Pédiatre
Bruxelles, le 4 janvier 1837 - Ixelles, le 22 janvier 1910
Docteur en droit (Université de Bruxelles, 1859).
Il poursuit sa formation à Pari, au Collège de France et à la Faculté de droit. De retour à Bruxelles, il s'inscrit au barreau. En 1875, Charles assure la charge du cours de droit criminel après le décès d'Adolphe Roussel à l'Université de Bruxelles. Discipline qu'il enseigne pendant vingt ans.
Bruxelles, le 10 janvier 1872 - Saint-Gilles, le 23 avril 1941
Ingénieur civil (ULB, 1894)
Ixelles, le 21 décembre 1875 - Ixelles, le 3 juillet 1953
Docteur en droit (ULB, 1898)
En 1945, P. Graux devient Vice-président de la Faculté de Droit et siègera, à ce titre, au Conseil d'administration.
Harmignies, le 25 mars 1796 - Bruxelles, le 12 décembre 1873
Chirurgien
Louvain, le 26 juin 1871 - Uccle, le 2 juin 1955
Docteur en philosophie et lettres (Université de Liège, 1893)
Philologue et linguiste. Professeur à l'Université de Liège et à l'Université libre de Bruxelles.
Huy, 21 mars 1881 - Bruxelles, 28 septembre 1964.
Docteur en philologie classique (Université de Liège, 1902).
Philologue et historien. Chargé de cours sur une chaire de philologie grecque à l'Université libre de Bruxelles, chaire qui resta la sienne jusqu'à sa retraite.
Licence en droit (ULB, 1983), Docteur en droit (ULB, 1991)
Boom, le 16 mai 1901 -
Docteur en médecine (1927). Professeur de biochimie pathologique
Docteur en droit, Licencié en sciences administratives, Licencié en notariat (Université de Gand)
En 1938, il devient Administrateur territorial de la province de Coquilhatville (plus précisément dans le comté de Bongandanga, dans le district de Tshuapa). En 1948, il est nommé magistrat à Léopoldville.
Charleroi, le 9 mai 1822 - Bruxelles, le 7 janvier 1911
Diplômé candidat en philosophie et lettres, docteur en sciences naturelles (1844) et docteur en médecine (ULB, 1849)
Versailles, le 19 février 1791 - Bruxelles, le 2 mai 1861
Admis en 1811 comme candidat-professeur à l'Ecole normale de Paris, il poursuit sa formation à la Sorbonne et au Collège de France. Il devient bachelier ès lettres en 1811 et licencié ès sciences en 1812. A la création de l'Université libre de Bruxelles, il donnera les cours de chimie et de physique.
Verviers, le 9 décembre 1914 -
Ingénieur civil électro-mécanicien (ULB, 1936)
Licenciée en Éducation physique (ULB, 1983), Licenciée en kinésithérapie et réadaptation (ULB, 1986)
Wilrijk, le 8 février 1961 -
Ingénieur commercial (VUB, 1984)
Paris, le 13 février 1925 - le 8 octobre 2011
Master of Arts (University of Oxford) ; Licence en législation maritime (1948) ; docteur en droit (1951)
Ingénieur commercial (ULB, 1947)
Docteur en droit (ULB, 1970) et en philosophie (ULB, 1976)
Née dans une famille d’artistes imprégnée de tradition catholique, Mary Habsch (1931-2023) passe son enfance dans la province de Liège aux côtés de ses deux sœurs, Martine et Rosine. Sa mère Maria Libotte (vers 1900-1938), musicienne, obtient en 1921 le premier prix de violon au Conservatoire royal de Liège. Son père, Jean Pierre Habsch (1898-1976), poète resté non publié, fait déménager la famille à Vilvoorde après le décès prématuré de Maria. Il y dirige la fabrique de céramique Vestaceram, pour laquelle Mary réalise des dessins ainsi que des motifs décoratifs.
Après une longue formation en dessin, peinture à l'huile, aquarelle et gravure à l'Académie des Arts et Métiers d'Etterbeek et à l'Académie des Beaux-Arts de Bruxelles, Mary Habsch obtient son régendat et dirige les cours d'arts plastiques de l’Institut Sainte-Ursule et de l’Institut Sainte-Marie, où elle enseigne principalement les bases en dessin, croquis et peinture.
Tout au long de sa carrière, l’artiste reçoit de nombreuses distinctions, notamment en tant que finaliste du prix de Rome en 1958. Bien qu’elle ait organisé quelques expositions personnelles, elle expose principalement au sein de collectifs auxquels elle appartient, tels que GRYDAY, le Cercle des Artistes forestois, la Fédération féminine artistique belge et les Copains du Ça m’dit. Après avoir occupé plusieurs ateliers, dont une loge à l’Académie des Beaux-Arts, elle s’installe à la Cité Mommen dans les années 1970, où elle expose régulièrement et, aux côtés de Marc Vosch, initie les premiers "ateliers portes ouvertes".
L'œuvre de Mary Habsch se caractérise par différentes phases thématiques et stylistiques. Dans les années 1950-1960, elle réalise presque exclusivement des œuvres à dimension sociale, représentant des individus au travail dans des conditions pénibles, des scènes de la vie quotidienne, telles que des personnages dans les transports en commun ou flânant dans les marchés aux puces, sans oublier des portraits de personnes rencontrées lors de ses voyages en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Ces premières œuvres, dominées par une touche libre et visible, des teintes sombres et de larges aplats de couleur, témoignent d’une forte influence de l’expressionnisme de Permeke, un artiste qu’elle admire profondément. L'œuvre "La Grève", conservée au Musée d’Ixelles, est un exemple marquant de cette phase.
Dans les années 1960, l’artiste explore de nouveaux thèmes, tout en maintenant une dimension sociale et un style similaire, en particulier autour des univers de la danse, de la musique, du spectacle et du clown. Ces nouveaux personnages restent empreints de mélancolie, comme en témoigne sa toile "Des mains" (vers 1960, huile sur toile). À partir des années 1970, influencée peut-être par les problèmes de santé de son père, avec qui elle vit, elle aborde des thèmes davantage religieux et mystiques. Finalement, dans les années 1980, son travail s’oriente de nouveau vers des motifs folkloriques, notamment à travers une série de peintures inspirées de l'Ommegang, ainsi que des paysages. Bien que sa touche appuyée et ses aplats de couleur restent présents, les teintes deviennent plus lumineuses à partir de cette période et cette évolution se poursuit jusqu'à la fin de sa production artistique, au début des années 2000.
Ses croquis et aquarelles réalisés sur le vif lors de voyages et d’évènements culturels, ainsi que les photographies qu’elle prend ou collectionne, servent de modèle pour ses peintures à l’huile. Elle ne réalise jamais de dessin préparatoire sur la toile, préférant travailler directement au pinceau ou au couteau. Les photographies conservées dans ses archives révèlent une multitude de sources d’inspiration : le cinéma (comme le film "Le Septième Sceau" pour son tableau "Jeu d’échecs"), les émissions télévisées, le folklore belge, les concerts musicaux, la nature sous toutes ses formes, ainsi que des thèmes philosophiques, bibliques, voire ésotériques.
Reims, 30 novembre 1912 - 2010
Licencié en théologie à Reims (1929-1935) puis à Rome (1937) ; licencié en sciences bibliques et orientales (Rome, 1939)
Licencié en kinésithérapie
Licence en Sciences mathématiques (Ulb, 1971), Licence en Sciences actuarielles (Ulb, 1972), Doctorat en Sciences (Ulb, 1976)
Ingénieur civil chimiste (ULB, 1986) ; Docteur en sciences appliquées (ULB, 1992)
Herchies, 19 septembre 1939 - 1990
Licencié en histoire (ULB, 1963) ; Doctorat en philosophie et lettres (ULB, 1972)
Archiviste de l'État à Saint-Hubert.
Bruxelles, 13 novembre 1822 - Ixelles, le 23 août 1870
Docteur en sciences et en médecine, chirurgie et accouchement.
Bruxelles, le 30 octobre 1939 - le 24 juillet 2012
Diplôme de pharmacien (1964)
Docteur en droit (ULB, 1955)
Vilvoorde, le 3 juillet 1865 - Uccle, le 2 juin 1922
Docteur en droit (1886)
Ingénieur civil physicien (1970) ; ingénieur en automatique (1972) ; docteur en sciences appliquées (1979)
Schaerbeek, le 4 mai 1909 - Ixelles, le 8 juillet 1995
Ingénieur commercial (Solvay, 1931), Licencié en sciences coloniales (1936), docteur en sciences coloniales (1946)
Charleroi, le 31 décembre 1942 -
En 1964, Hervé obtient sa licence en Histoire et prépare un doctorat qu'il reçoit en 1970.
Francfort, le 29 octobre 1929 - Bruxelles, le 16 août 2010
Ingénieur commercial (1952), licencié en sciences économiques et financières
Bersillies (France), le 8 septembre 1873 - Menton (France), le 26 avril 1958
Docteur en droit (ULB, 1892)
Buzet, le 9 septembre 1809 - le 26 février 1871
Pharmacien
Ostende, 12 juin 1913 - Ixelles, 6 juin 1961
Licencié en sciences chimiques (Université libre de Bruxelles, 1939) (doctorat en 1942?)
Professeur de chimie.
Ixelles, le 8 juillet 1880 - Ixelles, le 16 septembre 1965
Ingénieur agricole (Gembloux, 1900). Pendant vingt ans, il enseigne la botanique à l'Institut supérieur d'agronomie et de médecine vétérinaire à Buenos Aires. En 1925, il rentre à Bruxelles pour succéder à Jean Massart dans l'enseignement.
Anderlecht, le 5 octobre 1915 - le 7 septembre 2000
Docteur en droit (ULB, 1938)
Il est reçu Docteur en médecine, chirurgie et accouchements en 1871. Cette étape franchie, il est attaché en tant qu’aide de la clinique chirurgicale du Professeur Louis Deroubaix. Par la suite, il se rend à l’étranger et réalise, au sein du laboratoire de Karl Ludwig, une thèse intitulée Expériences sur la circulation du sang dans des organes isolés. Introduction à une étude sur les effets des substances toxiques par la méthode des circulations artificielles. En défendant sa thèse devant la Faculté de médecine de l’Université Libre de Bruxelles en 1873, il reçoit le titre de Docteur agrégé. Il débute alors sa carrière d’enseignement en tant que préparateur du cours de physiologie de Gottlieb Gluge et est nommé Professeur extraordinaire la même année. Successeur de Gottlieb Gluge, il enseigne la physiologie humaine de 1873 à 1877 et la physiologie ainsi que l’embryologie de 1877 à 1907. En 1879, il obtient le grade de Professeur ordinaire et est appelé aux fonctions de Président de la Faculté de médecine de 1889 à 1891. Militant pour le développement des laboratoires et des instituts scientifiques, il prend la direction de l’Institut de physiologie universitaire ainsi que celui de Solvay dès leurs créations, en 1894, jusqu’en 1907. Durant la Première Guerre mondiale, il assume la direction de l’Université et devient membre permanent du Conseil d’administration de l’Université en 1918 avant d’en prendre la présidence des années 1918 à 1924. En 1924, il démissionne de ses fonctions. Voir : A.U.L.B., Dossier administratif de Paul Héger ; Demoor, Jean, Paul Héger. 1846-1925, Bruxelles, 1935 ; Slosse, Auguste, Paul Héger. 1846-1925, Bruxelles, ULB, 1928; R. Bardez, La Faculté de médecine de l’Université Libre de Bruxelles: entre création, circulation et enseignement des savoirs (1795 – 1914), non publiée, Université libre de Bruxelles, 2015, p.439.
Bruxelles, 2 mars 1878 - 10 février 1957.
Docteur en médecine (ULB, 1902) et docteur en sciences médico-chirurgicales (ULB, 1909)
Médecin légiste à partir de 1902, organise pour ses étudiants des cours pratiques (des autopsies médico-légales)
Bruxelles, le 7 septembre 1967 -
Docteur en philosophie et lettres (communication, information et journalisme). Professeur de sociologie des médias et de communication politique.
Historien. Professeur d'histoire des temps modernes à l'Université libre de Bruxelles.
Médecin (ULB, 1926)
Franz Hellens né à Bruxelles le 8 septembre 1881 et décédé dans la même ville le 20 janvier 1972. Il est romancier, poète, essayiste et critique d’art.
Docteur en droit de l’Universté de Gand en 1905, il se lie avec des peintres gantois et publie plusieurs articles de critique d’art.
Il renonce à sa carrière d’avocat et entre comme stagiaire à la Bibliothèque royale. Durant la première guerre mondiale, non mobilisable, il séjourne en Hollande et en Angleterre et à son retour il découvre la lumière et les couleurs de la Côte d’Azur où il fait la connaissance de Matisse, Modigliani, Maeterlinck, Jules Romain.
De retour à Bruxelles en 1920, il reprend ses fonctions de bibliothécaire à la Chambre des Représentants.
En 1921, Franz Hellens fonde la revue Signaux de France et de Belgique qui deviendra en 1922 et jusque 1925 le Disque Vert.
Il fréquente les “Diners du lundi” à partir de 1932 signe le Manifeste de ce groupe avec 21 auteurs belges dont Grégoire Le Roy, Eric de Haulleville, René Verboom en 1932.
Saint-Josse-ten-Noode, le 11 avril 1844 - Bruxelles, le 30 août 1892
Etudie l'architecture à Paris.
Médecin pédiatre (1970)
Bruxelles, 5 mars 1955 -
Physicien théoricien. Docteur en sciences (Ulb, 1980). Directeur des Instituts internationaux Solvay de physique et chimie (2004)
Armand Henneuse, né en 1901 et décédé en 1976 est un écrivain, poète et éditeur belge. Il participe au groupe d'intellectuels avant-gardistes "Lumière" de Roger Avermaete. Il fonde la Société d'édition "Les écrivains réunis" en 1924 à Paris et s'installe ensuite à Lyon. Il publie principalement des poètes, parmi lesquels Louis Aragon, Blaise Cendrars, Georges Duhamel, Paul Eluard, Géo Norge, Francis Ponge. Pendant la seconde guerre mondiale, il est résistant et déporté. Après la libération, Armand Henneuse reprendra son métier d'éditeur.
Namur, 23 juillet 1915 - Uccle, 19 juin 1997.
Docteur en Droit (Université libre de Bruxelles, 1938)
Maître de conférences en droit économique et financier. Correspondant de l'Académie royale de Belgique. Ministre d'Etat (1977), sénateur (1979-1985), député
Gembloux, 20 mai 1910 - Nancy, 22 février 2002.
Docteur en philologie romane (ULB, 1932) - Etude historique et littéraire pour le roman d'Alexandre
Chargé du cours de dialectologie wallonne à l’Université libre de Bruxelles (1949), avant d’y être nommé professeur (1958-1976).
Bruxelles, avril 1921 - 2014
Docteur en médecine, chirurgie et accouchements (ULB, 1945)