Ottignies, le 30 avril 1951 -
Mathématicien
Démissionne en 2016 de la fonction de recteur.
Soignies, le 3 janvier 1963 -
Licencié en histoire et en histoire de l'art et archéologie. En 2003, il fonde le Centre de recherches en archéologie et patrimoine de l'Université libre de Bruxelles
Watermael-Boitsfort, 13 décembre 1955 -
Docteur en médecine (1980)
Claude Joseph Élie Backvis est né à Schaerbeek le 24 avril 1910.
Il s’inscrit en philologie classique à la Faculté de Philosophie et Lettres de l’Université libre de Bruxelles et y obtient en juillet 1931 son doctorat.
Bruxelles, 12 juin 1864 - 6 mai 1942.
Docteur en sciences naturelles (ULB, 1887). Docteur agrégé à la Faculté des sciences (ULB, 1890)
Auguste Lameere fait ses études aux Universités de Bruxelles, de Liège, de Heidelberg et au Collège de France. En 1926, il crée l'Institut zoologique Torley-Rousseau grâce à la donation de Mme Torley-Keller en l'honneur de son fils.
Il épousera en 1901 Jeanne De Greef, la fille du sociologue Guillaume de Greef. De cette union, naitront Juliette et William, celui-ci fera également carrière à l'université libre de Bruxelles.
Licencié en kinésithérapie
Licenciée agrégée en éducation physique (1956)
Bruxelles, 1925 - Bruxelles, le 21 septembre 1999
Doctorat en Sciences (ULB, 2001)
Sous l’impulsion d’Ernest Solvay (1828-1922) incité lui-même par Walter Nernst (1864-1941), le premier conseil de physique (La théorie du rayonnement et les quanta) eut lieu en novembre 1911 à Bruxelles. Il révolutionna tant la physique quantique que ses instigateurs cherchèrent à instituer un soutien administratif solide pour pérenniser cette formule inédite de rencontre scientifique internationale. Pour ce faire, l’Institut International de Physique Solvay (IIPS), suggéré à Ernest Solvay par Robert Goldschmidt, vit le jour dans le dessein de favoriser le développement international de réunions savantes et de recherches en physique. Son but consistait tant à organiser des réunions scientifiques en petit comité regroupant d’éminents physiciens qui discuteraient des avancées dans leur spécialité qu’à offrir des subsides et des bourses. Jusqu’en 1946, l’Institut International de Physique Solvay, comme l’Institut de Physiologie ou celui de Sociologie, soutint financièrement de jeunes scientifiques belges et étrangers afin qu’ils puissent progresser dans leurs travaux. De même, Ernest Solvay souhaitait instaurer un système analogue pour la chimie. À cette fin, au moment même des discussions portant sur la fondation d’un Institut de physique, il correspondait. Néanmoins, les désaccords entre Ernest Solvay, Albin Haller et William Ramsay ne permirent pas à l’Institut International de Chimie Solvay (IICS) de voir le jour en 1913. En effet, le premier souhaitait une institution centralisatrice des savoirs au sein d’un comité scientifique international équilibré (autant de membres français, britanniques et allemands) alors que le second pensait cet institut comme une bibliothèque des savoirs regroupant la documentation mondiale dans le domaine de la chimie, à l’image de l’Office international de bibliographie (Mondaneum) de Paul Otlet (1868-1944)5 et Henri Lafontaine (1854-1943)6 — et de ce que représentait déjà l’Association Internationale des Sociétés Chimiques (AISC). Alors que l’échange épistolaire sur cette question du rôle de l’IICS s’intensifiait, la Première Guerre mondiale éclata mettant ce projet de côté jusqu’en 1920. À la sortie de la Grande Guerre, l’AISC est dissoute. Dès lors, en 1921, Ernest Solvay était libre de fonder l’IICS dans un dessein homologue à celui de l’IIPCS. Malgré l’ingérence récurrente des physiciens dans les affaires des chimistes, l’IICS tenta d’évoluer aussi indépendamment que possible de sa consoeur, l’IIPS. En 1963, en réponse à une restructuration économique — et après une prolongation de leur existence pour trente années sous les bonnes grâces des descendants d’Ernest Solvay — les Instituts retrouvent un nouveau souffle en fusionnant leurs conseils d’administration respectifs en une entité commune le 17 octobre 1963. Ainsi, ils deviennent les Instituts Internationaux de Physique et de Chimie Solvay (IIPCS). Mais, ils ne s’organisent pas pour autant de la même manière qu’aujourd’hui. En effet, en 1970, survient une nouvelle crise politique et budgétaire en Belgique. Il y eut d’une part, une récession économique qui toucha tant la recherche scientifique fédérale que les IIPCS et d’autre part, un épisode politique menant à la création de la Vrij Universiteit van Brussels (VUB). Pour pallier ces contingences politico-économiques, le directeur des IIPCS, Ilya Prigogine (1917-2003)7 et les recteurs des deux Universités désormais consoeurs — avec le soutien de Jacques-Ernest Solvay (1920-2010)8 — décidèrent, en 1970, de transformer les IIPCS en ASBL. Ceux-ci devinrent conséquemment indépendants des comptes des deux universités, bien que toujours localisés au sein de leurs bâtiments. Ainsi, l’ULB et la VUB prêtent toujours un président (Ilya Prigogine [1958 à 2003] et Marc Henneaux [1955 — ]9 depuis 2003) et un bâtiment aux IIPCS. La même année, la chaire Solvay est fondée afin de permettre aux jeunes étudiants belges d’évoluer et de se former tant à la physique qu’à la chimie dans un environnement international. Créée conjointement par les Instituts et l’ULB, elle invite deux fois par an des physiciens et des chimistes internationaux afin qu’ils partagent leurs connaissances avec de futurs physiciens et chimistes belges, favorisant, par la même, la circulation des savoirs dans ces deux branches de la science. Quant aux conseils internationaux de physique et de chimie, et ce jusqu’à ce que les Instituts fusionnent leurs administrations en 1963, ils eurent lieu tous les trois ans. Depuis, les conseils internationaux se donnent en alternance entre la physique et la chimie. Ainsi, tous les trois ans, se tient un conseil consacré soit à la physique, soit à la chimie. Il convient de souligner que, depuis la Seconde Guerre mondiale, la frontière hermétique entre ces deux sciences s’est amoindrie, ce qui donne lieu parfois à des conseils conjoints (Surface Science, Austin, 1987) ou à des Conseils portant sur la physico-chimie. Parmi les pointures scientifiques présentes lors de ces événements, de nombreux prix Nobel se sont réunis pour discuter des avancées en chimie et en physique. Terminons cette brève introduction en soulignant que les conseils de physique se placent parmi les premières rencontres internationales instituées au début du XXe siècle, annonçant le début de l’internationalisation de la science et plus tard, après la Seconde Guerre mondiale, sa supposée mondialisation.
Diplômé en sciences chimiques (ULB, 1989), Doctorat (ULB, 1993)
Historien spécialisé dans l'histoire de la ville de Bruxelles.
Doctorat en Sciences politique et sociales (ULB, 2009)
Née à Anvers le 15 juin 1930, décédée à Uccle le 12 février 2018. Femme politique belge, militante féministe, qui luttait entre autre pour la dépénalisation de l'avortement.
Liège, le 17 septembre 1860 - le 6 décembre 1912
Docteur en philosophie et lettres (1884) et docteur en droit (1885) de l'Université de Liège.
Liège, le 9 février 1889 - Ohain, 1976
Licencié en philosophie et lettres, Docteur en droit de l'Université de Liège.
Collaborateur scientifique à l'Institut de sociologie Solvay (1928), professeur de législation internationale du travail à l'Ecole d'ergologie de l'institut des Hautes Etudes de Bruxelles (1933-1940).
La Ligue belge des Droits de l'Homme a été créée à Bruxelles pour la première fois en 1901, par professeur Eugène Monseur. Même si cette période n'est pas bien soutenue par des sources, l'association belge a été créée très probablement sous influence de la Ligue des Droits de l'Homme, fondée en France en 1898 pendant l'affaire Dreyfus.
Dissoute pendant la Première Guerre Mondiale, la Ligue belge est recréée au début des années 1920 sous le nom Ligue belge pour la Défense des Droit de l'Homme et du Citoyen. Sous l'occupation allemande la ligue a été interdite. En 1954 ses anciens membres comme Jeanne Beeckman Vandervelde, Max Gottschalk ou Henri Rolin ont inspiré la création de la Ligue d'aujourd'hui. Les activités de la ligue suivaient trois sujets : la décolonisation, la lutte contre la dictature et le respect des droits humains dans les pays démocratiques.
Lycée situé rue Berkendael à Forest, Bruxelles.
En 1861 l'entrepreneur François Vaxelaire a créé à Bruxelles la société Au Bon Marché. En 1897 Julien Bernheim a ouvet rue Neuve le magasin À l'Innovation. Ces deux entités ont fussionnés en 1969 pour créer BM-Inno. En 1974 la troisieme société, Grand Bazar, a été intégrée, pour former le Groupe GIB qui regroupait les trois entreprises jusuqu'à 2002, l'année de liquidation.
L’Institut de Sociologie Solvay est créé en 1902 à l’initiative d’Ernest Solvay. C'est le premier institut à organiser des recherches en sciences sociales en Belgique. En 1922, suite au décès de E. Solvay, l'Institut sera rattaché à l'Université libre de Bruxelles.
L'Institut se compose d'unités de recherches spécialisées :
Atelier Genre(s) et Sexualité(s) (AGS)
Centre d'anthropologie culturelle (CAC)
Centre d'Etudes de la Coopération Internationale et du Développement (CECID)
Centre d'Etudes des Politiques et de l'Administration Publique (CEPAP)
Centre de Recherche et de Prospective en droit social (CeRP)
Centre d'Histoire et de Sociologie des Gauches (CHSG)
Centre de Sociologie de l'Education (CSE)
Centre de Théorie Politique (CTP)
Groupe de recherche sur les Relations ethniques, les Migrations et l'Egalité (GERME)
Groupe de Recherche sur les Acteurs Internationaux et leurs Discours (GRAID)
Groupe de Recherche sur l'Action Publique (GRAP)
Groupe de Recherche en Sociologie des Arts et des Cultures (GRESAC)
Laboratoire d'Anthropologie des Mondes Contemporains (LAMC)
Laboratoire de Méthodologie du Traitement des Données (LMTD)
Centre de recherches sur les Migrations, Espaces, Travail, Institutions, Citoyenneté, Epistémologie, Santé (METICES)
Licence en anthropologie (ULB, 2003) ; Doctorat en anthropologie (ULB, 2009)
Le Groupe d’Histoire et de Sociologie du Communisme, créé en 1989 par José Gotovitch, propose chaque année un grand nombre d'activités, conférences, colloques, séminaires, expositions sur l’histoire ou la sociologie de la gauche. En 1998, le Centre d’Histoire et de Sociologie des Gauches succèdera au Groupe.
Le Groupe mène des recherches et encadre des thèses dans le domaine de la sociologie et de la culture.
En 1986, ce groupe était un séminaire de recherche interdisciplinaire (GRESA), mais, depuis 2003, sous la direction de Daniel Vander Gucht, il devient le GRESAC.
Licencié en histoire de l’art et archéologie (ULB, 1988) ; Licencié en philologie et histoire orientales, Egyptologie (ULB, 1990) ; Docteur en philosophie et lettres, Histoire de l’art (ULB, 1995)
Le GRAP, fondé en 2003, propose une analyse dans plusieurs domaines: urbanisme, santé, culture, social et genre.
Licenciée en sciences sociales (ULB, 1989), Docteur en sciences sociales (ULB, 1994)
Fondé au début des années 1960 par le Prof. Luc de Heusch, l’un des fers de lance du structuralisme et spécialiste du monde bantou. Le Centre est spécialisé dans les domaines de l’anthropologie religieuse, de l’anthropologie de l’environnement, de l’anthropologie historique, de la technologie culturelle et de l’étude des cultures matérielles. Ses terrains d’enquête sont localisés principalement en Afrique, en Asie et en Amérique du sud, tant dans le monde rural qu’en milieu urbain.
Le Cercle d’Histoire de l’ULB est fondé par messieurs Frans van Kalken et Georges Smets le 20 janvier 1931. Dans ses premiers pas, le Cercle d’Histoire est une amicale dont font partie les professeurs, des anciens étudiants et des étudiants de l’université. Le CdH se distingue du CPL (Cercle Philo et Lettres) en plusieurs points : le CPL est un cercle facultaire alors que le Cercle d’Histoire est un cercle de section dont les activités sont orientées sur l’Histoire et parfois organisées avec l’aide des professeurs. Ensuite, le CPL est un cercle folklorique alors que le CdH est un cercle socio-culturel. Il n’y a donc aucune activité baptismale sous la bannière du Cercle d’Histoire.
Le premier président de cette amicale est Jean de Sturler, alors étudiant à l’Université Libre de Bruxelles. Le premier voyage organisé se déroule en 1933. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les activités sont suspendues, mais l’ancien président André Puttemans a organisé des cours clandestins.
En 1958, l’une des problématiques rapportées par de Sturler (vice-président en 1958) est l’absence d’un local régulier pour le cercle et les conférences organisées sous la bannière du Cercle d’Histoire. Cette problématique oblige le cercle à devoir trouver abri au Palais d’Egmont ou dans des salles privées comme la salle « Les Bourgmestres ». Au milieu des années 1960, le cercle organise un cours d’Allemand en vue de renforcer son apprentissage aux nouveaux étudiants en histoire.
Dans la fin des années 1960 au début des années 1970, les présidents du cercle ont de nombreux échanges quant à la reconnaissance du Cercle d’Histoire par l’Université Libre de Bruxelles. Ils mettent notamment en avant le but de l’association dans le maintien d’un contact étroit entre tous les historiens sortis de l’université, et de développer parmi eux l’esprit de corps. Les membres du cercle sont également informés sur les diverses directions de recherche de la discipline historique avec l’organisation de conférences avec des personnalités connues que les étudiants n’ont pas l’occasion d’entendre dans leur cours. Les voyages sont organisés dans le même esprit afin d’accueillir les nouveaux étudiants. Ces activités sont financées par les cotisations des membres. La reconnaissance du Cercle d’Histoire par l’université le 15 février 1971 octroi le droit au cercle d’obtenir des subsides pour organiser ses activités. A côté des activités « sérieuses », le cercle organise également des bals et banquets, ainsi que des activités à la Saint Nicolas avec les professeurs.
En outre, le cercle publie un bulletin quinquennal reprenant la bibliographie complète des mémoires et thèses soutenus en section histoire. Il comporte également la liste des prix, distinctions, bourses et résultats aux concours universitaires des diplômés de l’université. Un excellent moyen de propagande pour la qualité de l’enseignement de l’université. Parmi ses publications, on trouve à partir des années 1980 le Bulletin d’information du Cercle qui porte ensuite les noms successifs de Clio, Quid Novi, La Goulue et La Colonne depuis 1997.
Dans son histoire, le cercle a aussi développé des relations avec les autres cercles d’histoire des autres universités francophones mais également jusqu’à l’Université de Gand.
A partir des années 1980, le cercle se lance dans des activités plus folkloriques tels les Thé Dansants (T.D.) qui étaient auparavant réservés aux baptisés. Dans les années 1990, le cercle rejoint l’ACE (Association des Cercles Étudiants) permettant l’accès à la salle de la Jefke. En 2005, le cercle emménage au 131 Avenue Buyl. Un local qui permet d’organiser des « pré-TD », pré-bals, soirées thématiques, … En 2010, le Cercle d’Histoire passe du statut d’association de fait au statut d’A.S.B.L.
Le GERME est un groupe composé de chercheurs en sciences sociales étudiant les processus d'intégration et d'exclusion dans le contexte des sociétés contemporaines marquées par des inégalités sociales. De nombreux domaines sont abordés tels que: les pratiques de citoyenneté, le multiculturalisme, la politique d'intégration des migrants, la politique urbaine, les relations de genre, la xénophobie, l'intégration sur le marché du travail, l'éducation, la culture, la religion, la participation politique, les réseaux sociaux et la stratification sociale.
Licence en sciences sociales (ULB, 1982) et docteur en sociologie (ULB, 2000)
Fondateur du Groupe de recherche sur les Relations Ethniques, les Migrations et l’Egalité (GERME) de l’Institut de Sociologie. Spécialisé dans l’étude des politiques migratoires et d’intégration, des inégalités sociales dans le domaine de l'éducation, de l'intégration professionnelle des jeunes sur le marché de l'emploi et des pratiques et politiques d'inclusion sociale.
Licence en sciences sociales et politique (ULB, 2003) ; Docteure en sciences sociales et politiques (ULB, 2007)
Licencié en sociologie (Université de Gand, 1993) ; Doctorat en sciences sociales (Université d'Utrecht, 1998)
Le Centre Scientifique et Médical de l’Université libre de Bruxelles en Afrique Centrale (CEMUBAC) est créé le 23 mars 1938 à l’initiative d’Albert Dustin, premier Président de la CEMUBAC, soutenu par le Fonds Jacques Cassel. Le Centre est initialement focalisé sur des questions médicales telles que les maladies tropicales endémiques. À partir de 1950, le CEMUBAC se développe et entame une diversification de ses centres d’intérêt professionnels pour devenir la base de la recherche scientifique des membres de l’ULB en Afrique centrale. A cette date, le CEMUBAC est organisé en sept sections : psychologie, enseignement, sciences naturelles, sciences appliquées, géographie, économie et une section interdisciplinaire. En 1958, une huitième section est ajoutée dans l’organigramme de l’organisation : le comité opérationnel. Cette dernière section est notamment le bras opérationnel de la section interdisciplinaire et s’occupe de l’organisation de nombreux voyages des scientifiques de l’Université libre de Bruxelles. A l’indépendance du Congo, le CEMUBAC recentra ses activités dans le domaine médical. Aussi, son statut juridique évolue pour devenir un établissement d’utilité publique de droit zaïrois. En 1976, elle quitte le giron du droit congolais pour devenir une association sans but lucratif de droit belge, Le Centre Scientifique et Médical de l’Université libre de Bruxelles pour ses activités de coopération. En 1982, le CEMUBAC évolue vers le statut d’organisation non gouvernementale, lui permettant d’obtenir des subventions de la coopération belge et de la Commission des Communautés Européennes (CEE).
Né à Bruxelles le 8 juin 1934 -
Licence en Sciences politiques et administratives (ULB, 1967 ou 1969)
Co-fonde "L'Equipe spéléo de Bruxelles" en 1955. Il enseignera plusieurs années à l'Institut d'Etudes sociales de l'Etat au Congo (CEMUBAC)
Jonathan Lamblot membre fondateur du CPhi
Depuis [2023?] le CSA devient le Cercle étudiant de sociologie et anthropologie (CESA)
Licence (Master) en Langues et littératures romanes (ULB, 1997) ; Doctorat en lettres modernes (Université de Toulouse-Le Mirail / Université libre de Bruxelles, 2006)
Le Centre appréhende les textes comme des objets complexes et étudie le « littéraire » dans son acceptation la plus large, selon des approches caractérisées par leur dimension comparatiste et pluridisciplinaire. En s’attachant à l’explication de textes et à leur contexte de production, elle aborde les domaines traditionnels de l’étude de la langue et de la matérialité du texte mais elle s’ouvre également au renouvellement des disciplines des sciences humaines.
Centre qui étudie les principaux courants de la linguistique contemporaine autour de quatre axes :
L'analyse du discours et sociolinguistique étudie le langage dans son contexte d'usage social ; L'axe morphologique et syntaxe favorise une étude poussée des structures linguistiques ; L'axe sémantique et pragmatique se concentre sur la question de l'interface entre le sens conventionnel et son usage en contexte ; L'axe langage et cognition met en lumière les corrélats cognitifs des phénomènes linguistiques en utilisant des modèles et des méthodes issues des sciences cognitives de la psychologie expérimentale et clinique
Utilisant les outils de la sémiologie, de la sociologie et de l’analyse de discours, les chercheurs de ReSIC y mènent des projets de recherche fondamentale et appliquée autour de la culture, des médias et des technologies.
Licence en Sciences politique et Relations internationales (ULB, 1987)
Licence en philologie romane (ULiège, 1987), doctorat en philosophie et lettres (ULiège, 2001)