Fondée en juin 1896 par un groupe d'étudiants afin de représenter officiellement le corps des étudiants, d'améliorer leurs conditions de vie et de défendre à l'Université le libre-examen. Le premier Comité provisoire fut présidé par André Guillery. A cette époque, l'A.G. organisait de nombreuses activités (bals, conférences, concerts...) et elle éditait deux revues : Le Trumeau bissextil et Education de Prince.
En 1909, l'A.G. devient un cercle à part entière disposant d'une assemblée générale et ayant pour objectifs la création d'une Maison des Etudiants et la représentation des étudiants auprès des autorités académiques.
Après la Guerre et la fermeture de l'ULB, l'A.G. traversa une période difficile, celle-ci n'arrivant pas à s'adapter à l'évolution de la population étudiante et à l'apparition d'une conscience facultaire. Cependant, dès 1920, tous les étudiants libre-exaministes inscrits à un cercle facultaire en sont membres. A partir de la moitié des années 20, elle réussit à reprendre sa place de représentation de la communauté estudiantine et de défense du libre-examen.
Au cours des années 50, l'A.G. connut une crise importante, liée au manque de démocratie et de représentativité dans le processus d'élection de ses dirigeants. Certains cercles facultaires avaient d'ailleurs décidé de se distancer de l'Association. Ceci mena à sa dissolution en 1959. L'A.G. réapparait dans les années 60, mais celle-ci est toujours dans une période de crise, avec des comités intérimaires et des problèmes de comptes. De nombreux cercles réclament des réformes et même la création de nouveaux organismes représentant les étudiants. En janvier 1963, un nouvel organisme est créé : le Parlement Etudiant. Ses membres sont élus par les étudiants des différentes facultés et il a pour objectif d'élire et contrôler le bureau exécutif de l'A.G. Mais au cours de l'année 64-65, le bureau exécutif devient de plus en plus politisé, et le Parlement n'arrive plus à le contrôler à cause d'absentéisme. Ce dernier sera d'ailleurs dissous la même année, laissant le bureau assurer la gestion de l'A.G seul jusqu'à la fin de 1965. Un nouveau bureau sera élu en 1967, avec pour objectif de former un nouveau Parlement, qui verra le jour en avril 1968. Cependant, le bureau qui en découlera ne sera pas très actif. L'association sera définitivement dissoute en 1970.
L'Association des Cercles facultaires créée en 1973 reprend les mêmes objectifs que l'A.G.
Au cours des années 60, l'idée d'une association remplaçant l'A.G. pour représenter les étudiants à travers leurs cercles commence à se préciser. Des projets de statuts de l'Association des Cercles Facultaires sont présentés en 1961, et cette dernière a déjà un début d'existence en parallèle de l'Association Générale des Etudiants, sans réussir à devenir un organisme stable dans la durée. Elle regroupe à l'époque six cercles facultaires, et chaque cercle a un poids différents dans les décisions en fonction de sa taille et des ses moyens financiers.
C'est toutefois en 1973 que l'A.C.F. reprit officiellement le rôle de représentation des étudiants laissé vacant par la disparition de l'A.G. En 1989, suite à la prise en charge des problèmes étudiants par le Bureau des Etudiants Administrateurs (B.E.A.), l'A.C.F. change de nom pour devenir l'Association des Cercles Etudiants (A.C.E.) et recentrer ses objectifs sur la défense des cercles membres, la promotion et la coordination du folklore, ainsi que la médiation auprès des autorités académiques. En 2011, l'A.C.E. compte trente cercles membres, dont 15 facultaires.
Le Comité est créé en 1934 à l initiative de l'Association Générale des Etudiants, du Cercle du Libre Examen, des Cercles politiques libéraux, socialistes et marxistes avec la bienveillance du Recteur Edouard Bogaert.
Le KEPS (Kring der Economische, Politieke en Sociale wetenschappen), créé en 1961 à l'Université libre de Bruxelles, est le pendant néerlandophone du Cercle des sciences économiques politiques et sociales (CEPS). En 1969, le KEPS déménage à la VUB.
Le Cercle de Psychologie est né en avril-mai 1983, de la fusion du Cercle Psycho-Folklore et du Cercle Psycho-Péda (Cercle de Psychologie et de Pédagogie). En effet, l’année 1982-1983 fut une année de collaboration commune entre les deux cercles rivaux, qui amena à leur fusion.
Il s’agit d’un cercle folklorique, dit baptismal (qui organise un baptême étudiant), constitué en a.s.b.l. Ce cercle facultaire regroupe donc tous les étudiants en Psychologie. Sa couleur est le bleu.
Le CPsy organise un grand nombre d’événements ; que ces derniers soient annuels comme le baptême, sa participation à la Saint-Verhaegen ou encore le Grand Bal de Psychologie, ou plus spontanés comme des sorties culturelles variées ou des soirées dansantes, le cercle publiant également un journal portant le nom de L’Entonnoir. Dans son histoire,le Cercle de Psychologie fut à l’origine de grands événements tels que le Bal du Skieur Solitaire (qui eut plusieurs éditions), ou même encore de nos jours le Psychofest, festival organisé par le/la délégué(e) Culture du cercle, alliant art et guindaille sur le campus du Solbosch. Le CPsy fait alors appel à de nombreux musiciens et autres artistes, proposant des prestations musicales mais également du dessin ou encore de la danse, sans oublier l’aspect folklorique et festif de l’événement. Du milieu des années 1990 jusqu’au début des années 2000, nous possédons plusieurs archives affirmant que le cercle était engagé dans la réussite scolaire et le parrainage des jeunes, que ce soit en Belgique ou à l’étranger (en Inde). Le cercle a également légué des archives très intéressantes, consistant en plusieurs albums photo concernant la bleusaille et le baptême de 2001, interrogeant les pratiques de ce rite de passage si connu et faisant couler tant d’encre, encore aujourd’hui.
La guilde rattachée au CPsy est la Gens Fraternae Libidinis (GFL). Fondée en 1990 par Didier de Poorter, qui en fut le premier Senior, cette guilde comptait à ses débuts six membres, faisant partie de l’organisation. Trois années plus tard, six autres se rajoutèrent à l’organisation, montant la guilde à douze membres. Chacun d’entre eux occupe un poste déterminé, ces postes étant repris dans ce fonds, et plus précisément dans le sous-fonds consacré à la GFL. Aujourd’hui, les membres de la guilde sont plus nombreux, tournant autour de quinze membres. Cette association étudiante a pour but de favoriser l’échange et l’écoute, tout en faisant vivre la tradition des chants estudiantins et autres chants folkloriques, dans différentes sortes d’activités ayant comme principe de base l’amour du chant. L’activité la plus connue (et la plus fréquente) consiste en l’organisation de cantus. Il s’agit de soirées ritualisées, ouvertes au public, invitant hommes et femmes à chanter en chœur tout en partageant des verres de bière (ou autres boissons lors d’événements particuliers), le tout à la lueur de bougies. Le site Internet de la Gens Fraternae Libidinis indique : “À travers [ses membres], la Guilde entend ainsi défendre et mettre en pratique les valeurs prônées par l'ULB, que sont principalement la méthode de réflexion libre-exaministe, la tolérance et la liberté de pensée. Bien sûr, les cantus baignent dans une ambiance tout à fait festive et dérisionnelle où tout un chacun est libre de venir se joindre à la Guilde”.
Anvers, 28 avril 1902 - Bruxelles, 12 mars 1983.
Docteur en médecine, chirurgie et accouchements (ULB, 1927) ; Docteur spécial en physiologie (ULB, 1930)
Un mouvement étudiant propalestinien créé spontanément lors de l'occupation du bâtiment B du campus Solbosch en mai et juin 2024, afin de forcer l'Université à suspendre le soutien à la collaboration avec les universités israéliennes.
Doctorat en études chinoises (Université Jean Moulin Lyon 3, France, 2007) ; DEA en études chinoises (Université Jean Moulin Lyon 3, France, 2004)
Fondatrice du centre de recherche EASt, spécialisé sur l'Asie de l'est
Licence en Histoire (Paris-Sorbonne, 1993) ; Doctorat en Histoire et civilisations du monde arabe de (Institut National des Langues et Civilisations Orientales INALCO, Paris, 2005))
Fondatrice de l’Observatoire des Mondes Arabes et Musulman (OMAM) à la MSH, elle anime un séminaire sur les approches sociales et politiques du monde arabe et musulman. Ses principaux domaines de recherche sont les réfugiés, la fabrication, les usages et les pratiques des archives dans le monde arabe, l'histoire et la mémoire de la guerre civile libanaise, la liberté académique et la récente crise libanaise.
Créée en 2015 à l'initiative de Didier Viviers, la Maison des sciences humaines s'inscrit dans une recherche concernant les questions et les débats qui animent la société civile. Elle abrite 7 centres : AmericaS (Centre interdisciplinaire d’Etude des Amériques), CREG (Centre de recherche sur l’expérience de guerre), LIEU, (Laboratoire interdisciplinaire en études urbaines), OMAM (Observatoire des mondes arabes et musulmans), STRIGES (Structure de recherche interdisciplinaire sur le genre, l’égalité et la sexualité), EASt (East Asian Studies) et Modernitas (Modernism and Avant-Garde studies) depuis novembre 2022. En 2022, LIEU quitte le centre et devient une équipe affiliée au sein de la MSH.
Docteur en Sciences Economiques et de Gestion (Université de Liège, 2018)
Docteure en Sciences économiques et de Gestion (ULB, 2013), Diplômée en Ingénieur de gestion, orientation Finances (ULB, 2005)
Créér par le Professeur Alain Eraly et dirigé par Giovanni Esposito au sein de l’Institut de Sociologie à l’ULB, le centre se consacre à l’étude du fonctionnement et de l’organisation des administrations publiques ainsi qu’à l’évaluation des politiques publiques.
Le club a été créé pour développer principalement le sport de l'aviron et les sports nautiques en général, parmi les étudiants de l'ULB
Créé par Nathan Dullier en 2021.
Licence en droit (ULB, 1998), DES en droit international (U.L.B., 2000), Master of Arts in the Social Sciences (University of Chicago, 2001), Docteur en anthropologie (ULB, 2005)
Licencié en droit (ULB, 1987), licencié spécial en droit international (ULB, 1988) et docteur en droit (ULB, 1996)
A l'origine de l'Université libre de Belgique, les Facultés de Droit et des sciences politiques et administratives forment une seule entité jusqu'en 1897 date à laquelle la Faculté des Sciences politiques et administratives deviendra une Faculté à part entière. A cette époque, les étudiants devaient entamer leur cursus par deux années de candidature à la Faculté de Philosophie et Lettres avant de faire les trois années de droit. En 1836, la Faculté proposera un cours de Notariat. En 1841, la Faculté s'appellera Faculté de droit.
En 2010, la Faculté de Droit et l'École des Sciences criminologiques se regroupent sous une même appellation facultaire: "Faculté de Droit et de Criminologie"
Licencié en sciences chimiques (ULB, 1994), docteur en sciences chimiques (ULB, 1999)
La Faculté de médecine fait partie des quatre facultés qui existent depuis la création de l'Université libre de Bruxelles en 1834. On y enseigne la médecine, la médecine vétérinaire, les sciences biomédicales et les sciences dentaires.
Fondé en 1873, l'École polytechnique de Bruxelles forment des ingénieurs en sciences appliquées. Entre 1890 et 2011, l'École devient la Faculté des Sciences appliquées.
Diplômé en Médecine Chirurgie et Accouchement (ULB, 1993), Diplôme de Chirurgie (ULB, 2000), Docteur en sciences médicales (ULB, 2004)
Créé au départ pour se moquer de l'affichage des Macchas, l'Ordre a perduré ...
Il s'agit d'abord d'une société de guindaille exclusivement masculin, les Thanéas étant leur équivalent féminin. Avec le temps, l’Ordre du Phallus mélangera discussions, recherches philosophiques et activités festives comme, entre autres, la brocante organisée le 1er mai au Cimetière d’Ixelles. L'Ordre communique à travers sa revue "Le Monde diplomatich'" ou Phallus Hebdo. Leur chant est "Ni ni peau de chien" et leur symbole est la lettre grecque Phi ϕ
Leur chant est "Le plaisir des dieux"
Leur chant est "Les fraises et les framboises" et leur journal "Le Pantagruel" et les couleurs de leur penne sont bordeau et bleu