Licencié en droit (1974), docteur en droit économique (1996)
Avocat près de la cour d'appel de Bruxelles.
En 1834, Théodore participe à la fondation de l'Université libre de Bruxelles. Il y donnera des cours de droit. Il est également bourgmestre de Watermael-Boitsfort.
Historien belge et archiviste général des Archives de l'État en Belgique de 1935 à 1939.
Docteur en histoire (ULiège, 2006)
Licence de droit (Grenoble, 2001), Maîtrise de droit européen / droit international public (Fribourg, 2002), Doctorat en droit (international) pénal (Genève et Paris-Nanterre, 2009)
Licence en sciences sociales (1982) et docteur en sociologie (2000)
Fondateur du Groupe de recherche sur les Relations Ethniques, les Migrations et l’Egalité (GERME) de l’Institut de Sociologie. Spécialisé dans l’étude des politiques migratoires et d’intégration, des inégalités sociales dans le domaine de l'éducation, de l'intégration professionnelle des jeunes sur le marché de l'emploi et des pratiques et politiques d'inclusion sociale.
Watermael-Boistfort, le 22 octobre 1957 -
Diplômé de l'Académie des beaux-arts, discipline architecture (1982)
Wilrijk, le 8 février 1961 -
Ingénieur commercial (VUB, 1984)
Docteur en sciences géographiques et licencié en urbanisme.
Né le 9 février 1884 à Barcelone et mort le 4 juin 1970 à Bruxelles, Josep Carner est un poète, journaliste, dramaturge et traducteur espagnol d'expression catalane.
Il entre à l'université de Barcelone en 1897. Il obtient une licence en droit et en philosophie. Il collabore aux revues Montserrat et L'Atlàntida et dirige la revue Catalunya (1903-1905 puis 1913-1914) et Empori (1907-1908).
Il se marie avec Emilie Noulet en seconde noce.
Né à Ixelles le 13 octobre 1907 à Ixelles et décédé le 14 août 1969 à Ransart.
Il fait ses études secondaires à l’Athénée de Schaerbeek et achève ses études de droit à l’Université libre de Bruxelles où il se lie d’amitié avec Edmond Kind.
Né le 9 mai 1859 et décédé le 13 décembre 1924 était un homme politique, enseignant et écrivain socialiste belge, connu pour ses opinions anticléricales et sa promotion de la culture wallonne francophone. Il était également un écrivain créatif dans la tradition symboliste et l'auteur de livres sur une variété de sujets, notamment la question de la paternité de Shakespeare.
Avocat au Barreau de Bruxelles, professeur à la Faculté de Droit et à la Solvay Brussels School of Economics and Management.
André Bruyneel a obtenu le diplôme de docteur en Droit à l'Université libre en 1964, il a ainsi pu débuter sa carrière de pédagogue, d'abord comme assistant à la Faculté de Droit. Le même année il a reçu le prix René Marcq. En 1968 il a accompli les études de Master of Law à Harvard Business School. En 1971 André Bruyneel a intégré le corps professoral de l'Université libre de Bruxelles. En 1995-1998 l'Union des Anciens étudiants l'a nommé titulaire de la Chaire d'Ethique des affaires dont les cours ont été délivrés aux étudiants de l'Ecole polytechnique et le Solvay Business School. A partir de ce moment, il est devenu professeur aussi à la Solvay Business School, ou il a été nommé titulaire du cours de Droit financier.
André Bruyneel était un étudiant actif et engagé. En 1962-1963 il présidait le Cercle de Droit. Il était le membre actif aussi du Cercle de Libre examen. Sa vision de la question du libre examen, appelée Motion Bruyneel, a engendré beaucoup de discussions en 1963.
Rabat, le 25 novembre 1926 -
Ingénieur agronome (Faculté des Sciences agronomiques de Gembloux, 1949).
Doctorat en sciences politiques (Institut d'études politiques de Paris, 2011)
Doctorat en langues germaniques (Université d'Anvers, 2004)
Licence en philologie romane (Ulg, 1987), doctorat en philosophie et lettres (Ulg, 2001)
Licence en Sciences mathématiques (Ulb, 1971), Licence en Sciences actuarielles (Ulb, 1972), Doctorat en Sciences (Ulb, 1976)
Doctorat en économie (Harvard University, 1985)
Licence de Sciences économiques et de gestion (Paris XII, 1978)
Doctorat en économie (Universität Wien, 1993)
Bruges, le 25 avril 1977 -
Doctorat en mathématiques (KUL, 2006) ; doctorat en économie (KUL, 2007)
Docteur en droit (Liège, 1820)
Le 6 décembre 1834, Henri de Brouckère est nommé professeur bénévole pour la chaire de droit criminel. Il n'enseignera que le premier semestre de l'année académique 1834-1835. Il continuera de siéger en qualité de membre permanent et de vice-président au conseil d'administration de l'Université jusqu'en 1861.
Docteur en droit (Université de Louvain, 1830)
En 1835, Henri succède à Henri de Brouckère alors en charge du cours de droit criminel. En 1838, il quitte l'Université pour se consacrer au barreau.
Anvers, le 29 mai 1809 - Bruxelles, le 6 janvier 1875.
Docteur en droit (Université de Louvain, 1835)
Avocat et professeur de droit criminel à l'Université d'Etat de Louvain de 1831 à 1834. Il intègre ensuite l'Université de Bruxelles où il enseignera jusqu'à sa mort, soit durant trente-sept ans.
Bruxelles, le 4 janvier 1837 - Ixelles, le 22 janvier 1910
Docteur en droit (Université de Bruxelles, 1859).
Il poursuit sa formation à Pari, au Collège de France et à la Faculté de droit. De retour à Bruxelles, il s'inscrit au barreau. En 1875, Charles assure la charge du cours de droit criminel après le décès d'Adolphe Roussel à l'Université de Bruxelles. Discipline qu'il enseigne pendant vingt ans.
Gosselies, le 7 novembre 1830 - Ixelles, le 10 août 1898
Docteur en droit (1853)
C’est au service des Archives et de la Réserve Précieuse de l’Université Libre de Bruxelles que Jacquemine Ganshof van der Meersch, fille du vicomte Walter Ganshof van der Meersch, a confié les archives de son père. C’est ainsi qu’après un long travail d’inventoriage, l’Université Libre de Bruxelles peut enfin rendre accessible aux lecteurs et au milieu de la recherche ce témoignage exceptionnel.
L’importance matérielle de ces archives porterait à croire que celles-ci ont été produites au cours de la vie de plusieurs hommes tant le travail de Walter Ganshof van der Meersch fut titanesque, que ce soit dans sa carrière judiciaire, académique et même politique. En effet, l’énergie qu’il a déployée tout au long de sa vie a engendré une vingtaine de mètres linéaires d’archives. Ces documents, objets et photographies représentent une addition exceptionnelle aux archives de l’université car ils sont le témoin de quasiment toute l’histoire belge du vingtième siècle. En tant que juriste, professeur d’université, académicien mais aussi militaire, Ganshof van der Meersch sera un témoin privilégié de tous les grands événements du siècle dernier. Vivant les deux guerres mondiales, la décolonisation de l’Afrique et les crises politiques de la Belgique, il sera un acteur direct et indirect de ces moments. Homme de principe, il n’hésitera jamais à défendre l’obscurantisme, le droit constitutionnel et les Droits de l’Homme même au prix d’incarcérations par le régime nazi durant la Seconde Guerre mondiale et de campagnes de décrédibilisation tout au long de sa carrière. Il semblerait d’ailleurs que celle-ci ne se soit jamais arrêtée, le juriste étant toujours porteur de conseils pour ses amis et occupant des postes dans différentes organisations même durant ses dernières années de vie. Évitant la lumière des projecteurs lorsque cela lui était possible, il est aujourd’hui peu connu par le grand public. L’Université libre de Bruxelles est donc fière de présenter cet inventaire et de permettre l’ouverture de ces archives. Les travaux et ouvrages scientifiques que cette dernière engendrera donneront, peut-être, plus de crédits à son travail et à son rôle dans l’histoire judiciaire et politique belge.
Walter Ganshof van der Meersch est né à Bruges le 18 mai 1900, fils de Louise Van Der Meersch et Arthur Ganshof, il complète ainsi une fratrie de trois garçons. Après des études secondaires chamboulées par la Première Guerre mondiale, il s’engage comme volontaire de guerre en 1917. Il entame ensuite des études de droit à l’Université Libre de Bruxelles et se marie à Elisabeth Orts, fille de Pierre Orts et de Georgina Peltzer en 1923. La même année il est nommé substitut du procureur du Roi. Tout en continuant sa carrière judiciaire, Ganshof, alpiniste et « bobeur », est peu connu pour ses exploits sportifs bien que celui-ci participe aux Jeux-Olympiques d’Hiver de 1928. De plus, celui-ci s’engage dans une mission scientifique en 1932 dont le but est d’explorer le Ruwenzori. Cette mission lui permet de pratiquer la chasse et l’alpinisme et il en tirera un reportage photo exceptionnel.
Dès les années 1930, celui-ci veut partager ses connaissances en devenant professeur, il est d’abord engagé à l’École de criminologie de l’État en tant que professeur de droit pénal. Il devient ensuite chargé de cours à l’ULB et professeur ordinaire de droit public dans la même université en 1944. Durant sa longue carrière académique, il crée plusieurs chaires au sein de son Alma Mater et mais également le Centre de Droit Public puis l’Institut d’Études Européennes (1964) qu’il préside lors des premières années suivant sa création (1964-1972). Pour un temps, il préside la faculté de Droit de l’ULB mais également l’Académie Royale de Belgique dont il est membre de la classe des lettres depuis 1978. Il est également invité à parler dans de nombreuses universités tant belges que internationales. Il devient d’ailleurs professeur de l’Académie de Droit internationale de La Haye.
Mises à part ses carrières sportive et académique, Ganshof Van Der Meersch est surtout connu pour avoir été un pilier de la discipline judiciaire belge durant des décennies. Après avoir été nommé substitut du procureur du Roi en 1923, il devient Auditeur général juste avant l’invasion de la Belgique par l’Allemagne en mai 1940. Il est contraint de fuir avec le Gouvernement en France et revient en juillet avant de se faire emprisonner à la prison de Saint-Gilles. C’est après cette détention de plusieurs mois qu’il s’engage pleinement dans la résistance, notamment via la presse clandestine. Il procure également des renseignements au Gouvernement réfugié à Londres et appartient au Comité clandestin. Dans un même temps, il devient Haut-Commissaire à la sécurité de l’État en 1943 après avoir été à nouveau détenu à la citadelle de Huy l’année précédente. De par ses nouvelles fonctions, il témoigne de la libération des camps de concentration et d’extermination allemands et devient, par la suite, un acteur important de la répression des crimes contre la sécurité de l’État et de la collaboration avec l’ennemi.
Après la Seconde Guerre mondiale, Ganshof est sollicité par de nombreux autorités judiciaires. C’est ainsi qu’il est nommé Avocat Général (1948) puis procureur général (1968-1974) à la Cour de Cassation. Il est également désigné comme juge ad hoc à la Cour internationale de La Haye en 1968 et juge puis Vice-Président à la Cour européenne des Droits de l’Homme de Strasbourg. De surcroît, il préside ou fait partie de nombreux comités, colloques, conseils comme lorsqu’il prend en charge le dossier de l’affaire des guichets de Schaerbeek. Il renoue aussi avec sa passion de la chasse en présidant le Conseil supérieur de la chasse et le Conseil national belge de la Food and Agriculture Organisation de l’ONU. Enfin, sa carrière sera complétée par une carrière politique. En 1946, Léopold III lui demande de former un gouvernement, ce qu’il refusera. Cependant, en mai 1960, il devient ministre des affaires générales en Afrique. Il part en mission de plusieurs mois dans le but de préparer le transfert de pouvoir aux autorités locales.
C’est après cette carrière de titan que Walter Ganshof Van Der Meersch s’éteint en septembre 1993 à Tintange, dans sa résidence principale. On peut retenir de cet homme son dévouement pour la démocratie et la Belgique, qui s’est traduit tout au long de sa carrière par un intérêt évident pour les Droits fondamentaux et pour le Droit européen. De par ses prises de paroles, il appelle couramment à un renouveau des systèmes juridique et pénale. On peut enfin se souvenir de ses importantes réflexions scientifiques et juridiques dont on a pu saluer l’expertise.
Docteur en droit
Docteur en économie (KUL et LSE, 1992)
Licence en biologie (2003), Master en psychologie (2007), Docteur en psychologie [2010]
Docteur en sciences psychologiques (2000)
Bruxelles, le 21 septembre 1877 - Aix-les-Bains, le 22 juin 1951
Officier du génie (Ecole militaire).
Bilzen, le 26 mai 1871 - Anvers, le 25 février 1968
Docteur en philologie germanique (Liège)
Camille fonde en 1926, l’École supérieure de la Cambre qui eut comme premier directeur Henry van de Velde.
Dinant, le 25 octobre 1891 - Bruxelles, le 31 décembre 1969
Fait ses études à l'Université libre de Bruxelles de 1910 à 1914 qu'il interrompra pour s'engager en qualité de volontaire à la guerre de 1914-1918 ; Docteur en philosophie et lettres (1919)
De 1940 à 1945, il enseigne aux Etats-Unis d'Amérique, sous la patronage CRB, à la New School for Social Research, New York et à Claremont Colleges, Claremont (Cal.). Il est co-directeur de la revue Le Flambeau.
Huy, le 20 juillet 1885 - Bruxelles, le 8 avril 1959.
Gustave Charlier (1885-1959) est né à Huy le 20 juillet 1885 d’un père instituteur. Après un parcours brillant à l’athénée de sa ville natale, il s’inscrit à l’Université de Liège en philologie romane. Section créée par Maurice Wilmotte. Il s’oriente ensuite vers l’histoire de la littérature moderne et y présente sa thèse de doctorat en 1908 intitulée Le sentiment de la nature chez les romantiques français. Cette thèse sera remaniée sous la direction de Gustave Lanson et éditée dans les Mémoires de l’Académie Royale de Belgique en 1912. Après ses études, Gustave Charlier complète sa formation à Paris, Florence et Bonn. De retour à Bruxelles en 1912, il entame une carrière de professeur à l’Université libre de Bruxelles qu’il maintiendra jusqu’à sa retraite en 1955. Il y crée en 1920 la section de philologie romane et sera également président de la Faculté de Philosophie et Lettres. Il continuera parallèlement à produire des ouvrages scientifiques. Gustave Charlier décède à Bruxelles le 8 avril 1959.
Bléré, le 31 août 1861 - Paris, le 8 juin 1933
De nationalité française, P. Sollier fait des études de médecine à Paris, où il soutient en 1891 une thèse sur la psychologie de l'idiot et de l'imbécile. Dès la fin du siècle, il partage ses activités entre Paris et Bruxelles; d'un côté, il dirige un sanatorium/clinique psychiatrique réputé à Boulogne-sur-Seine, — il y accueillera notamment Marcel Proust — ; de l'autre, il assure, dès 1897, divers enseignements et fonctions administratives au sein de l'Institut des Hautes Études de Belgique.
Wasmes, 29 avril 1901 - Bruxelles, 1 février 1979.
Docteur en droit (ULB, 1923)
Originaire du bassin hennuyer, Jean Baugniet fait ses humanités à l’Athénée royal de Mons avant d’entreprendre un cursus de droit à l’Université libre de Bruxelles. Au cours de ses études, Il participe à la fondation de la Confédération Internationale des Etudiants (CIE) dont il occupe la présidence pendant huit ans. Proclamé docteur en droit en 1923, Jean Baugniet entame une carrière juridique comme avocat près la Cour d’Appel. Dix ans plus tard, en décembre 1933, il débute sa carrière de professeur au sein de son alma mater, en tant qu’assistant du professeur Paul Vander Eycken au cours de droit commercial comparé de la Faculté de Droit. Cette nomination fait suite à seconde en 1934 comme assistant au cours de droit notarial et ce, pour quatre années. En juillet 1936, il embrasse la fonction de chargé de cours et dispense les leçons de « Rédactions et applications d’actes en langue française » et de « Procédure notariale en langue française ».
Durant l’été 1941, sur proposition du Bureau de la Faculté de Droit, Jean Baugniet accède à l’ordinariat. En octobre de la même année, il lui est demandé d’assurer la suppléance du cours de « Loi organiques du notariat » dispensé par Camille Hauchamps, alors malade. Néanmoins, face à la pression exercée par l’occupant allemand sur la gestion de l’Université, le Conseil d’Administration, en date du 24 novembre 1941, vote la suspension des cours à l’unanimité. À la libération, il prend officiellement la suppléance du cours de « Lois organiques du notariat » à la Faculté de Droit et celui de « Droit Commercial » à l’École de Commerce.
En juillet 1947, Jean Baugniet est désigné recteur de l’Université pour trois ans. À la suite de son rectorat, il assume conjointement à sa fonction de pro-recteur, la qualité de membre du Conseil d’administration du Centre Scientifique et médical de l’ULB en Afrique Centrale (CEMUBAC) et de la commission coloniale de l’Université. Parallèlement à ses fonctions universitaires, il assure également la présidence de la commission nationale de l’UNESCO en 1954. Il poursuit ses hautes fonctions académiques comme vice-président puis président de la Faculté de Droit d’une part, et président de l’École des Sciences criminologiques Léon Cornil d’autre part. En juin 1968, alors qu’un vent de révolte souffle sur le campus, Jean Baugniet devient président du Conseil d’Administration de l’Université.
Ce mandat présidentiel prend place dans un contexte singulier. L’Université, à partir du mois de mai 1968, est en effet perturbée par la vague internationale de protestation étudiante. Ce mouvement de contestation, inspiré des évènements de mai 68 en France, dénonce le manque de démocratie interne à l’Université. Durant une cinquantaine de jours, l’auditoire principal du campus du Solbosch est occupé par les protestataires ; des assemblés libres y sont organisées en vue de penser l’université réformée. Jean Baugniet, nommé président du Conseil à la suite de la démission de Felix Leblanc au début des protestations, se voit attribuer la tâche délicate de concilier les positions traditionnelles des uns et réformistes des autres. Avant d’accéder à l’honorariat en juin 1971, il sera donc témoin de la réforme des structures de l’Université vers une plus grande représentativité étudiante.
Bruxelles, 5 mars 1955 -
Physicien théoricien. Docteur en sciences (Ulb, 1980). Directeur des Instituts internationaux Solvay de physique et chimie (2004)
Ensival (Verviers), le 8 avril 1876 - Ixelles, le 25 novembre 1959.
Ingénieur civil des mines (Université de Liège, 1900), Ingénieur géologue (Ulg, 1902)
Bruxelles, le 7 janvier 1893 - Bruxelles, le 14 juillet 1978
Docteur en médecine, chirurgie et accouchements (ULB, 1921).
Docteur en droit (ULB, 1999), maître en philosophie (1993, Paris) et licencié spécial en droit économique (1990, ULB)
Stavelot, le 23 octobre 1858 - id., 25 juin 1944.
Pharmacien (ULg, 1879), continue ses études à l'Université de Strasbourg (1879-1882) et à l'Institut chimique de Bonn.
Chimiste, il fonde la Société chimique de Belgique en 1904, qui, en réalité, est une refondation de l'Association belge des chimistes. Il mène l'essentiel de sa carrière professorale à l'École militaire de 1893 jusqu'à sa retraite en 1928. Entretemps, il occupera la chaire de chimie à l'Université libre de Bruxelles de 1904 à 1906.
Lionel-Édouard Wiener, Bruxelles 13 avril 1879 - Bordeaux 5 septembre 1940. Ingénieur, professeur à l’ULB, écrivain, musicien, collectionneur.
Lionel Wiener naît dans une famille réputée dans divers domaines. Les arts, il est le petit-fils du graveur Jacques Wiener. Les finances, fils d’Édouard Wiener vice-président du Crédit général liégeois et administrateur de la Banque de Bruxelles. La politique par son oncle Sam Wiener sénateur de l’état indépendant du Congo et finalement la littérature via son cousin Franz Wiener pseudonyme de Francis de Croisset.
Ces nombreuses influences contribuent à l’épanouissement artistique de Lionel Wiener. Sous le pseudo Lionel Renieu, il publie une “Histoire des théâtres de Bruxelles” et prépare une “Histoire des théâtres de Paris” et une “Histoire des théâtres de Londres” qu’il n’a pas pu éditer.
Autre aspect de sa personnalité, Lionel Wiener est collectionneur : papillons, cartes postales, tickets de chemin de fer. Il quitte la Belgique à l’annonce de la seconde guerre mondiale pour Bordeaux.
Diplômé de l'Institut supérieur d'architecture La Cambre (1989)
Doctorat en sciences politiques et relations internationales (Sciences Po, Paris, 2009)
Homme politique socialiste belge, né 6 octobre 1869 à Hornu et décédé le 19 juillet 1948 à Knokke. Marius Renard est également enseignant, professeur et journaliste, illustrateur et romancier.