Licencié en sciences chimiques (ULB, 1959)
Halle, 30 octobre 1942 -
Docteur en médecine (1967). Il est spécialiste en médecine interne et en néphrologie.
Bruxelles, 5 février 1950 -
Licencié en histoire de l'art et archéologie en 1972 ; licencié en sciences sociales des pays en voie de développement (1973) ; docteur en philosophie et lettres (1978)
Ottignies, le 30 avril 1951 -
Mathématicien
Démissionne en 2016 de la fonction de recteur.
Soignies, le 3 janvier 1963 -
Licencié en histoire et en histoire de l'art et archéologie. En 2003, il fonde le Centre de recherches en archéologie et patrimoine de l'Université libre de Bruxelles
Watermael-Boitsfort, 13 décembre 1955 -
Docteur en médecine (1980)
Claude Joseph Élie Backvis est né à Schaerbeek le 24 avril 1910.
Il s’inscrit en philologie classique à la Faculté de Philosophie et Lettres de l’Université libre de Bruxelles et y obtient en juillet 1931 son doctorat.
Bruxelles, 12 juin 1864 - 6 mai 1942.
Docteur en sciences naturelles (ULB, 1887). Docteur agrégé à la Faculté des sciences (ULB, 1890)
Auguste Lameere fait ses études aux Universités de Bruxelles, de Liège, de Heidelberg et au Collège de France. En 1926, il crée l'Institut zoologique Torley-Rousseau grâce à la donation de Mme Torley-Keller en l'honneur de son fils.
Il épousera en 1901 Jeanne De Greef, la fille du sociologue Guillaume de Greef. De cette union, naitront Juliette et William, celui-ci fera également carrière à l'université libre de Bruxelles.
Licencié en kinésithérapie
Licenciée agrégée en éducation physique (1956)
Bruxelles, 1925 - Bruxelles, le 21 septembre 1999
Doctorat en Sciences (ULB, 2001)
Diplômé en sciences chimiques (ULB, 1989), Doctorat (ULB, 1993)
Wasmes, 29 avril 1901 - Bruxelles, 1 février 1979.
Docteur en droit (ULB, 1923)
Originaire du bassin hennuyer, Jean Baugniet fait ses humanités à l’Athénée royal de Mons avant d’entreprendre un cursus de droit à l’Université libre de Bruxelles. Au cours de ses études, Il participe à la fondation de la Confédération Internationale des Etudiants (CIE) dont il occupe la présidence pendant huit ans. Proclamé docteur en droit en 1923, Jean Baugniet entame une carrière juridique comme avocat près la Cour d’Appel. Dix ans plus tard, en décembre 1933, il débute sa carrière de professeur au sein de son alma mater, en tant qu’assistant du professeur Paul Vander Eycken au cours de droit commercial comparé de la Faculté de Droit. Cette nomination fait suite à seconde en 1934 comme assistant au cours de droit notarial et ce, pour quatre années. En juillet 1936, il embrasse la fonction de chargé de cours et dispense les leçons de « Rédactions et applications d’actes en langue française » et de « Procédure notariale en langue française ».
Durant l’été 1941, sur proposition du Bureau de la Faculté de Droit, Jean Baugniet accède à l’ordinariat. En octobre de la même année, il lui est demandé d’assurer la suppléance du cours de « Loi organiques du notariat » dispensé par Camille Hauchamps, alors malade. Néanmoins, face à la pression exercée par l’occupant allemand sur la gestion de l’Université, le Conseil d’Administration, en date du 24 novembre 1941, vote la suspension des cours à l’unanimité. À la libération, il prend officiellement la suppléance du cours de « Lois organiques du notariat » à la Faculté de Droit et celui de « Droit Commercial » à l’École de Commerce.
En juillet 1947, Jean Baugniet est désigné recteur de l’Université pour trois ans. À la suite de son rectorat, il assume conjointement à sa fonction de pro-recteur, la qualité de membre du Conseil d’administration du Centre Scientifique et médical de l’ULB en Afrique Centrale (CEMUBAC) et de la commission coloniale de l’Université. Parallèlement à ses fonctions universitaires, il assure également la présidence de la commission nationale de l’UNESCO en 1954. Il poursuit ses hautes fonctions académiques comme vice-président puis président de la Faculté de Droit d’une part, et président de l’École des Sciences criminologiques Léon Cornil d’autre part. En juin 1968, alors qu’un vent de révolte souffle sur le campus, Jean Baugniet devient président du Conseil d’Administration de l’Université.
Ce mandat présidentiel prend place dans un contexte singulier. L’Université, à partir du mois de mai 1968, est en effet perturbée par la vague internationale de protestation étudiante. Ce mouvement de contestation, inspiré des évènements de mai 68 en France, dénonce le manque de démocratie interne à l’Université. Durant une cinquantaine de jours, l’auditoire principal du campus du Solbosch est occupé par les protestataires ; des assemblés libres y sont organisées en vue de penser l’université réformée. Jean Baugniet, nommé président du Conseil à la suite de la démission de Felix Leblanc au début des protestations, se voit attribuer la tâche délicate de concilier les positions traditionnelles des uns et réformistes des autres. Avant d’accéder à l’honorariat en juin 1971, il sera donc témoin de la réforme des structures de l’Université vers une plus grande représentativité étudiante.
Historien spécialisé dans l'histoire de la ville de Bruxelles.
Doctorat en Sciences politique et sociales (ULB, 2009)
Née à Anvers le 15 juin 1930, décédée à Uccle le 12 février 2018. Femme politique belge, militante féministe, qui luttait entre autre pour la dépénalisation de l'avortement.
Liège, le 17 septembre 1860 - le 6 décembre 1912
Docteur en philosophie et lettres (1884) et docteur en droit (1885) de l'Université de Liège.
Liège, le 9 février 1889 - Ohain, 1976
Licencié en philosophie et lettres, Docteur en droit de l'Université de Liège.
Collaborateur scientifique à l'Institut de sociologie Solvay (1928), professeur de législation internationale du travail à l'Ecole d'ergologie de l'institut des Hautes Etudes de Bruxelles (1933-1940).
Né à Bruxelles le 8 juin 1934 -
Licence en Sciences politiques et administratives (ULB, 1967 ou 1969)
Co-fonde "L'Equipe spéléo de Bruxelles" en 1955