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Notice d'autorité
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Kipfer, Paul

  • BE AULB NA P 0151
  • Personne
  • 1905-1980

Bienne (Suisse), le 11 mars 1905 - Bruxelles, le 14 janvier 1980
Diplômé en Sciences physiques et mathématiques de l'Ecole polytechnique fédérale de Zürich.

Burstin, Octave

  • BE AULB NA P 0076
  • Personne
  • 1908 - 1983

Jassy (Roumanie) 18 juin 1908 - 14 février 1983

Docteur en Sciences économiques (ULB, 1931)

Pelseneer, Paul

  • BE AULB NA P 0842
  • Personne
  • 1863 - 1945

Bruxelles, le 26 juin 1863 - Bruxelles, le 5 mai 1945
Docteur en sciences naturelles (ULB, 1884), Docteur spécial en sciences zoologiques (ULB, 1888)

Errera, Maurice

  • BE AULB NA P 0013
  • Personne
  • 1914-2009

Uccle, 14 juin 1914 - 23 mai 2009.
Docteur en médecine (ULB, 1939), docteur en médecine tropicale (ULB, 1940), médecin hygiéniste (ULB, 1948), agrégé (1952)
Médecin biologiste.

Centre de recherche en information et communication

  • BE AULB NA C 0096
  • Collectivité

Utilisant les outils de la sémiologie, de la sociologie et de l’analyse de discours, les chercheurs de ReSIC y mènent des projets de recherche fondamentale et appliquée autour de la culture, des médias et des technologies.

Stas, Jean Servais

  • BE AULB NA P 0001
  • Personne
  • 1813-1891

Louvain, 21 août 1813 - Bruxelles, 13 décembre 1891.
Médecin et chimiste analytique (Université de l'Etat de Louvain, 1835).
Connu pour ses travaux sur la masse atomique des éléments chimiques et ses recherches sur les poids atomiques.
Il intervient comme expert dans le procès du vicomte de Bocarmé, accusé d'avoir empoisonné son beau-père, Hyppolite Visart, à l'aide de nicotine (1850)

Faculté de psychologie, sciences de l’éducation et logopédie

  • BE AULB NA C 0006
  • Collectivité
  • 1919 -

Créé en 1919 sous le nom d'Ecole de pédagogie elle sera rebaptisée École des sciences de l’éducation en 1948. A la suite des événements de 1968 et des réformes de statut qu’ils entraînèrent, l’année 1970 fut marquée par la transformation de l’École des Sciences psychologiques et pédagogiques en Faculté mais ne prendra sa dénomination de Faculté des sciences psychologiques et de l'éducation qu'en 1994. Depuis la rentrée académique 2023, la faculté devient Faculté de psychologie, des sciences de l’éducation et de logopédie.

Amy, René

  • BE AULB NA P 0587
  • Personne
  • 1902-1963

Ixelles, le 18 mars 1902 - Uccle, le 2 août 1963
Docteur en philologie germanique (ULB, 1925), Docteur en droit (ULB, 1925), licenciée en droit maritime (ULB, 1925), licenciée en économie financière (ULB, 1925), licencié en sciences coloniales (ULB, 1927), licencié en sciences administratives (ULB, 1927), licencié en sciences économiques (ULB, 1928), docteur en sciences économiques (ULB, 1929)
Juge d'instruction

Errera, Giacomo

  • BE AULB NA P 0556
  • Personne
  • 1834-1880

Venise, 20 juillet 1834 - Bruxelles, 11 décembre 1880
Banquier, financier.
Rejoint Bruxelles en 1856 pour effectuer un stage chez Joseph Oppenheim.
Co-fondateur de la Banque de Bruxelles le 13 novembre 1871.

Pelseneer, Jean

  • BE AULB NA P 0192
  • Personne
  • 1903-1985

Bruxelles, 7 janvier 1903 - 1 juillet 1985.
Doctorat en sciences physiques et mathématiques (ULB, 1926)

Gourou, Pierre

  • BE AULB NA P 0125
  • Personne
  • 1900-1999

Pierre Gourou, géographe et professeur à l'Université libre de Bruxelles, est né le 31 août 1900 à Tunis. Licencié en histoire et géographie de l’Université de Lyon (1919) et d’études supérieures dans les mêmes matières (1920), il est élevé au grade d’agrégé d’histoire et géographie en 1923. Il débute sa carrière professorale à Tunis, puis il enseigne à Saigon, Hanoï. Durant cette période, il continue ses recherches qui aboutissent à la soutenance d’une thèse à la Sorbonne qui sera ensuite publiée sous le titre Les Paysans du Delta tonkinois (1936). A cette date, Pierre Gourou rejoint l’Université libre de Bruxelles et prend la succession des enseignements de géographie, laissés vacants par Alfred Hegenscheidt, et participe à la direction de l’Institut de géographie. Durant la Seconde Guerre mondiale, il continue son enseignement d’abord à Montpellier puis à la Faculté des Lettres de Bordeaux en 1942. Spécialiste de l’Indochine, Pierre Gourou s’ouvre à l’étude de l’Afrique lors d’un séjour à Dakar en 1945. Ce voyage est une contribution importante pour la réalisation de son ouvrage Les pays tropicaux, principes d’une géographie humaine et économique (1947) qui lui vaut le Prix Paul Peillot et son entrée au Collège de France.
En octobre 1945, il regagne Bruxelles et ses activités de recherche et d’enseignement à l’université qui se centrent de plus en plus sur les territoires du Congo. À la demande de l’Institut royal colonial belge, Gourou reçoit la tâche de réaliser un atlas du Congo. Dans cette perspective, il effectue un premier long voyage en 1949 pour l’établissement des cartes de son atlas. Ces voyages donneront également lieu à la publication d’une importante étude intitulée La densité de la population rurale au Congo belge (1955), recherche qu’il applique également au cas du Ruanda-Urundi. Aussi, Pierre Gourou dirige la section géographie du CEMUBAC et de ce fait, dirige la politique d’envoi de jeunes géographes au Congo. Durant ces années, il participe à de nombreux projets scientifiques internationaux et devient l’un des spécialistes de la discipline géographique centrée sur l’Afrique. Son ouvrage L’Afrique est ainsi publié en 1970 chez Hachette. La même année, il prend sa retraite, mais continue à développer son travail de publication et de recherche. Il publie notamment les ouvrages Pour une géographie humaine (1973) ou encore L’Amérique tropicale et australe (1976). Pierre Gourou décède le 13 mai 1999 à Bruxelles.

Faculté des Sciences

  • BE AULB NA C 0008
  • Collectivité
  • 1834 -

Les premières années de la Faculté ne comportaient que les enseignements suivants: l'algèbre, l'astronomie, la géométrie et la trigonométrie, la chimie, la physique, la géologie, la botanique, la zoologie et l'anatomie comparée. D'autres disciplines se sont développées à partir du XXe siècle.

Union Etudiante Syndicale

  • BE AULB NA C 0068
  • Collectivité
  • 1961-1970

Les prémices de la création du mouvement syndical étudiant à l'ULB commencent en octobre 1960 avec la mise en place d'un Comité estudiantin de Revendication (CER). Cette première organisation syndicale cherche à améliorer la situation matérielle des étudiants. Le CER appellera à la participation des étudiants lors de la grande grève de 1960/1961, et beaucoup de ceux-ci répondront présents. Ceci, et la démocratisation de l'enseignement supérieur qui a débuté dans les années 50, permettant à des étudiants issus de classes sociales moins favorisées de s'inscrire à l'université, entraîne le développement d'une conscience syndicale au sein du milieu étudiant.

C'est ainsi qu'en octobre 1961, un groupe de militants du CER crée l'Union Générale Syndicale (UGS). L'UGS met deux revendications en avant : la démocratisation ainsi que la réforme du système d'enseignement et le combat avec la classe ouvrière pour faire sauter les structures sociales mises en place par la bourgeoisie. En novembre 61, l'UGS et le Brussels studentengenootschap (l'équivalent de l'AG pour les flamands) créent ensemble une Centrale d'achat, qui a pour but d'offrir aux étudiants des tarifs avantageux sur toutes sortes de biens (alimentation, cours, impressions...), elle sera par la suite intégrée aux service de l'ULB.

Des premières actions sont mises en place pour obtenir une réduction des prix sur les cours aux Presses et une réduction des tarifs au restaurant universitaire. L'Union prendra également contact avec le Ministère de la Prévoyance sociale afin de discuter des problèmes de sécurité sociale pour les étudiants (présalaire, soins médicaux gratuits...). Concernant la politique de l'ULB, l'UGS exige la cogestion, avec une représentation étudiante au Conseil d'administration. En 1962, l'Union compte plus de 2000 membres cotisants, et commence une unité d'action avec la CGSP-ULB. La réforme de l'AG qui a lieu la même année permet la création d'une Commission syndicale de l'AG (CoSAG) qui se rapproche de l'UGS , et certains membres de ce dernier deviennent membre du bureau exécutif de l'AG.

Suite à la première année d'actions syndicales à l'université les autorités prennent des mesures limitant le nombre d'affiches sur le campus et interdisant la vente de journaux politiques. En 1963, l'UGS dépose au Conseil d'administration de l'ULB un mémorandum concernant la cogestion, la réforme de la sécurité sociale et une critique de la cité des filles. Ne recevant aucune réponse, les étudiants organisent une grève avec le soutien de la CGSP-ULB. Cette proximité entre l'UGS et la CGSP amène à l'idée d'une intégration de l'Union à la CGSP en tant que secteur étudiant. Cependant, cette proposition divise fortement les membres de différentes tendances (socialistes et communistes) de l'UGS, et les relations internes se détériorent. En février 1964, le bureau de l'Union démissionne et l'UGS disparaît.

Mais déjà en septembre 1964 un nouvel organisme syndicale est créé, le Comité d'Action Etudiant, qui a pour but de jeter les bases pour une nouvelle organisation syndicale étudiante stable, tout en attaquant la politique sociale des autorités académiques. C'est sur base de ce Comité qu'en février 1965 l'Union Etudiante Syndicale (UES) est créée. Celle-ci adopte les structures d'un syndicat et affirme sa volonté d'intégration au sein du syndicalisme des travailleurs.

De nombreux travaux seront entamés pour intégrer l'UES à la CGSP, mais une motion dans ce sens est rejetée par cette dernière, qui renvoie la responsabilité de la création d'un secteur étudiant à la FGTB. Malgré ces déboires, l'UES entame des actions syndicales avec les jeunesses syndicales de la FGTB liées à la démocratisation de l'enseignement, et continue ses actions aux côtés de la CGSP. En 1966, la FGTB pose les conditions pour la création d’un secteur étudiant en son sein, mais celles-ci ne plaisent pas à l’Union. En effet, la FGTB veut développer ce secteur sur des bases neuves, sans passer par l’UES et ce secteur serait au niveau présyndical, alors que l’UES voulait être sur un pied d’égalité avec les secteurs professionnels. Cet épisode marque la fin des tentatives d’intégration au sein d’un syndicat national.

A côté de son implication au niveau de la politique sociale étudiante, l’Union s’engage également contre la guerre du Vietnam. En 1968, l’UES sera très occupée avec la crise de Leuven et réclamera le dédoublement linguistique des universités de Louvain et Bruxelles. Pour ces occasions, de nombreuses manifestations et grèves seront organisées, et celles-ci continueront lors des évènements de Mai 68. L’UES disparaitra peu après, et les raisons de cette disparition restent assez floues.

Moucheron, Cécile

  • BE AULB NA P 0845
  • Personne

Docyeur en sciences chimiques

Vanderborght, Paul

  • BE AULB NA P 0844
  • Personne
  • 27 octobre 1899 - 27 novembre 1971

Paradis, Charles

  • BE AULB NA P 0828
  • Personne

Docteur en médecine (ULB, 1885)
Charles, inscrit en 1878 en médecine à l'Université libre de Bruxelles, diplômé en 1885

Bauler, Thomas Tom

  • BE AULB NA P 0760
  • Personne

Economiste (Université Louis Pasteur, Strasbourg, France, 1995), Master en Sciences, Techniques et Sociétés (Ecole Polytechnique fédérale de Lausanne, Suisse, 1996), doctorat en Sciences et gestion de l'environnement (ULB, 2007)

Decroly, Jean-Michel

  • BE AULB NA P 0761
  • Personne
  • 1966 -

Licencié en sciences géographiques (ULB, 1988), Docteur en Sciences (Orientation Sciences Géographique) (ULB, 1994)

École de Santé publique

  • BE AULB NA C 0011
  • Collectivité
  • 1963 -

C'est en 1963 que l'Université libre de Bruxelles décide, sur proposition de la faculté de Médecine, de transformer l'Institut d'Hygiène et de Médecine Sociale en "École de Santé publique." Cette école réunit trois services de la Faculté de médecine : le Laboratoire d'hygiène de Médecine du travail, le Laboratoire de médecine sociale et le Laboratoire de statistique médicale.
En plus des champs d'études et de recherches, ces services assumaient de nombreux autres domaines d'enseignement et de formation des médecins et des personnels de soins. Parmi eux : l'administration et la gestion des hôpitaux, des services infirmiers et d'autres institutions de soins, la planification de la santé, la santé de l'enfant et de la famille, les soins de santé mentale, la prévention et l'éducation pour la santé, l'habitat et l'environnement...

Faculté des Sciences de la motricité

  • BE AULB NA C 0013
  • Collectivité
  • 1945 -

En 1904, à l'initiative de Ernest Solvay, se crée l'École Supérieure d'Éducation Physique de Bruxelles. EN 1934, grâce à la Fondation Andriesse, les études sont complétés par l'enseignement de médecins licenciés en éducation physique. Après le 2e guerre mondiale, l'Institut sera annexé à la Faculté de Médecine et de Pharmacie.
Les enseignements de candidature sont ceux de sciences naturelles et médicales mais avec toutefois des titulaires propres en anatomie par exemple. Il y aura des enseignements pratiques et notamment des cours d'éducation physique. Au fil des Congrès nationaux et internationaux, de nouvelles unités de recherche se créent. Leurs activités apportent une contribution importante au développement des sciences aussi bien en éducation physique qu'en kinésithérapie et réadaptation.
En 1973, l'Institut devient autonome et changera de nom en 1975 l'Institut supérieur d'Éducation physique et de Kinésithérapie (ISEPK)
Suite à l'évolution du temps, les cours sont complétés par des enseignements spécifiques tels que : en loisirs, en sports, en milieu du travail (1965), en médecine sportive (1969), en kinésithérapie en milieu sportif (1974), en kinésithérapie ostéopathique (1989), en activités physiques adaptées (1991), des spécialisations en éducation physique ainsi que des pré-spécialisations en kinésithérapie (1994) et plus récemment, un cursus en ostéopathie.

En 2007, l’Institut change de nom. Désormais, on parlera de l’Institut des Sciences de la Motricité (I.S.M.) et depuis septembre 2010, de la Faculté des Sciences de la Motricité (F.S.M.).

Centre de droit européen

  • BE AULB NA C 0233
  • Collectivité

Le Centre a d’abord existé en tant que section juridique de l’Institut d’Études Européennes. Il existe en tant que Centre rattaché à la Faculté de droit et de criminologie depuis 2015.

Institut d'études européennes

  • BE AULB NA C 0083
  • Collectivité
  • 1962 -

Au début des années 60, après l’entrée en vigueur du Traité de Rome, les autorités académiques de l’ULB ont souhaité créer un Institut d’études européennes. L’Institut est officiellement inauguré le 27 février 1964.
Ce centre se concentre sur les questions européennes principalement à travers quatre disciplines : le droit européen, les sciences politiques, l’économie et l’histoire. Centre de recherche et d’enseignement, il forme les spécialistes des questions européennes.

Dony, Marianne

  • BE AULB NA P 0742
  • Personne

Licenciée en droit (ULB, 1977) ; licenciée spéciale en droit économique (ULB, 1979) et docteur en droit (ULB, 1990)

Brière, Chloé

  • BE AULB NA P 0849
  • Personne
  • 1986 -

Docteur en droit (2016, Université libre de Bruxelles et Université de Genève)

Coman, Ramona

  • BE AULB NA P 0744
  • Personne
  • 1978 -

Licenciée en science politique (Université de Bucarest, 2001) ; Master en politique européenne de l’Institut d’études européennes (ULB, 2003) ; docteur en Sciences politiques et sociales (ULB, 2008).

Foret, François

  • BE AULB NA P 0734
  • Personne

Doctorat en science politique (Paris, La Sorbonne, 2001)

Bouland, Catherine

  • BE AULB NA P 0639
  • Personne

Licence en Sciences zoologiques (1979), agrégation en sciences biologiques, Docteur en Sciences zoologiques (1988)

Pirson, Magali

  • BE AULB NA P 0847
  • Personne

Docteur en santé publique

Baudry, Stéphane

  • BE AULB NA P 0848
  • Personne
  • 1974 -

Docteur en sciences de la motricité (ULB, 2007)

Delattre, Alain

  • BE AULB NA P 0846
  • Personne
  • 1976 -

Diplômé en langues et littératures classiques (ULB 1997) et langues et littératures orientales (ULB 1999). Docteur en langue et littérature (ULB, 2004)

Herlant-Meewis, Henriette

  • BE AULB NA P 0136
  • Personne
  • 1910-2000

Bruxelles, le 2 avril 1910 - Braine-le-Comte, le 1er avril 2000.
Zoologiste et professeur à l’Université libre de Bruxelles. Elue membre correspondant de la Classe des sciences de l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique, le 13 décembre 1975,

Cercle d'histoire

  • BE AULB NA C 0031
  • Collectivité
  • 1931 -

Créé en 1931, le Cercle d'histoire organise des activités autant culturelles que folkloriques. Son symbole est le sablier, sa muse Clio, ses couleurs le gris et le rouge et son journal La Colonne.

Cercle d’histoire de l’art et archéologie

  • BE AULB NA C 0029
  • Collectivité
  • 1973 -

Le Cercle a pour but de de partager leur passion pour les Arts, l’Archéologie et la Culture, et se destine à promouvoir la culture sous toute ses formes auprès des étudiants de l'ULB. Il a son propre journal La Chaarue.

De Cannière, Bernard

  • BE AULB NA P 0850
  • Personne
  • 1961 -

Ingénieur civil mécanicien et électricien (ULB, 1984) ; DEA en Sciences cognitives (ULB, 2007)

Salmon, Jean

  • BE AULB NA P 0602
  • Personne
  • 1931-2022

Docteur en droit (ULB, 1954) ; Docteur en droit international (Paris, 1957)

Galerie Isy Brachot III

  • BE AULB NA C 0220
  • Collectivité
  • 1960 - 1993

Fondée en 1960 par Isy Brachot II, sur les cendres de la galerie « L’Art Belge » de son père (Isy Brachot I), la galerie Isy Brachot, dès les années 1960, se spécialise dans l’art moderne et contemporain et expose des artistes tels que Dali, Ensor ou Picasso. Isy Brachot III et sa femme Christine Duchiron reprennent la galerie à la mort d’Isy Brachot II en 1967. Ensemble, ils ouvrent la galerie à des artistes toujours plus contemporains. Isy Brachot III étend également l’œuvre de ses prédécesseurs en ouvrant trois autres galeries, à Knokke-le-Zoute (1971-1979), Paris (1978-1993) ainsi qu’une deuxième galerie à Bruxelles en 1989.

Spécialiste de René Magritte, Isy Brachot III réalisera plus de 30 expositions sur l’artiste surréaliste dans ses galeries, entre 1968 et 1995. Épaulé par son épouse, qui elle-même ouvrira certaines galeries à Bruxelles (Rue Villa Hermosa) et à Paris (Rue Mazarine), le galériste s’intéresse également à l’Hyperréalisme, l’art conceptuel et le Pop Art, organisant des expositions de Panamarenko et Roman Opalka. De plus, la galerie participe également à de nombreuses expositions internationales, de Madrid à Miami, et s’associe couramment avec d’autres galeries étrangères (Maeght (Paris), Krugier (Genève), Pace (New-York) …).
En parallèle à ses fonctions au sein de sa galerie, Isy Brachot III préside 10 ans durant l’Union Professionnelle des Marchands d’Art Moderne et Contemporain. De plus, après 10 ans de vice-présidence, il mène, pendant un an, la Chambre Belge des Experts en Œuvres d’Art. En 1993, Isy Brachot III procède à la liquidation volontaire de sa galerie. Désormais, ses enfants, Laure, Isadora et surtout Isy Gabriel Brachot perdurent l’héritage de leur père avec leurs galeries personnelles respectives.

Almine Rech Gallery

  • BE AULB NA C 0221
  • Collectivité
  • 2007 - présent

Almine Rech est une galériste française spécialisée en art contemporain. Elle ouvre sa première galerie à Paris en 1989, dans le Marais, en collaboration avec Cyrille Putman. Elle ouvre ensuite des galeries à Bruxelles (2007), Londres, New-York, Shangai.
Elle crée avec son mari Bernard Picasso, la Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte (FABA) en 2002. Une fondation de droit espagnol qui s'occupe d'étudier l'œuvre de Picasso.

Conseil d'administration de l'Université libre de Bruxelles

  • BE AULB NA C 0017
  • Collectivité
  • 1834 -

Le Conseil d’administration a en charge la gestion générale de l’Université, de ses finances, de son patrimoine et de ses infrastructures. Il établit le budget et les comptes annuels et fixe le cadre des personnels et des services.

Université libre de Bruxelles

  • BE AULB NA C 0001
  • Collectivité
  • 1834

Première université de Bruxelles, l'Université de Belgique prendra le titre dès 1836 d'Université libre de Bruxelles.

Maison des Sciences humaines

  • BE AULB NA C 0026
  • Collectivité
  • 2015 -

Créée en 2015 à l'initiative de Didier Viviers, la Maison des sciences humaines s'inscrit dans une recherche concernant les questions et les débats qui animent la société civile. Elle abrite 7 centres : AmericaS (Centre interdisciplinaire d’Etude des Amériques), CREG (Centre de recherche sur l’expérience de guerre), LIEU, (Laboratoire interdisciplinaire en études urbaines), OMAM (Observatoire des mondes arabes et musulmans), STRIGES (Structure de recherche interdisciplinaire sur le genre, l’égalité et la sexualité), EASt (East Asian Studies) et Modernitas (Modernism and Avant-Garde studies) depuis novembre 2022. En 2022, LIEU quitte le centre et devient une équipe affiliée au sein de la MSH.

Henrion, Robert

  • BE AULB NA P 0134
  • Personne
  • 1915-1997

Namur, 23 juillet 1915 - Uccle, 19 juin 1997.
Docteur en Droit (Université libre de Bruxelles, 1938)

Maître de conférences en droit économique et financier. Correspondant de l'Académie royale de Belgique. Ministre d'Etat (1977), sénateur (1979-1985), député

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