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Notice d'autorité
Pieret, Julien
BE AULB NA P 0755 · Personne · 1977 -

Licencié en droit (ULB, 2000), licence spécialisée en droit international public (ULB, 2002) et licence approfondie en théories du droit (FUSL, 2006)

Centre de droit international
BE AULB NA C 0077 · Collectivité · 1964 -

Le Centre de droit international et de sociologie appliquée au droit international, a été inauguré officiellement le 17 février 1964, comme centre de recherches à l’Institut de Sociologie de l’Université libre de Bruxelles. Les thèmes étudiés sont essentiellement le droit des conflits armés, le droit de la paix et de la sécurité internationale ainsi que la théorie critique du droit international. Depuis 2012, le Centre développe des recherches et activités liant culture populaire (cinéma, séries télévisées, musique, littérature, etc.) et droit international.

En 1993, le Centre est rattaché conjointement à la Faculté de droit et à l'Institut de Sociologie mais deviendra en janvier 2001 exclusivement un centre de la Faculté de droit.

BE AULB NA C 0101 · Collectivité · 1991 -

L'objectif du Centre est de promouvoir l’excellence dans la recherche et l’enseignement supérieur, dans les domaines de l’économie, de l’économétrie et des statistiques.

Inauguré en 1991 sous le nom de European Center for Advanced Research in Economics (ECARE), il nait d'une initiative entre l'Institut d'Etudes européennes (IEE) de l'ULB et du Center for Economic Policy Research (CEPR). En 1999, il fusionne avec le Centre d'Economie Mathématique et d'Econométrie (CEME) et avec la collaboration avec des statisticiens de l'Institut de Statistique et de Recherche Opérationnelle (ISRO) et prendra le nom d'ECARES.

BE AULB NA C 0078 · Collectivité · 1951 -

Ce Centre est l'Institut de recherche en sciences de gestion de l'Université libre de Bruxelles, affilié à la SBS-EM. Soutenu par la Fondation Bernheim, ses objectifs sont le développement et la promotion de la recherche scientifique avancée en Sciences de Gestion et en Économie Appliquée. Il est organisé en 8 départements thématiques de recherche : Ressources Humaines, Organisation et Économie du travail ; la Microfinance ; la Finance, Comptabilité et Fiscalité ; le Commerce International et Développement ; la Stratégie ; l'Histoire économique et financière ; le Management et l'Environnement.

Institut d'études du judaïsme
BE AULB NA C 0080 · Collectivité · 1959 -

L'idée de fonder un institut ayant pour objet de développer l'étude du judaïsme à l'Université remonte à l'activité du Centre National des Hautes Etudes Juives, institution de recherche créée en 1959 à l’initiative de Max Gottschalk et de Marcel Marinower auprès de l'Institut de Sociologie de l'ULB. Réunis le 17 décembre 1970, des professeurs et des chercheurs attachés aux Universités de Bruxelles, de Gand et de Liège, ralliés autour de cette idée, fondèrent l'Institut universitaire d'études du judaïsme Martin Buber.
Par l'arrêté royal du 7 mars 1988, il prend le nom d'Institut d'études du judaïsme.

Cercle du libre examen
BE AULB NA C 0041 · Collectivité · 1928 -

Le Cercle du Libre Examen est créé le 14 janvier 1928 par un groupe d’étudiant en sciences (dont André Juliard et Lucia de Brouckère) en tant que cercle d’étude et de réflexion, afin de défendre les fondements de l’Université. Dès le début, le Cercle reçoit de nombreux encouragements de la part des étudiants et du monde académique, et Adolphe Max acceptera d’en devenir le président d’honneur. Pour susciter le débat et favoriser la prise de conscience de ses membres, le Cercle organise des conférences et des séminaires où des opinions variées et opposées se rencontrent. L’objectif étant de mettre en avant la pensée libre et l’esprit critique face au dogmatisme. Au origine du Cercle, les discussions sont davantage intellectuelles que politiques, et cherchent à définir ce qu’était pour eux le libre-examen.

C’est au cours de l’année 28/29 que la première cérémonie d’hommage à Francisco Ferrer (libre penseur espagnol) aura lieu, sous la présidence de Paul Wahl. Cet évènement deviendra par la suite un rituel du Libre Examen.

Pour les années avant la seconde guerre mondiale, le Cercle est partagé entre ceux qui veulent limiter les débats à des sujets sans controverses et mettre en avant un folklore estudiantin, et ceux qui veulent davantage de débats sérieux. En 1931, le président du Libre Examen, Léo Moulin, est arrêté en Italie fasciste pour propagande hostile, le Librex étant considéré comme une organisation subversive par le gouvernement italien. De nombreuses manifestations étudiantes auront lieu, et le recteur de l’époque ira même défendre Léo Moulin en Italie. En 1934, l’AG et le Cercle soutiennent la création d’un Comité de vigilance anti-fasciste, ce qui s’inscrit dans la politique contre le fascisme qui se développe au Librex. Le principe du libre-examen devient un principe d’engagement et de défense de la liberté de pensée. La guerre d’Espagne arrivera également au centre des préoccupations du Cercle, lorsque qu’un étudiant de l’ULB (Pierre Brachet) engagé pour la défense de la République espagnole face à Franco et la montée du fascisme mourra sur le front.

Les Cahiers du Libre Examen sont créés en 1937, avec pour objectif de donner la parole à la communauté universitaire sur des sujets thématiques d’actualité. Une autre revue sera publiée entre 1938 et 1940, Jeudi, un hebdomadaire dirigé par Jean Burgers, et qui se veut plus polémique que les Cahiers, tout en offrant plus de divertissement. En 1940, l’université ferme ses portes suite à l’occupation allemande, et plusieurs membres du Librex rejoindront la résistance, comme Jean Burgers (ancien vice-président du Cercle), qui participa à la formation du Groupe G.

Après la guerre, le Cercle reprend ses activités de débats sur des sujets d’actualité belge (question royale) et internationale (Guerre Froide, colonialisme). En 1945, le Cercle s’associe à l’AG afin de renflouer ces caisses, mais ce contrat sera rompu dans les années 50, suite à l’affaiblissement progressif de l’AG. Le Librex sera plutôt engagé contre le colonialisme, et organisera des débats sur le Congo et l’Algérie dans les années 50/60. Ce genre d’engagement lui vaudra parfois d’être jugé trop à gauche et de prendre des positions sans équivoque.

C’est également au cours des années 60 que le Cercle réforme ses statuts et change ses modalités d’adhésions. Ainsi, ses membres décident individuellement d’en faire partie, alors qu’avant, être membre d’un autre cercle impliquait de faire partie du Libre Examen. Au milieu des années 60 vient une période neutre, où les activités du Librex sont moins politisée, suite à la « motion Bruyneel » (nom du président du Cercle de Droit), qui prône la neutralité politique dans l’exercice du libre-examen.

Dans la fin des années 60 et pendant les années 70, les débats seront très internationaux, sur la Grèce, le Vietnam, le colonialisme portugais ou encore l’Apartheid. Du côté de Mai 68, le Librex ne participera pas beaucoup aux évènements, mais sera plus impliqué lors des travaux de réforme de l’université. En avril 1970 a lieu l’affaire du Cercle des Nations, un club snob qui organise alors une fête pour l’anniversaire du putsch des Colonels en Grèce, à laquelle le président du CA de l’ULB participe. Le comité du Librex participe à des actions contre le Cercle des Nations, dont l’intensité va rapidement augmenter et qui seront très violemment réprimées par la police.

Une nouvelle revue voit le jour en 1976, le Bulletin du Libre Examen. Il s’agit d’une sorte de lettre d’information destinée aux membres du Cercle, qui présente les futures conférences et initie les débats. En 2003, le Cercle réforme ses statuts et devient une asbl, condition obligatoire pour recevoir un subventionnement. Jusqu’à aujourd’hui, le Librex continue d’organiser des conférences et des activités liées à l’actualité internationale, Belge et de l’ULB.

BE AULB NA C 0005 · Collectivité · 1903 -

L'École de commerce, fondée par Ernest Solvay et inaugurée le 17 octobre 1904, fait suite au Département des économies (1899). Elle devient, en 1946, un département de la Faculté des Sciences sociales et politiques. En 2008, elle change de nom et la Solvay Brussels School (née de la fusion du département d'économie et de la Solvay Business School) devient en 2010 une faculté à part entière.

Faculté de Pharmacie
BE AULB NA C 0012 · Collectivité · 1842 -

L’École de Pharmacie de l’Université libre de Bruxelles débute en 1842 au sein de la Faculté de Médecine. En 1968, elle obtient son indépendance et devient l’Institut de Pharmacie. Cette indépendance ne sera officialisée qu’en 2004. En 2010, elle devient Faculté de Pharmacie. La Faculté fait partie du Pôle Santé qui regroupe les disciplines à orientation médicale.

Institut de Philosophie
BE AULB NA C 0022 · Collectivité · 1939 - [2020]

L'Institut de Philosophie et de Sciences Morales n'existe plus et correspond désormais à la partie du Département de Philosophie Ethique et des Sciences des Religions de la Laïcité consacrée à la philosophie et à ·l'éthique. [2020]

BE AULB NA C 0052 · Collectivité · 1910 - 2004

Sous l’impulsion d’Ernest Solvay (1828-1922) incité lui-même par Walter Nernst (1864-1941), le premier conseil de physique (La théorie du rayonnement et les quanta) eut lieu en novembre 1911 à Bruxelles. Il révolutionna tant la physique quantique que ses instigateurs cherchèrent à instituer un soutien administratif solide pour pérenniser cette formule inédite de rencontre scientifique internationale. Pour ce faire, l’Institut International de Physique Solvay (IIPS), suggéré à Ernest Solvay par Robert Goldschmidt, vit le jour dans le dessein de favoriser le développement international de réunions savantes et de recherches en physique. Son but consistait tant à organiser des réunions scientifiques en petit comité regroupant d’éminents physiciens qui discuteraient des avancées dans leur spécialité qu’à offrir des subsides et des bourses. Jusqu’en 1946, l’Institut International de Physique Solvay, comme l’Institut de Physiologie ou celui de Sociologie, soutint financièrement de jeunes scientifiques belges et étrangers afin qu’ils puissent progresser dans leurs travaux. De même, Ernest Solvay souhaitait instaurer un système analogue pour la chimie. À cette fin, au moment même des discussions portant sur la fondation d’un Institut de physique, il correspondait. Néanmoins, les désaccords entre Ernest Solvay, Albin Haller et William Ramsay ne permirent pas à l’Institut International de Chimie Solvay (IICS) de voir le jour en 1913. En effet, le premier souhaitait une institution centralisatrice des savoirs au sein d’un comité scientifique international équilibré (autant de membres français, britanniques et allemands) alors que le second pensait cet institut comme une bibliothèque des savoirs regroupant la documentation mondiale dans le domaine de la chimie, à l’image de l’Office international de bibliographie (Mondaneum) de Paul Otlet (1868-1944)5 et Henri Lafontaine (1854-1943)6 — et de ce que représentait déjà l’Association Internationale des Sociétés Chimiques (AISC). Alors que l’échange épistolaire sur cette question du rôle de l’IICS s’intensifiait, la Première Guerre mondiale éclata mettant ce projet de côté jusqu’en 1920. À la sortie de la Grande Guerre, l’AISC est dissoute. Dès lors, en 1921, Ernest Solvay était libre de fonder l’IICS dans un dessein homologue à celui de l’IIPCS. Malgré l’ingérence récurrente des physiciens dans les affaires des chimistes, l’IICS tenta d’évoluer aussi indépendamment que possible de sa consoeur, l’IIPS. En 1963, en réponse à une restructuration économique — et après une prolongation de leur existence pour trente années sous les bonnes grâces des descendants d’Ernest Solvay — les Instituts retrouvent un nouveau souffle en fusionnant leurs conseils d’administration respectifs en une entité commune le 17 octobre 1963. Ainsi, ils deviennent les Instituts Internationaux de Physique et de Chimie Solvay (IIPCS). Mais, ils ne s’organisent pas pour autant de la même manière qu’aujourd’hui. En effet, en 1970, survient une nouvelle crise politique et budgétaire en Belgique. Il y eut d’une part, une récession économique qui toucha tant la recherche scientifique fédérale que les IIPCS et d’autre part, un épisode politique menant à la création de la Vrij Universiteit van Brussels (VUB). Pour pallier ces contingences politico-économiques, le directeur des IIPCS, Ilya Prigogine (1917-2003)7 et les recteurs des deux Universités désormais consoeurs — avec le soutien de Jacques-Ernest Solvay (1920-2010)8 — décidèrent, en 1970, de transformer les IIPCS en ASBL. Ceux-ci devinrent conséquemment indépendants des comptes des deux universités, bien que toujours localisés au sein de leurs bâtiments. Ainsi, l’ULB et la VUB prêtent toujours un président (Ilya Prigogine [1958 à 2003] et Marc Henneaux [1955 — ]9 depuis 2003) et un bâtiment aux IIPCS. La même année, la chaire Solvay est fondée afin de permettre aux jeunes étudiants belges d’évoluer et de se former tant à la physique qu’à la chimie dans un environnement international. Créée conjointement par les Instituts et l’ULB, elle invite deux fois par an des physiciens et des chimistes internationaux afin qu’ils partagent leurs connaissances avec de futurs physiciens et chimistes belges, favorisant, par la même, la circulation des savoirs dans ces deux branches de la science. Quant aux conseils internationaux de physique et de chimie, et ce jusqu’à ce que les Instituts fusionnent leurs administrations en 1963, ils eurent lieu tous les trois ans. Depuis, les conseils internationaux se donnent en alternance entre la physique et la chimie. Ainsi, tous les trois ans, se tient un conseil consacré soit à la physique, soit à la chimie. Il convient de souligner que, depuis la Seconde Guerre mondiale, la frontière hermétique entre ces deux sciences s’est amoindrie, ce qui donne lieu parfois à des conseils conjoints (Surface Science, Austin, 1987) ou à des Conseils portant sur la physico-chimie. Parmi les pointures scientifiques présentes lors de ces événements, de nombreux prix Nobel se sont réunis pour discuter des avancées en chimie et en physique. Terminons cette brève introduction en soulignant que les conseils de physique se placent parmi les premières rencontres internationales instituées au début du XXe siècle, annonçant le début de l’internationalisation de la science et plus tard, après la Seconde Guerre mondiale, sa supposée mondialisation.

BE AULB NA C 0092 · Collectivité · 2003 -

Le GRAP, fondé en 2003, propose une analyse dans plusieurs domaines: urbanisme, santé, culture, social et genre.

BE AULB NA C 0093 · Collectivité · 2017 -

Ce centre regroupe des projets de recherche à orientation historique mais également des études de pratiques contemporaines en insérant son objet d’étude dans un contexte social et politique large. Il développe également une recherche plus appliquée portant sur la genèse, l’expérience, la communication et la réception du Cinéma et du Spectacle vivant.

BE AULB NA C 0094 · Collectivité · 2006 -

Centre qui étudie les principaux courants de la linguistique contemporaine autour de quatre axes :
L'analyse du discours et sociolinguistique étudie le langage dans son contexte d'usage social ; L'axe morphologique et syntaxe favorise une étude poussée des structures linguistiques ; L'axe sémantique et pragmatique se concentre sur la question de l'interface entre le sens conventionnel et son usage en contexte ; L'axe langage et cognition met en lumière les corrélats cognitifs des phénomènes linguistiques en utilisant des modèles et des méthodes issues des sciences cognitives de la psychologie expérimentale et clinique

Cercle de philosophie et lettres
BE AULB NA C 0036 · Collectivité · 1934 -

Les étudiants de philosophie et lettres étaient autrefois rassemblés via le cercle facultaire de droit, de notariat et de philosophie et lettres. Aussi appelé Cercle de Droit et de Philosophie et lettres, ce dernier voyait se côtoyer des étudiants de droits, futurs avocats et juristes, avec des étudiants de philosophie, une grande partie devenant professeurs. D’autres cercles de philosophie existaient (notamment les Cercles de Philologie Romane et de Philologie Classique) et collaboraient avec le cercle facultaire.
Plusieurs différends se développèrent vers les années 1932-1933 entre les étudiants en philosophie et ceux en droit, certains donnant pour raison des différences majeures séparant les attitudes et mentalités de ces mêmes étudiants. Une volonté de sécession naquit chez les étudiants côté « philosophie et lettres », sécession soutenue par certains cercles comme les chimistes et les polytechniciens, au contraire du Cercle de Médecine qui supportait plutôt les étudiants en droit. L’idée de la création d’une faculté exclusivement réservée aux étudiants de philosophie et lettres paraissait viable, au vu de la présence et de l’implication des différents cercles de philosophie dans la vie universitaire (aujourd’hui nous parlerions de cercles de sections).
Après pétitions et référendums, et quelques empoignades, le Cercle de Philosophie et Lettres vit le jour en 1934, ou du moins déclara son indépendance. En 1935, les tensions s’abaissant quelque peu, des discussions furent entamées et vers 1936, sans violence a priori, le CPL se détacha complètement du Cercle de Droit (CD), avec lequel il désire garder de bons liens.
Jacques Pohl fut le premier président du CPL et devint professeur à l'ULB peu de temps après avoir fini ses études.
À la rentrée 1969 est constituée une a.s.b.l. par Jean-Pierre Gahide, Danielle Mignolet et Vladimir Stiennon.


Philomène est le journal du cercle depuis 1973 et succède à Le Sol, paru en 1936 et 1986, La Chouette, 1974-1951, l'Hérétique, 1953-1954, La Curée, 1955-1956, Flash, 1964-1965, La Pierre philosophale, 1965-1969 et Per-vers de gris, 1971-1973.


La couleur du Cercle est le gris.

Dulbea
BE AULB NA C 0121 · Collectivité · 1956 -

Le centre propose son expérience dans les domaines de l’économie publique, du travail, de la santé, ainsi qu’en matière d’économie régionale.

BE AULB NA C 0210 · Collectivité · 1937 -

En 1937, Eugène Dhuicque propose la création d'un Institut d'urbanisme qui formerait dans une discipline commune des architectes, des ingénieurs, des administrateurs. Son projet est accepté. L'Institut est inauguré en 1937 et placé sous sa direction. En 1962, le programme d’étude est étendu à l’aménagement du territoire et l’Institut renommé Institut d’Urbanisme et d’Aménagement du Territoire (IUAT). En 1969, une collaboration est initiée entre l’ULB et l’Institut Supérieur d’Architecture Victor Horta. En 1974, un programme de
doctorat est créé transformant l’IUAT en une unité de recherche. En 2006 l’IUAT intègre le département BATir. En 2008, après la réforme de Bologne, le programme devient un master complémentaire en urbanisme et aménagement du territoire, récemment (2015) changé en master de spécialisation. Depuis 2017, ce nouveau master en urbanisme de la transition est proposé conjointement par la Faculté d’Architecture et l’Ecole Polytechnique.

Calabrese, Laura
BE AULB NA P 0771 · Personne

Doctorat en linguistique (ULB, 2007), doctorat en Langues et lettres (ULB, 2010)

Kestens, Paul
BE AULB NA P 0832 · Personne · 1939-

Docteur en sciences économiques (ULB, 1968)

Bonenfant, Paul-Joseph
BE AULB NA P 0065 · Personne · 1899-1965

Jodoigne, 1er février 1899 - Laon, 9 avril 1965.
Docteur en Histoire (ULB, 1921), Docteur spécial en histoire (ULB, 1931)
Historien médiéviste et seizièmiste.
Elu membre de l'Académie royale de Belgique le 7 décembre 1959.

Berns, Thomas
BE AULB NA P 0723 · Personne · 1967 -

Licencie en philosophie (ULB, 1990), Docteur en Philosophie et Lettres (orientation Philosophie) (ULB, 1998)

Van Haute, Emilie
BE AULB NA P 0833 · Personne

Docteur en sciences politiques et sociales (ULB, 2008)

Dustin, Albert
BE AULB NA P 0327 · Personne · 1884-1942

Médecin et chercheur en oncologie, né à Bruxelles le 12 décembre 1884 et décédé à Saint-Gilles le 29 octobre 1942.

Après des humanités effectuées à l’Athénée royal de Bruxelles, Albert Dustin entreprend des études médicales à l’Université libre de Bruxelles. Promu docteur en médecine en juillet 1907, il entame ensuite des séjours d’études à la station biologique de Roscoff puis au sein du laboratoire de Marcel Prenant à la Faculté de Médecine de Paris. Rentré en Belgique, il est reçu docteur spécial en sciences anatomiques, en défendant une thèse d’agrégation intitulée « Le rôle des tropismes et de l’odogénèse dans la régénération ». Un mois plus tard, en juillet 1910, à la suite du décès précoce du titulaire de la chaire d’histologie, Hermann Joris, Albert Dustin reprend cet enseignement comme chargé de cours. Il accède à l’ordinariat le 18 juillet 1914, soit deux semaines avant l’avènement de la Première Guerre mondiale.

Le premier conflit majeur du XXe siècle contraint le médecin bruxellois à l’exil. Engagé volontaire, il est médecin de régiment avant de répondre à l’appel d’Antoine Depage en vue de diriger un service de neurochirurgie à l’Ambulance de l’Océan à la Panne. Il participe également à la fondation et à la direction du recueil « Les Travaux de l’Ambulance de l’Océan », qui devient, à la fermeture de l’hôpital en octobre 1919, « Les Archives de Médecine expérimentale ». À la fin de la guerre, il se rend aux États-Unis accompagné de Jules Bordet, d’Antoine Depage et de René Sand afin de rencontrer les représentants de la Fondation Rockefeller, et ce dans la perspective de l’octroi d’un financement pour la construction du nouvel hôpital universitaire Saint-Pierre. Après avoir repris son enseignement en 1920, il est désigné directeur du laboratoire et du musée d’anatomie pathologique au sein de la Faculté de Médecine de l’Université. Conjointement, il assume la fonction de professeur du cours de « Neuropsychologie » à l’École de Guerre et celle de chef de service des autopsies et du laboratoire d’Anatomie pathologique de l’hôpital Saint-Pierre. Quand un « Centre des Tumeurs » est créé en 1925, il est nommé chef du service d’anatomie et de cancérologie.

Directeur de l’Institut d’Anatomie à partir de 1931, Albert Dustin qui bénéficie de la confiance de la Faculté de Médecine est désigné délégué de celle-ci auprès du Conseil d’Administration de l’Université entre 1932 et 1933. Un an plus tard, Albert Dustin assume la vice-présidence de la Faculté de Médecine.

À la fin du rectorat d’Edouard Bogaert en 1935, il est promu recteur de l’Université par le Conseil. Parallèlement à ce mandat, il participe au Comité Exécutif de l’Institut d’Éducation physique, ainsi qu’au comité de gestion et au comité scientifique du nouvel Institut Jules Bordet. En 1938, Albert Dustin prend part à la fondation du Centre scientifique et Médical de l’ULB en Afrique Centrale (CEMUBAC) et en devient le premier président. Un an plus tard, il est désigné président de la Faculté de Médecine, fonction qu’il assume jusqu’à la décision du Conseil d’Administration de l’Université de suspendre définitivement les cours en novembre 1941.

En effet, face à la germanisation de l’Université libre de Bruxelles par l’occupant, les autorités universitaires décident à l’unanimité de fermer les portes de l’institution. En conséquence de cet acte, les Allemands arrêtent plusieurs étudiants et huit professeurs dont Albert Dustin. Ce dernier, emmené à la forteresse de Huy, demeure en captivité jusqu’en février 1942. Peu après sa sortie, le médecin bruxellois est de nouveau incarcéré. Au sortir de son deuxième emprisonnement, passablement affaibli par les rudes conditions de détention, Albert Dustin tâche néanmoins de continuer ses recherches en cancérologie mais décède quelques mois plus tard, en octobre 1942, d’un accident cérébral.

Dustin, Pierre
BE AULB NA P 0835 · Personne · 1914-1993

Docteur en médecine (ULB, 1937)

Timmermans, Jean
BE AULB NA P 0236 · Personne · 1882-1971

Bruxelles, le 8 juillet 1882 - Bruxelles, le 27 août 1971
Docteur en sciences chimiques (ULB, 1906), Docteur spécial en chimie (ULB, 1911)
Il étudie à l'Université libre de Bruxelles, puis fréquente l'Université allemande de Prague et la Trinity Collège de Dublin.

James, Petra
BE AULB NA P 0834 · Personne

Master en philologie anglaise et tchèque (Université Masaryk, Brno 2002), Docteur en littérature comparée et en études slaves (Sorbonne, Paris et Université Masaryk, Brno)

Centre d'études tchèques
BE AULB NA C 0224 · Collectivité · 1997 -

Avec l'appui de l’Université Charles de Prague, le Centre a pour vocation de favoriser la connaissance de la culture, de la langue et de la civilisation tchèques.

Rubes, Jan
BE AULB NA P 0836 · Personne · 1946-

Etudes de philologie romane (Université Charles de Prague)
Fondateur du Centre d'études tchèques en 1997.

Roudart, Laurence
BE AULB NA P 0583 · Personne

Ingénieur agronome ; Docteur de l’Institut national agronomique Paris-Grignon

BE AULB NA C 0220 · Collectivité · 1962-2004

L'Institut de phonétique change de nom en 1994.
L'Institut des Langues vivantes et de Phonétique a pour objets l'étude scientifique du langage, celle de la linguistique appliquée et les enseignements qui leur sont liés.
En 2004, l’Institut est supprimé en tant qu’institut autonome et ses formations sont intégrées aux programmes des facultés.

BE AULB NA C 0055 · Collectivité · 1822-1967

La Société, fondée en 1819, est reconnue officiellement en 1822. Les membres fondateurs sont : Bauwens, Froidmont, Laisné, Seutin et Kickx.
En 1879, le siège des séances ainsi que la bibliothèque sont déplacés à l’Université libre de Bruxelles.

BE AULB NA C 0085 · Collectivité · 2009 -

Le centre regroupe des spécialistes des sociétés d’Ancien Régime jusqu’à la transition du XIXe s. et vise à une meilleure compréhension des sociétés européennes et méditerranéennes de l'Antiquité au XIXe siècle.
L'unité de recherche sociAMM abrite deux structures interfacultaires : le Groupe d’Études sur le XVIIIe siècle et le Groupe de recherches en Histoire Médiévale (GRHM).

BE AULB NA C 0225 · Collectivité · 1963-

Elle regroupe les licenciés et les docteurs en chimie, mathématique, physique, sciences de la terre et environnement, biologie des organismes, biologie moléculaire, géographie, informatique ainsi que les ingénieurs agronomes et les ingénieurs chimistes et des bioindustries (maintenant regroupés sous l'intitulé unique de bioingénieurs)
L'association soutient la recherche, l'enseignement et la propagation des Sciences en participant, en soutenant financièrement ou en mettant en place des initiatives dans ce sens, notamment « Le Printemps des Sciences », et les Olympiades de biologie, chimie, physique, mathématique. Elle alloue annuellement un prix, sous le nom de "Prix AScBr", à un étudiant dont le mémoire de fin d'études, tout en étant d'un haut niveau scientifique, présente une ouverture originale d'application pratique ou théorique vers le monde extérieur.

Népelés
BE AULB NA C 0086 · Collectivité · 1935-

Les statuts du Cercle établissent la fondation des Népelés en 1935 par Georges Neirynck, Emile Penninck et Christian Lepoivre. Le nom du Cercle est d’ailleurs issu des initiales des noms des trois fondateurs (N.P.L.). La date de création officielle est cependant incertaine, car les statuts ont été rédigés à posteriori, 1935 étant uniquement la première date présente sur une liste des membres.

Peu d’informations subsistent sur les activités des Népelés avant la guerre. Mais un grand nombre de ses membres s’impliqua activement dans la Résistance, comme Henri Neuman, Christian Lepoivre ou René Ewalenko au sein du Groupe G. Quatorze de ses membres ont, avec certitude, été Résistants, bien qu'il soit possible que ce nombre soit plus élevé.

De 1939 à 1942, et puis à nouveau à partir de 1946, les Népelés organisent généralement un banquet par an, qui se déroule pendant deux ou trois jours, en parallèle de journées d’études sur un thème désigné à l’avance. Au cours de ces moments, un "dictateur" (chef de cérémonie) est désigné pour organiser le banquet suivant.

Cercle LGBTQIA+
BE AULB NA C 0079 · Collectivité · 1982-

Premier cercle homosexuel étudiant de Belgique francophone, c'est en 1982 que le CHE est créé à l'ULB. C'est sur base de ce premier cercle que d'autres verront le jour par la suite en Wallonie. Le cercle est très actif, car il organise au moins une activité par semaine. Si à l'origine, le Cercle se concentrait sur les thématiques lesbiennes et gays, il a suivi l'évolution du mouvement LGBTQIA+ et est ouvert à l'ensemble de la communauté. Mais il ne se limite pas à accueillir des personnes issues de cette communauté, et il accepte donc toute personne qui est en questionnement, qui s'intéresse aux thématiques ou à la culture LGBTQIA+.

Un des objectifs du Cercle est de promouvoir et défendre les droits des personnes queers, et c'est dans l'optique de soutenir les cercles LGBTQIA+ de Fédération Wallonie-Bruxelles qu'en 2012, en collaboration avec les CHE de Liège et de Namur, est créé les Cercles Homosexuels Estudiantins Francophones Fédérés (CHEFF).

Cercle de langues modernes
BE AULB NA C 0074 · Collectivité · 2014 -

Fondé en 2014 par Frédéric Thomas et Nicolas Jena.

Cercle Solvay
BE AULB NA C 0038 · Collectivité · 1904 -

C'est en 1904, qu'A. Giron fonde le Cercle Commercial, peu de temps après la création de l'Ecole de Commerce et Ernest Solvay en est le président d'honneur. Dans un premier temps, l'objectif du Cercle est de défendre les statuts des ingénieurs commerciaux, qui n'ont alors pas encore de reconnaissance légale et les premières activités organisées sont des visites d'entreprises, puisque l'A.G. s'occupe des activités folkloriques.

La date du changement de nom de Cercle Commercial à Cercle Solvay n'est pas certaine, mais il est estimé qu'il s'est produit à la fin de la première guerre mondiale. Et si le Cercle stagne pendant une période, il prendra de l'importance au cours des années 30 et certains de ses membres occuperont des postes important au sein d'autres associations étudiantes. L'organisation de la gestion du Cercle reflètera ce développement, puisque au fil des années de nouveaux postes de délégués feront leur apparition, avec en parallèle la création de groupes de travail. De plus, le Cercle devient une asbl le 7 janvier 1959. Au niveau des membres, le Cercle en compte plus de 700 en 2001. En 1972, il comptait déjà 350 membres, sur les 500 étudiants inscrits à l'Ecole de Commerce. Cette importance peut en partie s'expliquer par la solidarité entre les membres au niveau des études, un des objectifs du Cercle (à partir de 1934) étant de collaborer à l'enseignement de l'Ecole au moyen, entre autre, de visites et conférences.

Si dès 1935, une première revue nommée La Revue Economique du Cercle Solvay est envisagée, ce n'est qu'en 1939 avec le Caducée que le Cercle se dote de son organe d'information. L'objectif de celui-ci sera d'informer les étudiants sur le Cercle, les études, le folklore ou encore l'humour, et il connaitra de nombreux changements de formats au cours de son existence.

Le Cercle organise également de nombreuses activités, et le Bal est la plus importante de chaque année. A l'origine nommé Bal Solvay (1926), il est par la suite organisé en collaboration avec l'Union des Ingénieurs Commerciaux sous le nom de grand Bal Orange (couleur du Cercle), dont le premier a eu lieu en 1966. Du côté du baptême, la première description de ceux-ci au niveau du C$ date de 1925, et ce n'est qu'après la deuxième guerre mondiale qu'il sera ouvert aux étudiantes. Le Cercle organise également une Revue, un spectacle satirique, dont la première a eu lieu en 1958, et c'est lors de celle-ci que nait le slogan "Solvay c'est du champagne". Entre 1964 et 1982, le Cercle n'organise pas une seule Revue, mais elles reprennent par la suite et continuent d'être présentées de nos jours. Le Cercle met également en place de nombreuses visites d'usines et voyages, et le premier voyage à l'étranger se déroule en 1928 à Lille. Par la suite, les voyages iront plus loin, et même en URSS dans les années 60. Un dernier événement important dont est responsable le Cercle Solvay, avec le Cercle Polytechnique, est le Festival international des films techniques et commerciaux (FITC). Plusieurs éditions auront lieu à partir de 1963, et en 1978, il devient le Festival international du film d’entreprise et de formation (FIFEF).

Distinction honorifique du Cercle Solvay, l'Ordre du Grand Caducée récompense chaque année les membres qui se sont le plus impliqués au sein du Cercle.

Cercle de médecine
BE AULB NA C 0032 · Collectivité · 1891 -

Association estudiantine folklorique regroupant les étudiants de la Faculté de Médecine de l’ULB ce qui comprend les carabin(e)s mais aussi les étudiant(e)s en médecine vétérinaire, en biologie médicale et en dentisterie.

La couleur du cercle est le rouge.

Ordre des Frères Macchabées
BE AULB NA C 0070 · Collectivité · 1918-

L'Ordre des Frères Macchabées est le plus ancien ordre encore en activité aujourd'hui. L'Ordre a été créé en 1918 (ou 1919 en fonction des sources), juste après la Première Guerre Mondiale, et aurait été appelé les Funèbres Macchabées dans un premier temps.

Selon une légende, l'Ordre trouve son origine dans la période de guerre, où des étudiants furent envoyés sur le front. Là, dans les tranchées, ils auraient participé à des réunions secrètes, basées sur la camaraderie maçonnique, organisées par des francs-maçons plus âgés. Après la guerre, les étudiants auraient voulu recréer cette mentalité en fondant l'Ordre. Le nom découlerait du fait que certains étudiants ne sont pas revenus de la guerre, ou que ceux qui sont revenus ont vu la mort de trop près.
Une autre origine de l'Ordre avancée est que les fondateurs étaient des enfants de francs-maçons, et qu'ils auraient voulu recréer un équivalent de Loge à l'ULB.

Au début de l'Ordre, les étudiants pouvaient poser leur candidature, et les Macchas décidaient de qui était digne de les rejoindre, après que ceux sélectionnés aient passé une série de tests et questions. Par la suite, les nouveaux membres sont cooptés, c'est-à-dire qu'un membre présente un étudiant aux Frères, qui est alors interrogé afin de décider de son admission. L'Ordre est très élitiste, et cherche surtout à recruter des étudiants bien placés dans des cercles, associations… A l'origine, l'Ordre est exclusivement masculin, et la première femme a être Grand Maître l'aurait été en 1981.

Si dans les années 20, leurs réunions étaient accessibles à la communauté universitaire, elles sont par la suite devenues secrètes. L'année 1931 marquerait le passage de l'existence publique à l'existence secrète de l'Ordre. Lors des réunions (tenures), les Frères se réunissent en toge et cagoule autour d'une table en fonction de leur hiérarchie. Chacune des fonctions porte un titre précis : Grand Maître, Antiseptique Injecteur, Méticuleux Gardien des Rites… Ces réunions servent à questionner les candidats potentiels, présenter des thèses (travaux thématiques), débattre du folklore et de problèmes universitaires, ou encore d'organiser des fêtes rituelles.

L'Ordre est rempli de symbolisme, tant au niveau des rites que de son langage. Ainsi, les jours et les mois portent des noms particuliers, et la correspondance fonctionne par antiphrase (il faut comprendre l'inverse de ce qui est écrit). Le décors et le vocabulaire se réfèrent souvent à la mort, le nombre 13 est sacré, et Jefke est un personnage important des rituels Macchas.

Le but de l'Ordre était de promouvoir un groupe construit sur la camaraderie estudiantine, afin de défendre les traditions estudiantines et les valeurs de l'ULB, comme le libre examen et la liberté d'expression. C'est dans cette optique que les Macchas communiquent par des tracts et des affiches à propos d'évènements d'actualités, en terminant souvent par la phrase : “Si la communauté universitaire ne réagit pas, les Macchas, eux, réagiront”. Les Frères Macchabées n'ont pas de revue officielle, mais ils ont pendant plusieurs années dirigé la publication du Bruxelles Universitaire, l'organe de l'Association Générale des Etudiants.

En ce qui concerne le lien avec la Franc-Maçonnerie, l'Ordre ne sert pas à proprement parler d'antichambre des loges, mais il est dit qu'à une époque, une partie des Frères rejoignaient une loge après leurs études.

Les activités de l'Ordre ont été interrompues pendant la Seconde Guerre Mondiale, l'occupant allemand étant fortement antimaçonnique. Une anecdote raconte que, dans un premier temps, les activités avaient continué, mais qu'au cours d'une tenure deux militaires allemands éméchés surgirent par hasard et crurent être au milieu d'un rituel maçonnique. Les Macchas se hâtèrent de partir et interrompirent leurs activités par prudence.

Comité estudiantin de revendications
BE AULB NA C 0069 · Collectivité · 1960-1961

C'est en octobre 1960 que naît le premier mouvement syndical étudiant à l'ULB, le Comité estudiantin de revendications. Les premières critiques de ce Comité concernent le prix des repas et le prix des copies aux Presses Universitaires. De plus, le C.E.R. réclame une réforme de la gestion de l'université et une démocratisation de l'enseignement.

Suite à la création de l'Association des Cercles Facultaires, celle-ci intègre le Comité en tant que Bureau social et syndical. Lors de la Grande Grève de 60/61, le C.E.R. appelle à la mobilisation étudiante. En octobre 1961, un groupe d'anciens membres du Comité formera l'Union Générale Syndicale.

Mazzu, Antonino
BE AULB NA P 0737 · Personne

Licence en sciences psychologiques (ULB, 1983), psychologie clinique (Paris, Université René Descartes) et licence en philosophie (ULB, 2001)

BE AULB NA C 0002 · Collectivité · 2015 -

La Faculté de Philosophie et Sciences sociales est la fusion de deux des départements de la Faculté des Sciences sociales et politiques et de deux départements de la Faculté de Philosophie et Lettres.

Alvin, Louis-C.-E.
BE AULB NA P 0479 · Personne · 1845-1887

Bruxelles, le 12 mars 1845 - le 14 octobre 1887
Ingénieur des mines. Participe à la création de l'Ecole polytechnique.

Centre de recherche en philosophie
BE AULB NA C 0025 · Collectivité

Le Centre de recherche en philosophie aborde non seulement les différents champs de la philosophie (logique, métaphysique, ontologie, épistémologie, théorie de la science, éthique, esthétique...), mais aussi son histoire et ses multiples courants.

Université-Usine-Union
BE AULB NA C 0227 · Collectivité · 1968 - 1971

Né du mouvement de Mai 68, Robert Fuss fonde UUU, groupe mao-spontex dont l’ancrage se situe pour l’essentiel à l’Université Libre de Bruxelles.
Ce mouvement, essentiellement universitaire de la gauche radicale à Bruxelles, allait regrouper, au fil des mois, des intellectuels révolutionnaires, des représentants de la gauche étudiante, jusqu’alors inorganisée, des syndicalistes étudiants issus de l’UES (Union Étudiante Syndicale), et des militants, issus du parti communiste dit «pro-chinois» ou «PC-Grippa»
En 1971, après avoir été traversé par de rudes débats, UUU finit par éclater en deux groupes distincts. Les tenants du spontanéisme se retrouvèrent dans La Parole au Peuple (PAP), alors que l’autre tendance, marquées par l’expérience de la GRCP en Chine et confronté à l’impérieuse nécessité de fonder un Parti d’avant-garde en Belgique, donnera naissance à Tout le Pouvoir aux Travailleurs. Ces groupes fusionneront eux-mêmes avec d'autres groupes.