Wavre, le 15 février 1922 - Bruxelles, le 17 mai 2014.
Malines, le 14 avril 1905 - Bruxelles, le 18 décembre 1969
Docteur en médecine, chirurgie et accouchements (ULB, 1931)
Chercheur et spécialiste de valeur dans les domaines de la bactériologie et de la parasitologie.
Licence en sociologie (ULB, 1995) ; Doctorat en criminologie (ULB, 2003)
Anvers, 4 février 1937 - Rhode-Saint-Genèse, 24 février 2014
Licence en sciences économiques (ULB, 1966) ; doctorat en sciences économiques (ULB, 1970)
Paris, 3 octobre 1955 -
Licenciée en sciences sociales (ULB, 1978), licenciée spéciale en coopération et développement (ULB, 1979), docteur en sciences sociales (ULB, 1986)
Frameries, 22 mars 1944 - Forest, 26 novembre 1996.
Licencié en philosophie et lettres, groupe Histoire (ULB, 1965)
Les statuts du Cercle établissent la fondation des Népelés en 1935 par Georges Neirynck, Emile Penninck et Christian Lepoivre. Le nom du Cercle est d’ailleurs issu des initiales des noms des trois fondateurs (N.P.L.). La date de création officielle est cependant incertaine, car les statuts ont été rédigés à posteriori, 1935 étant uniquement la première date présente sur une liste des membres.
Peu d’informations subsistent sur les activités des Népelés avant la guerre. Mais un grand nombre de ses membres s’impliqua activement dans la Résistance, comme Henri Neuman, Christian Lepoivre ou René Ewalenko au sein du Groupe G. Quatorze de ses membres ont, avec certitude, été Résistants, bien qu'il soit possible que ce nombre soit plus élevé.
De 1939 à 1942, et puis à nouveau à partir de 1946, les Népelés organisent généralement un banquet par an, qui se déroule pendant deux ou trois jours, en parallèle de journées d’études sur un thème désigné à l’avance. Au cours de ces moments, un "dictateur" (chef de cérémonie) est désigné pour organiser le banquet suivant.
Tournai, le 13 décembre 1951 -
Pharmacien (1974)
Née le 2 mai 1892 à Auderghem et morte le 7 août 1978 à Coxyde, est romaniste, historienne de la littérature et critique littéraire belge.
En 1937 elle épouse le poète catalan exilé Josep Carner i Puig-Oriol (1884-1970), elle l’accompagne, avant le déclenchement de la guerre, au Mexique où elle resta durant tout le conflit. Elle y enseigne et y fonde avec son mari la revue Orbe.
Bruxelles, 1933 -
Ingénieur civil des constructions (1956) ; docteur en sciences appliquées (1963)
Licence en droit (ULB, 1991), Doctorat en sciences juridiques (ULB, 2002)
Courtrai, le 27 mars 1851 - Bruxelles, le 4 septembre 1920
Etude le droit à l'université de Gand puis fréquenta les universités de Heidelberg, Leipzig et Berlin, Il succède à Alphonse Rivier comme professeur de droit international.
Licence en Philologie romane (ULB, 1965) ; Doctorat en Philologie romane (ULB, 1975)
Auteur dramatique. Professeur, ses cours portent sur l’analyse de films et l’esthétique cinématographique.
Anvers, le 12 février 1891 - Bruxelles, le 20 octobre 1972
Docteur en médecine (1921), Docteur en sciences psychiatriques (1931)
Uccle, le 16 juillet 1925 - Bruxelles, le 8 juin 2012
Licenciée en Sciences botaniques, spécialisée en Physiologie végétale (ULB, 1948) ; docteur en sciences, physiologie végétale (ULB, 1963)
Bruxelles, 18 septembre 1957 - 11 décembre 2003.
Licence en histoire de l'art et archéologie (ULB, 1078), Docteur en histoire de l’art et archéologie (ULB, 1993) et premier assistant en art contemporain à l’ULB.
Molenbeek, le 28 mai 1888 - Ixelles, le 3 juin 1959
Ingénieur commercial (ULB, 1910) et licencié en sciences politiques et sociales (ULB, 1910)
Crée l'Institut de statistique en 1952.
Bruxelles, le 14 décembre 1836 - Saint-Gilles, le 30 janvier 1899
Docteur en droit (1858) de l'Université libre de Bruxelles.
Doctorat en sciences politiques et relations internationales (Sciences Po, Paris, 2009)
Parthenay, 19 novembre 1898 - Suresnes, 19 septembre 1958.
Licencié en philosophie de l'École Normale Supérieure ; Docteur en médecine (Paris, 1929) et docteur ès lettres (Paris, 1947).
Professeur ordinaire de psychologie aux Facultés de Philosophie et lettres, des Sciences et des Sciences politiques, économiques et sociales, aux Écoles des Sciences pédagogiques, des Sciences criminologiques, des Sciences de l'Éducation, des Infirmières, annexée à L'Université, aux Instituts de Philologie et d'Histoire orientales et slaves, et du Travail.
Ingénieur commercial (ULB, 1998) ; Histoire de l'art et archéologie (ULB, 2001) et Docteur en sciences économiques et de gestion (ULB, 2003)
Leur chant est "Le plaisir des dieux"
Leur chant est "Les fraises et les framboises" et leur journal "Le Pantagruel" et les couleurs de leur penne sont bordeau et bleu
L'Ordre des Frères Macchabées est le plus ancien ordre encore en activité aujourd'hui. L'Ordre a été créé en 1918 (ou 1919 en fonction des sources), juste après la Première Guerre Mondiale, et aurait été appelé les Funèbres Macchabées dans un premier temps.
Selon une légende, l'Ordre trouve son origine dans la période de guerre, où des étudiants furent envoyés sur le front. Là, dans les tranchées, ils auraient participé à des réunions secrètes, basées sur la camaraderie maçonnique, organisées par des francs-maçons plus âgés. Après la guerre, les étudiants auraient voulu recréer cette mentalité en fondant l'Ordre. Le nom découlerait du fait que certains étudiants ne sont pas revenus de la guerre, ou que ceux qui sont revenus ont vu la mort de trop près.
Une autre origine de l'Ordre avancée est que les fondateurs étaient des enfants de francs-maçons, et qu'ils auraient voulu recréer un équivalent de Loge à l'ULB.
Au début de l'Ordre, les étudiants pouvaient poser leur candidature, et les Macchas décidaient de qui était digne de les rejoindre, après que ceux sélectionnés aient passé une série de tests et questions. Par la suite, les nouveaux membres sont cooptés, c'est-à-dire qu'un membre présente un étudiant aux Frères, qui est alors interrogé afin de décider de son admission. L'Ordre est très élitiste, et cherche surtout à recruter des étudiants bien placés dans des cercles, associations… A l'origine, l'Ordre est exclusivement masculin, et la première femme a être Grand Maître l'aurait été en 1981.
Si dans les années 20, leurs réunions étaient accessibles à la communauté universitaire, elles sont par la suite devenues secrètes. L'année 1931 marquerait le passage de l'existence publique à l'existence secrète de l'Ordre. Lors des réunions (tenures), les Frères se réunissent en toge et cagoule autour d'une table en fonction de leur hiérarchie. Chacune des fonctions porte un titre précis : Grand Maître, Antiseptique Injecteur, Méticuleux Gardien des Rites… Ces réunions servent à questionner les candidats potentiels, présenter des thèses (travaux thématiques), débattre du folklore et de problèmes universitaires, ou encore d'organiser des fêtes rituelles.
L'Ordre est rempli de symbolisme, tant au niveau des rites que de son langage. Ainsi, les jours et les mois portent des noms particuliers, et la correspondance fonctionne par antiphrase (il faut comprendre l'inverse de ce qui est écrit). Le décors et le vocabulaire se réfèrent souvent à la mort, le nombre 13 est sacré, et Jefke est un personnage important des rituels Macchas.
Le but de l'Ordre était de promouvoir un groupe construit sur la camaraderie estudiantine, afin de défendre les traditions estudiantines et les valeurs de l'ULB, comme le libre examen et la liberté d'expression. C'est dans cette optique que les Macchas communiquent par des tracts et des affiches à propos d'évènements d'actualités, en terminant souvent par la phrase : “Si la communauté universitaire ne réagit pas, les Macchas, eux, réagiront”. Les Frères Macchabées n'ont pas de revue officielle, mais ils ont pendant plusieurs années dirigé la publication du Bruxelles Universitaire, l'organe de l'Association Générale des Etudiants.
En ce qui concerne le lien avec la Franc-Maçonnerie, l'Ordre ne sert pas à proprement parler d'antichambre des loges, mais il est dit qu'à une époque, une partie des Frères rejoignaient une loge après leurs études.
Les activités de l'Ordre ont été interrompues pendant la Seconde Guerre Mondiale, l'occupant allemand étant fortement antimaçonnique. Une anecdote raconte que, dans un premier temps, les activités avaient continué, mais qu'au cours d'une tenure deux militaires allemands éméchés surgirent par hasard et crurent être au milieu d'un rituel maçonnique. Les Macchas se hâtèrent de partir et interrompirent leurs activités par prudence.
Il s'agit d'abord d'une société de guindaille exclusivement masculin, les Thanéas étant leur équivalent féminin. Avec le temps, l’Ordre du Phallus mélangera discussions, recherches philosophiques et activités festives comme, entre autres, la brocante organisée le 1er mai au Cimetière d’Ixelles. L'Ordre communique à travers sa revue "Le Monde diplomatich'" ou Phallus Hebdo. Leur chant est "Ni ni peau de chien" et leur symbole est la lettre grecque Phi ϕ
Ordre folklorique louvaniste faisant partie de l'Ordre national belge
Bruxelles, le 7 avril 1814 - le 3 novembre 1880
Avocat, historien et homme politique
La Haye, le 19 septembre 1916 - Bruxelles, le 28 août 1980
Psychologue clinicien. Certificat de pédagogie (1938), diplôme spécial de psychologie appliquée aux consultations pour enfants (1938) et diplôme général d'études pédagogiques (1939), docteur en philosophie de l'Université de Genève (1941).
De retour en Belgique en 1945, il devient assistant du professeur Nyssen à l'Ecole de pédagogie de l'Université libre de Bruxelles.
Metz, le 16 juillet 1794 - Paris, le 23 mars 1867
Avocat de l'Université de Strasbourg (1815).
Haine-Saint-Paul, le 23 septembre 1976 -
Licence en sciences mathématiques (ULB, 1998) ; Doctorat en Sciences, orientation statistique (ULB, 2002)
Athènes, 14 février 1934 - Bruxelles, 7 mars 2009.
ingénieur civil des Mines (1958), docteur en sciences appliquées (1964), professeur ordinaire et directeur de service à l'Université libre de Bruxelles, membre de l'Académie royale des sciences outre-mer et de sociétés savantes. Nommé professeur ordinaire le 1er octobre 1976 et prend la tête du service d’exploitation des mines de l’ULB, fonction qu’il occupera jusqu’à sa retraite en octobre 1999.
Ingénieur civil des constructions (ULB, 1935)
Fils du peintre Jules Pappaert.
Docteur en médecine (ULB, 1885)
Charles, inscrit en 1878 en médecine à l'Université libre de Bruxelles, diplômé en 1885
Licence (Master) en Langues et littératures romanes (ULB, 1997) ; Doctorat en lettres modernes (Université de Toulouse-Le Mirail / Université libre de Bruxelles, 2006)
Schaerbeek, le 1er juin 1906 - Watermael-Boitsfort, le 24 août 1991
Docteur en médecine (1930)
Uccle, le 30 janvier 1934 - Bruxelles, le 23 mars 2020
Docteur en Médecine (1958)
Licence en sciences politiques (ULB, 2003). Doctorat en sciences politiques et sociales (ULB, 2008)
Obaix, le 10 mars 1930 - le 11 mars 1991
Diplôme de pharmacien (1956)
Malines, le 15 avril 1867 - Ixelles, le 18 janvier 1959
Docteur en médecine, chirurgie et accouchements (Ulb,1892) ; docteur spécial en sciences médicales (1897).
Médecin pédiatre, il participera à la fondation de l'École de Pédagogie.
Licence en Philosophie et lettre (Philologie germanique) (1966) ; Docteur en philosophie et lettres (1968)
Bruxelles, le 14 décembre 1902 - id., le 11 avril 1964
Docteur en philosophie et lettres (ULB, 1924). Auteur de la thèse, défendue en avril 1939, "Les fastes d'Ovide, Histoire du texte"
Diplôme de Docteur en médecine, chirurgie et accouchements (1965), Licence Spéciale en Neuro-Psychiatrie (ULB 1968), Licence Spéciale en médecine légale, Section Psychiatrique (ULB 1969)
DEA de philosophie (Université Paris IV-Sorbonne, 2003)