Havelange, le 6 juillet 1867 - Bruxelles, le 4 février 1950
Docteur en sciences physiques et mathématiques (ULB, 1892), docteur spécial en géométrie supérieure (ULB, 1893)
Moortzeele , le 17 juillet 1835 - Genève, le 10 avril 1916
Sort de l'Ecole vétérinaire et d'agriculture de l'Etat diplômé en chimie.
Après un premier apprentissage à l’Ecole militaire, il obtient le grade de sous-lieutenant en 1859. Il est ensuite reçu Docteur en médecine, chirurgie et accouchements en 1867 et Docteur en sciences naturelles en 1875. Dès 1876, il est fait chargé de cours à titre provisoire, agrégé spécial l’année suivante ainsi que Professeur extraordinaire et Professeur ordinaire en 1881. Emile Yseux est particulièrement attaché à la Faculté des sciences dans laquelle il dispense de nombreux cours dont la zoologie, les exercices d’anatomies comparées et l’anatomie et physiologie comparées. Auprès de la Faculté de médecine, il dispense le cours d’éléments d’anatomie comparée de 1879 à 1909. Il remplit également les fonctions de Recteur de l’Université de 1882 à 1884. En-dehors de l’Université, il occupe de nombreuses fonctions telles que : Instructeur de l’Ecole royale militaire (1864 – 1870), médecin des pauvres (1874 – 1878), professeur aux Ecoles normales de Bruxelles (1874 – 1901), Conseiller provincial du Brabant (1876 – 1889) et Conseiller communal de Bruxelles (1879 – 1895). Voir : A.U.L.B., Dossier administratif d’Emile Yseux; R. Bardez, La Faculté de médecine de l’Université Libre de Bruxelles: entre création, circulation et enseignement des savoirs (1795 – 1914), non publiée, Université libre de Bruxelles, 2015, p.453.
Bruxelles, le 21 septembre 1877 - Aix-les-Bains, le 22 juin 1951
Officier du génie (Ecole militaire).
Bruxelles, 4 janvier 1870 - 6 mars 1935
Licencié en Ingénieur en constructions civiles (1893) de l'Université libre de Bruxelles.
Bruxelles, le 5 décembre 1883 - le 29 octobre 1961
Ingénieur civil des mines (ULB, 1904)
Macon (Hainaut), le 5 février 1832 - Bruxelles, le 16 février 1895
Docteur en sciences physiques et mathématiques (1862). En 1873, à l'initiative de Nicolas Schmit et des membres de la Faculté des sciences, il participe à la création de l'Ecole polytechnique.
Bruxelles, le 11 septembre 1841 - le 4 mars 1918
Ingénieur (Ecole des Mines de Liège, 1864)
Marche, 31 mai 1831 - Paris, 21 décembre 1908
Docteur en sciences physiques et mathématiques (1854). Professeur de Géométrie descriptive (1859-1865), physique mathématique (1859-1906), physique expérimentale (1861-1906), physique industrielle (1873-1874).
Gand, 3 octobre 1836 - Bruxelles, 25 mai 1916.
Il réalise ses études de médecine à l’Université de Gand et est reçu Docteur en médecine, chirurgie et accouchements en 1861. Après un séjour dans les grands centres européens, il s’installe à Bruxelles et défend, devant la Faculté de médecine de l’Université Libre de Bruxelles, une thèse intitulée De la pathogénie des symptômes urémiques. Etude de physiologie pathologique. Celle-ci lui vaut le titre d’agrégé de la Faculté de médecine en 1867. En 1869, il est nommé en tant que chargé de cours et enseigne l’anatomie humaine générale (1869 – 2976) et la clinique interne (1869 – 1891). Il est fait Professeur extraordinaire en 1870 et ordinaire en 1873. La même année, il débute l’enseignement des exercices micrographiques (1873 – 1908). De plus, il dispense le cours d’anatomie des textures (1876 – 1891) et l’histologie (1891 – 1908). Guillaume Rommelaere remplit les fonctions de Président du Conseil d’administration à titre définitif de 1907 à 1916. Voir : A.U.L.B., Dossier administratif de Guillaume Rommelaere; R. Bardez, La Faculté de médecine de l’Université Libre de Bruxelles: entre création, circulation et enseignement des savoirs (1795 – 1914), non publiée, Université libre de Bruxelles, 2015, p.444.
Bruxelles, le 23 janvier 1824 - Bruxelles, le 18 septembre 1898
Docteur en médecine, chirurgie et accouchements (1848)
Lamalmaison, le 15 août 1815 - Moulin-Battin (France), le 9 décembre 1870
Docteur en médecine, chirurgie et accouchement
Il effectue ses études de médecine à l’Université Libre de Bruxelles. En 1841, il est reçu Docteur en médecine, chirurgie et accouchements. Durant ses études, il occupe les fonctions d’interne et travaille sous la direction de Louis Seutin. En 1848, il est porté au programme des cours de la Faculté de médecine de l’Université bruxelloise sur la demande du Conseil des hospices afin de dispenser une clinique des maladies syphilitiques et cutanées à l’Hôpital Saint-Pierre. Au sein de cette institution, il remplit la fonction de chef de service et applique les théories de Philippe Ricord. En 1850, il est nommé Professeur extraordinaire de la Faculté de médecine et se voit confier le cours de pathologie chirurgicale. En 1856, il est nommé Professeur ordinaire et dispense, un an plus tard, le cours d’ophtalmologie, rattaché à son enseignement clinique. Il démissionne de ses fonctions d’enseignement en 1893. En 1848, il contribue à fonder La Presse médicale belge avec Jean Crocq, Jean Hannon et Émile Houzé. Il est élu membre titulaire de l’Académie royale de médecine en 1862, en remplacement de Louis Seutin. Voir : A.U.L.B. : Dossier administratif Jean Thiry
Pigeolet, Arsène (1814 – 1902). Il débute ses études de médecine à l’Université de Louvain avant de rejoindre celle de Bruxelles et d’obtenir les grades de Docteur en médecine, puis en chirurgie et en accouchements en 1837. Ses diplômes acquis, il reçoit une bourse de voyage du gouvernement qui lui permet de visiter les universités de France, d’Allemagne, d’Italie, d’Angleterre et de Hollande entre les années 1838 et 1841. De retour à Bruxelles, il pratique la médecine des pauvres entre 1842 et 1847 et est nommé médecin de l’Hospice Pachéco en 1843. En 1845, il soutient devant la Faculté de médecine une thèse intitulée Etude sur la maladie de la hanche à l’issue de laquelle il est fait Docteur agrégé de la Faculté de médecine à l’Université Libre de Bruxelles. En 1850, il est nommé Professeur extraordinaire. Il dispense de nombreux cours à l’Université dont ceux de la théorie des accouchements dès 1849, de la clinique des maladies des enfants de 1852 à 1856, de la clinique interne à Saint-Pierre de 1861 à 1866 et enfin celui de la clinique des accouchements à la maternité dès 1878. Il remplit la fonction de Recteur lors de l’année académique 1878 – 1879 et est reçu à l’éméritat en 1885. Voir : A.U.L.B., Dossier administratif d’Arsène Pigeolet; R. Bardez, La Faculté de médecine de l’Université Libre de Bruxelles: entre création, circulation et enseignement des savoirs (1795 – 1914), non publiée, Université libre de Bruxelles, 2015, p.444.
Tournay, mai 1802 - Bruxelles, le 9 septembre 1879
Docteur en médecine
Docteur en droit (ULB, 1954) ; Docteur en droit international (Paris, 1957)
Ixelles, le 25 octobre 1832 - le 3 décembre 1910
Docteur en droit et docteur en sciences politiques et administratives (ULB, 1856).
Renaix, le 4 décembre 1880 - Uccle, le 30 novembre 1960
Il entame ses études à l'université de Gand où il obtient un diplôme de candidat en philosophie et continue des études de droit à l'Université libre de Bruxelles (1904)
Gosselies, le 7 novembre 1830 - Ixelles, le 10 août 1898
Docteur en droit (1853)
Binche, le 22 mai 1825 - le 26 janvier 1885.
Professeur de droit civil.
Essen, le 8 août 1812 - Liège, le 10 novembre 1882
Charles fait ses humanités à Wesel et à Essen, où son père est magistrat, et poursuit des études de droit à Bonn et à Berlin. Dès sa sortie de l’université, il s'exile en Belgique et y pratique son métier d'avocat au Barreau de Liège puis de Bruxelles. En 1837, l'Université de Bruxelles lui confie une chaire d'Histoire et d’institutes du droit romain.
Leuze, le 10 août 1834 - Bruxelles, le 13 juillet 1909
Docteur en droit (1857)
Espierres, 4 mai 1772 - Bruxelles, 2 mars 1858
Avocat et philosophe. Elève de l'Ecole normale de Paris (1795). Il collabore au journal Le Républicain du Nord devint clerc, puis secrétaire-greffier à Louvain (1800-1809). Suite à un décret impérial, Van Meenen prête serment à la cour d'appel de Bruxelles mais exerce sa profession à Louvain. lors de l'appel de Th. Verhaegen, P;-F. participe à la fondation de l'Université de Bruxelles et pris, dans la foulée, la chaire d'encyclopédie de la philosophie pour l'échanger ensuite contre celle de philosophie morale.
Le Conseil d’administration a en charge la gestion générale de l’Université, de ses finances, de son patrimoine et de ses infrastructures. Il établit le budget et les comptes annuels et fixe le cadre des personnels et des services.
Le CReA-Patrimoine fédère l'ensemble des programmes de recherche dans les domaines de l'archéologie et du patrimoine, tant en Belgique qu'à l'étranger.
Licence en Histoire de l’Art et Archéologie, Antiquité Classique (ULB, 1990) ; Licence spéciale en Histoire, Histoire de l’Art et Archéologie en Etudes Byzantines (ULB, 1992)
Licence en histoire de l'art, Musicologie (ULB, 2000) ; Doctorat en musicologie (ULB, 2004)
Le Centre d’Étude de la Vie Politique (Cevipol) est une unité de recherche spécialisée en sociologie politique et politique comparée. Ses travaux portent sur la vie politique, les institutions, les acteurs, les règles et ressources des systèmes démocratiques.
Quatre axes thématiques structurent l’identité intellectuelle du Cevipol :
Les Partis, élections et représentation ; L'Intégration européenne : communautés en redéfinition, souverainetés et valeurs en conflit ; Les Identités, sociétés, pouvoirs en comparaison, pour une approche qualitative des systèmes politiques et Les Sport et politique
Le Centre de recherche en philosophie aborde non seulement les différents champs de la philosophie (logique, métaphysique, ontologie, épistémologie, théorie de la science, éthique, esthétique...), mais aussi son histoire et ses multiples courants.
Le Centre puise ses racines dans la création à l’ULB de la chaire d’histoire des religions, occupée dès 1884 par Eugène Goblet d’Alviella, l’une des premières du genre dans le monde, puis la mise sur pied de l’Institut d’Histoire du Christianisme (1965) et de son successeur, l’Institut d’Etude des Religions et de la Laïcité (1984), devenu CIERL en 2003.
Docteur en droit, Licencié en sciences administratives, Licencié en notariat (Université de Gand)
En 1938, il devient Administrateur territorial de la province de Coquilhatville (plus précisément dans le comté de Bongandanga, dans le district de Tshuapa). En 1948, il est nommé magistrat à Léopoldville.
Créé en 1919 sous le nom d'Ecole de pédagogie elle sera rebaptisée École des sciences de l’éducation en 1948. A la suite des événements de 1968 et des réformes de statut qu’ils entraînèrent, l’année 1970 fut marquée par la transformation de l’École des Sciences psychologiques et pédagogiques en Faculté mais ne prendra sa dénomination de Faculté des sciences psychologiques et de l'éducation qu'en 1994. Depuis la rentrée académique 2023, la faculté devient Faculté de Psychologie, des Sciences de l’éducation et de Logopédie.
Le Cercle est la fusion des anciens cercles Victor Horta (CVH), La Cambre (CLC) et celui de l'Académie des beaux arts (ACA). Il assure les aspects folkloriques de la faculté et produit la revue le "Compas bête" depuis 1995.
ULB Culture
Dates d'existence : 1969 -
BE AULB NA C 0289
Saint-Josse-ten-Noode, le 11 décembre 1912 -
Licencié en philosophie (ULB, 1936) ; Docteur en Philosophie (ULB, 1941) avec "La structure métaphysique de l'univers spinoziste" ; Agrégé le 18 mai 1945 (ULB) avec la thèse "La métaphysique de Paul Decoster"
Reconstitution du Cercle car dissous 3 ans plus tôt.
Le Cercle Polytechnique (CP) est un cercle facultaire de l’ULB. Sa création remonte au 4 décembre 1884, en faisant un des cercles étudiants les plus anciens de l’Université. Les documents de création ne sont malheureusement pas arrivés jusqu’à nous, ne nous laissant uniquement le nom de deux créateurs: Emile Tassel et Oscar Schmidt. La mission du cercle, qui reste inchangée, est de défendre le principe du Libre-Examen, collaborer à l’enseignement à l’aide de voyages et visites, mais également établir un lien entre les membres. Pendant les premières années, le cercle ne sera pas présidé, jusqu’en 1914, lorsqu’il faut demander des subsides. C’est Henri Michel qui fût le premier président, laissant son nom dans le cri du CP: “Henri, Volt, Ampère”.
Le CP est un cercle folklorique qui organise chaque année une bleusaille. Étant également un cercle facultaire, le baptême n’est pas obligatoire pour pouvoir participer aux activités du cercle ou pouvoir y devenir administrateur·ice. Voici certains évènements organisés par le cercle: la Nuit Polytechnique (depuis 1926), des vacances au ski, un banquet nommé la Sainte Barbe chaque 4 décembre, des jobdays, les 6h Cuistax (depuis 1988) voyages à Peyresq, le Festival de la chanson Estudiantine (depuis 1975), TD, pré-TD, une revue (depuis 1888), conférences et sorties culturelles. D’autres organes sont rattachés au cercle, comme par exemple l’Ordre de la Grande Molette (depuis 1965), la Ludothèque (depuis 1992), ou encore la Guilde Polytechnique, organe chantant du CP.
Le CP dispose d’un journal, l’Engrenage, qui paraît depuis 1965 quelques fois par an pour des occasions spéciales. Auparavant, le CP sortait également la REP (Revue Étudiante Polytechnique, qui a commencé en 1921) ayant pour but d’expliquer des points abordés trop rapidement en cours.
Les cercles de l’ULB utilisent de nombreux symboles, c’est également le cas du CP, qui utilise la couleur noire, la molette, le Zéphyrin (dit le plus grand et plus petit poil du CP), la Sainte Barbe, les boulons, …
Première université de Bruxelles, l'Université de Belgique prendra le titre dès 1836 d'Université libre de Bruxelles.
Uccle, le 30 novembre 1938 - 30 juillet 2024
Docteur en sciences (1963). Glaciologue
En 1904, à l'initiative de Ernest Solvay, se crée l'École Supérieure d'Éducation Physique de Bruxelles. EN 1934, grâce à la Fondation Andriesse, les études sont complétés par l'enseignement de médecins licenciés en éducation physique. Après le 2e guerre mondiale, l'Institut sera annexé à la Faculté de Médecine et de Pharmacie.
Les enseignements de candidature sont ceux de sciences naturelles et médicales mais avec toutefois des titulaires propres en anatomie par exemple. Il y aura des enseignements pratiques et notamment des cours d'éducation physique. Au fil des Congrès nationaux et internationaux, de nouvelles unités de recherche se créent. Leurs activités apportent une contribution importante au développement des sciences aussi bien en éducation physique qu'en kinésithérapie et réadaptation.
En 1973, l'Institut devient autonome et changera de nom en 1975 l'Institut supérieur d'Éducation physique et de Kinésithérapie (ISEPK)
Suite à l'évolution du temps, les cours sont complétés par des enseignements spécifiques tels que : en loisirs, en sports, en milieu du travail (1965), en médecine sportive (1969), en kinésithérapie en milieu sportif (1974), en kinésithérapie ostéopathique (1989), en activités physiques adaptées (1991), des spécialisations en éducation physique ainsi que des pré-spécialisations en kinésithérapie (1994) et plus récemment, un cursus en ostéopathie.
En 2007, l’Institut change de nom. Désormais, on parlera de l’Institut des Sciences de la Motricité (I.S.M.), en septembre 2010, de la Faculté des Sciences de la Motricité (F.S.M.) et depuis septembre 2024 de la Faculté des Sciences de la motricité humaine
Docteur en sciences pharmaceutiques (ULB, 2002)
Fondé le 5 avril 1979, le cercle a pour objectifs :
- de développer, d’encourager et de maintenir les liens d’amitié entre les étudiants congolais de Belgique et les étudiants d’autres nationalités, dans un esprit de compréhension mutuelle.
- d’assurer et de défendre les intérêts matériels et moraux de ses membres.
- de créer et favoriser l’esprit d’entraides et recherche de la vérité chez tous ses membres, conformément au principe du Libre Examen.
(Statuts)
A l'origine "Mouvement marxiste léniniste", ce cercle change de nom en 2004 et devient COMAC
Cercle politique affilié au PTB
Gembloux, 20 mai 1910 - Nancy, 22 février 2002.
Docteur en philologie romane (ULB, 1932) - Etude historique et littéraire pour le roman d'Alexandre
Chargé du cours de dialectologie wallonne à l’Université libre de Bruxelles (1949), avant d’y être nommé professeur (1958-1976).
D'abord connu sous le nom de Nederduitsch Taalminnend Genootschap Schild en Vriend (Société des amoureux de la langue néerlandaise Schild en Vriend), le cercle, après de nombreuses refondations, devient Geen taal, geen vrijheid. Association qui a fait office de groupe de pression flamand et libéral aux XIXe et XXe siècles. Le GTGV prendra plus tard le nom de Brussels Studentengenootschap