux cercles rivaux, qui amena à leur fusion.
Il s’agit d’un cercle folklorique, dit baptismal (qui organise un baptême étudiant), constitué en a.s.b.l. Ce cercle facultaire regroupe donc tous les étudiants en Psychologie. Sa couleur est le bleu.
Le CPsy organise un grand nombre d’événements ; que ces derniers soient annuels comme le baptême, sa participation à la Saint-Verhaegen ou encore le Grand Bal de Psychologie, ou plus spontanés comme des sorties culturelles variées ou des soirées dansantes, le cercle publiant également un journal portant le nom de L’Entonnoir. Dans son histoire,le Cercle de Psychologie fut à l’origine de grands événements tels que le Bal du Skieur Solitaire (qui eut plusieurs éditions), ou même encore de nos jours le Psychofest, festival organisé par le/la délégué(e) Culture du cercle, alliant art et guindaille sur le campus du Solbosch. Le CPsy fait alors appel à de nombreux musiciens et autres artistes, proposant des prestations musicales mais également du dessin ou encore de la danse, sans oublier l’aspect folklorique et festif de l’événement. Du milieu des années 1990 jusqu’au début des années 2000, nous possédons plusieurs archives affirmant que le cercle était engagé dans la réussite scolaire et le parrainage des jeunes, que ce soit en Belgique ou à l’étranger (en Inde). Le cercle a également légué des archives très intéressantes, consistant en plusieurs albums photo concernant la bleusaille et le baptême de 2001, interrogeant les pratiques de ce rite de passage si connu et faisant couler tant d’encre, encore aujourd’hui.
La guilde rattachée au CPsy est la Gens Fraternae Libidinis (GFL). Fondée en 1990 par Didier de Poorter, qui en fut le premier Senior, cette guilde comptait à ses débuts six membres, faisant partie de l’organisation. Trois années plus tard, six autres se rajoutèrent à l’organisation, montant la guilde à douze membres. Chacun d’entre eux occupe un poste déterminé, ces postes étant repris dans ce fonds, et plus précisément dans le sous-fonds consacré à la GFL. Aujourd’hui, les membres de la guilde sont plus nombreux, tournant autour de quinze membres. Cette association étudiante a pour but de favoriser l’échange et l’écoute, tout en faisant vivre la tradition des chants estudiantins et autres chants folkloriques, dans différentes sortes d’activités ayant comme principe de base l’amour du chant. L’activité la plus connue (et la plus fréquente) consiste en l’organisation de cantus. Il s’agit de soirées ritualisées, ouvertes au public, invitant hommes et femmes à chanter en chœur tout en partageant des verres de bière (ou autres boissons lors d’événements particuliers), le tout à la lueur de bougies. Le site Internet de la Gens Fraternae Libidinis indique : “À travers [ses membres], la Guilde entend ainsi défendre et mettre en pratique les valeurs prônées par l'ULB, que sont principalement la méthode de réflexion libre-exaministe, la tolérance et la liberté de pensée. Bien sûr, les cantus baignent dans une ambiance tout à fait festive et dérisionnelle où tout un chacun est libre de venir se joindre à la Guilde”.