Docteur en science politique (ULB, 2006)
Pigeolet, Arsène (1814 – 1902). Il débute ses études de médecine à l’Université de Louvain avant de rejoindre celle de Bruxelles et d’obtenir les grades de Docteur en médecine, puis en chirurgie et en accouchements en 1837. Ses diplômes acquis, il reçoit une bourse de voyage du gouvernement qui lui permet de visiter les universités de France, d’Allemagne, d’Italie, d’Angleterre et de Hollande entre les années 1838 et 1841. De retour à Bruxelles, il pratique la médecine des pauvres entre 1842 et 1847 et est nommé médecin de l’Hospice Pachéco en 1843. En 1845, il soutient devant la Faculté de médecine une thèse intitulée Etude sur la maladie de la hanche à l’issue de laquelle il est fait Docteur agrégé de la Faculté de médecine à l’Université Libre de Bruxelles. En 1850, il est nommé Professeur extraordinaire. Il dispense de nombreux cours à l’Université dont ceux de la théorie des accouchements dès 1849, de la clinique des maladies des enfants de 1852 à 1856, de la clinique interne à Saint-Pierre de 1861 à 1866 et enfin celui de la clinique des accouchements à la maternité dès 1878. Il remplit la fonction de Recteur lors de l’année académique 1878 – 1879 et est reçu à l’éméritat en 1885. Voir : A.U.L.B., Dossier administratif d’Arsène Pigeolet; R. Bardez, La Faculté de médecine de l’Université Libre de Bruxelles: entre création, circulation et enseignement des savoirs (1795 – 1914), non publiée, Université libre de Bruxelles, 2015, p.444.
Docteur en philosophie et lettres (1998).
Professeur d'histoire contemporaine
Licencié en droit (ULB, 2000), licence spécialisée en droit international public (ULB, 2002) et licence approfondie en théories du droit (FUSL, 2006)
Namur, le 11 mars 1864 - le 6 juin 1924
Diplôme d'ingénieur civil des mines (Université de Liège). Il participe au développement du réseau téléphonique.
Bâle, le 28 janvier 1884 - Chexbres, le 24 mars 1962
Ingénieur-mécanicien (Ecole polytechnique de Zurich, 1910) ; Docteur ès sciences (Ecole polytechnique de Zurich, 1913)
En 1922, Auguste occupe la chaire de physique à l'Université libre de Bruxelles et dirigera le nouveau laboratoire de physique alors en cours de construction.
Edmond-Désiré Picard naît le 15 décembre 1836 à Bruxelles à la rue des Minimes. Issu d’une famille bourgeoise, il est le quatrième d’une fratrie de cinq enfants. Son père, François-David Picard, né le 14 février 1803, est enseignant en droit à l’Université Libre de Bruxelles. Sa mère, Marie-Josèphe Moens de Roose est originaire de Flandre orientale. Elle n’enseignera jamais sa langue natale à ses enfants mais Edmond Picard se fera un fervent défenseur du bilinguisme en Belgique. Son père a des opinions anticléricales tandis que sa mère poursuit la foi traditionnelle chrétienne. Le jeune Picard adoptera lui très vite les idées anticléricales de son père. Il fait d’ailleurs ses études secondaires à l’Athénée de Bruxelles.
En 1854 et 1855, il s’embarque pour une traversée jusqu’à New York avec son frère cadet Emile. L’année suivante, exempt du service militaire par tirage au sort, Picard voyage au Chili. Il passe ensuite son examen de navigation mais il choisit finalement de s’inscrire à la faculté de droit de l’Université Libre de Bruxelles. Il y rencontre son futur adversaire juridique Charles Woeste mais aussi Paul Janson, avec qui il se lie d’amitié. Edmond Picard est diplômé de la faculté de droit en avril 1860. Il réalise ensuite un stage chez l’avocat Jules Lejeune. En mai 1864, il obtient son agrégation et fait aussi sa thèse de doctorat en droit intitulée Essai sur la certitude dans le droit naturel.
La même année, le 26 juillet 1864, il épouse Adèle Olin, qu’il avait rencontrée grâce à son frère Xavier Olin que Picard a côtoyé durant ses études. La famille Olin travaille dans l’industrie du papier et jouit d’une très bonne situation financière dont profitera Picard grâce à la dot d’Adèle Olin. Le couple aura trois fils. L’ainé, Georges, naît en 1865, le second, William, en 1868, et le cadet, Robert en 1870. Georges Picard, dont le fonds rassemble beaucoup de ses lettres, a suivi des études d’ingénierie électrique à l’Institut électrotechnique Montefiore de Liège. À Liège, il loge chez le magistrat Napoléon d’Hoffschmidt, un grand ami de son père et dont Georges fait de nombreuses fois mentions dans ses lettres. Durant ses études, il se rapproche du groupe d’artistes symbolistes liégeois et pratique la photographie, il participera d’ailleurs à l’illustration du roman de son père La Forge Roussel paru en 1884. Certaines lettres envoyées par Georges à son père font part de cette collaboration. Après ses études, il travaillera dans l’industrie de papier à Virginal que développe la famille Olin-Picard. Il épousera en 1895 Marie Amoré, fille d’un entrepreneur exilé aux Etats-Unis pour y faire fortune. De Georges, Edmond Picard aura deux petits-enfants : Olivier-David et Andrée-Anne.
Bien établi et père de trois enfants, Edmond Picard s’inscrit aisément dans la vie politique et juridique bruxelloise et travaille au Barreau. Il s’installe au 47, avenue de la Toison d’Or, dans un quartier bourgeois proche du Palais de Justice où habitent beaucoup d’avocats et membres du barreau. Cette résidence, où il reçoit tout le Bruxelles artistique et politique, est le symbole de son ascension sociale. Picard défend les idéaux socialistes et démocratiques. Porte-parole du peuple, il publie en 1866 un Manifeste des ouvriers. Nationaliste endurci, il défend, en dépit des différences linguistiques, l’existence d’une âme belge. Son nationalisme prégnant explique en partie ses pensées antisémites et racistes, véhiculées aussi par son œuvre littéraire.
En 1882, Edmond Picard est avocat de la défense dans l’affaire Peltzer, qui a été très médiatisée. Léon et Armand Peltzer assassinent un avocat à la rue de la Loi à Bruxelles. Picard perd le procès et les deux accusés écopent de la prison à perpétuité.
Edmond Picard défend aussi ses amis écrivains dans les procès pour atteinte aux bonnes mœurs. L’écrivain Camille Lemonnier est porté en justice pour sa nouvelle L’Enfant du crapaud parue en 1888 dans le Gil Blas et en 1893 pour la nouvelle L’homme qui tuait des femmes. L’avocat plaide à chaque fois en faveur de la liberté artistique.
S’illustrant autant dans la justice et la politique nationale et internationale, Picard est élu au poste de sénateur et accède ensuite au statut de bâtonnier en 1898.
En parallèle de sa carrière professionnelle judiciaire, Edmond Picard mène aussi une vie littéraire et culturelle. Il débute dans le monde des lettres par la poésie et il reçoit le soutien de l’écrivain Charles Potvin. Ses œuvres ont alors pour but de transmettre ses idées et ses sentiments. En 1879, il publie Rêveries d’un stagiaire qui révèlent ses émotions intimes. Il écrit ensuite des ouvrages qui mettent en scène la vie judiciaire belge, tels que Paradoxe sur l’avocat en 1879, Mon oncle le jurisconsulte en 1884 et La Veillée de l’huissier en 1885. Il se distingue aussi dans le genre du théâtre avec Le Juré et la pièce Jéricho en 1902. Parti au Maroc en 1887 et au Congo en 1896, Picard publie ses récits de voyages. Il fait paraître El Moghreb al Aksa 1889 et En Congolie en 1896.
Edmond Picard se démarque surtout dans la presse littéraire et artistique belge en fondant en 1881 l’hebdomadaire L’Art moderne en collaboration avec l’avocat Octave Maus.
Cette revue souhaite promouvoir l’art en général, toutes disciplines confondues et sans mettre en avant une esthétique en particulier. Emile Verhaeren fera partie du comité de rédaction. Picard fonde également en 1882 la Revue moderne avec Max Waller mais celle-ci ne paraîtra qu’un an. En dehors de son propre journal, l’écrivain publie énormément de chroniques dans la presse en collaborant à La Liberté, à La Chronique, au Peuple, à La Belgique artistique et littéraire et La ligue artistique.
Grâce au retentissement de L’Art moderne, Picard sera très proche d’un vaste réseau d’écrivains français. Il est l’ami fidèle de Léon Cladel et il entretiendra avec sa fille Judith Cladel, aussi écrivaine, une longue relation amoureuse.
Edmond Picard fut aussi un grand animateur de la vie artistique bruxelloise de son temps. Dès sa sortie de l’université, il fréquente les ateliers d’artistes et affine son goût d’esthète défenseur de l’art moderne. Dans les années 1880, il adhère à notion d’art social qui résonne avec ses propres idéaux socialistes. En plus de sa création de L’Art moderne, qui anime le débat artistique dans la capitale belge, Picard est lui-même mécène et collectionneur. Il est un collectionneur attitré de Félicien Rops, à qui il achète La Tentation de saint Antoine en 1878. Les deux hommes entretiennent une longue relation amicale. Picard est aussi le mécène et le collectionneur d’Odilon Redon qui illustrera ses livres à partir de 1886. De plus, l’esthète crée ou participe à la promotion de centres et d’institutions artistiques. En 1893, il déménage au 51, rue Ducale et transforme sa demeure à l’avenue de la Toison d’Or en maison d’art où ont lieu des expositions et des ventes d’art. En 1906, il ouvre un centre d’art à Ostende où se tiennent des conférences, des expositions sur la littérature belge et des pièces de théâtre. Il contribue aussi à la création de la Libre Académie de Bruxelles.
En 1921, retraité, Edmond Picard se retire à Dave, près de Namur, pour y passer ses vieux jours. Il décède le 19 février 1924 à la suite d’une congestion cérébrale et est enterré au cimetière de Laeken à Bruxelles.
Atkarsk (Russie), 27 octobre 1885 - Paris, 2 août 1960.
Ingénieur du génie maritime. Licencié es Lettres (Histoire) à la Sorbonne. Licencié en droit de l'Université de Paris.
Magdeburg, 27 juin 1846 - Berlin, 2 août 1916.
Entame des études d'histoire à Bonn, mais les termine à l'Université de Berlin où il obtient son doctorat. Suite à un refus de nomination de poste de professeur à Bonn, il accepte la place de professeur tutélaire d'histoire à l'Université libre de Bruxelles en 1878. L'ambiance anti-allemande régnant à Bruxelles, il démissionne de son poste de recteur et de professeur en 1891 pour rentrer à Berlin.
Marseille, le 25 mai 1895 - Uccle, le 1er juin 1937
Docteur en philologie classique (ULB, 1920)
Etudie l'antiquité classique, la philologie et l'archéologie. Crée la Fondation archéologique.
Licencié en sciences politiques et administratives (ULB, 1959)
Namur, le 1er février 1966 -
Licence en sciences sociales (1989), Licence en histoire de l'art et archéologie (1989), Docteur en sciences sociales (1993)
Dates d'existence : 1901-1928
Jean Périer, fils de Gaston-Frédéric Périer et de Jeanne Thys, nait le 9 mars 1901 à Bruxelles et meurt en février 1928. Il effectue ses études secondaires à l’Athénée royal d’Ixelles où il rencontre, entre autres, Max Pierret, Robert de Geynst et Marcel Cuvelier. Il se distingue très tôt par ses productions littéraires en créant quelques revues ; La Lyre du Potache, l’Hermès et le Cénacle et en écrivant le discours d’adieu à la fin de sa rhétorique en 1918. Quelques mois plus tard, il fonde un cercle littéraire, le Cénacle et en janvier 1919, il s’inscrit en faculté de Droit à l’Université libre de Bruxelles. C’est à cette période que ses productions littéraires s’intensifient. Il collabore avec diverses revues comme La Patrie Belge, dans laquelle un de ses poèmes sera publié pour la première fois, et il fera imprimer le Combat de la Neige et du Poète en janvier 1920. Il ajoute le prénom de son grand-père paternel, Odilon, afin d’éviter toute confusion avec l’acteur homonyme et publie La Vertu et le Chant en juillet de la même année. Il entame son service militaire à Beverloo en avril 1922 et y rencontre Eric de Hauleville avec lequel il nouera une grande amitié. Cependant, son service militaire lui cause vite des problèmes de santé et, en juillet, il développe une angine puis des rhumatismes articulaires qui l’obligent à rester alité jusqu’en octobre 1922 et ne le quitteront jamais, il passera sa vie entre crises et cures. Sa maladie ne l’empêche pas de publier Notre Mère la Ville durant ses mois de convalescence. Au début de l’année 1923, il entre à La Nouvelle Revue Française, où il rencontre Marcel Arland, Jules Supervielle et d’autres passionnés de littérature. Dès cette année et jusqu’en 1926, il passera son temps à Bruxelles, Paris et au Zoute, en subissant des crises de rhumatisme. Il se voit rappelé à Berveloo en août et septembre 1924. En février 1925 a lieu la représentation de sa pièce Les Indifférents au théâtre des Marais et Odilon-Jean Périer effectue un nouveau séjour au camp de Beverloo de juin à juillet. Entre deux crises de rhumatisme, il publie le Jeu de Carte en fin d’année. Il effectue plusieurs voyages en 1926, en Italie et en France et publie Le Passage des Anges. Il se marie avec Laure Féron en septembre et repart ensuite en Italie pour revenir à Bruxelles un mois plus tard. En 1927, il passe son temps entre Bruxelles et le Zoute et publie Le Promeneur en janvier. Il effectuera ensuite une cure à Aix-la-Chapelle et publie, en collaboration avec ses amis, le Premier Livret en décembre. Odilon-Jean Périer meurt d’une péricardite rhumatismale le 22 février 1928, le jour de la publication du Deuxième Livret et quelques jours avant la naissance de son fils, Olivier-Jean Périer.
Forme parallèle du nom : Périer, Jean
Fonctions et activités :
• Élève à l’Athénée royal d’Ixelles (1911-1918)
• Étudiant en droit à l’Université Libre de Bruxelles (1919-1924)
• Docteur en droit (1924)
• Poète et écrivain
Bruxelles, le 23 avril 1844 - 1913
Docteur en droit (ULB, 1867). Professeur d'histoire, de géographie et de littérature française.
Recogne, le 12 février 1879 - Bruxelles, le 30 juillet 1959
Docteur en droit, (1902), docteur en philosophie et lettres (groupe de l'histoire) (1903), docteur spécial en histoire (1907) de l'Université libre de Bruxelles.
Doctorat en Histoire à l'Université libre de Bruxelles. Historienne et écrivain.
Varsovie, 20 mai 1912 - Bruxelles, 22 janvier 1984.
Chaïm Perelman est un philosophe très influent dans le domaine du droit et de l'argumentation. Avec son épouse Fela, il fonde le Comité de Défense des Juifs et tous deux s'engagent dans la résistance durant la Seconde Guerre mondiale. Philosophe et logicien d’origine polonaise et naturalisé belge.
Bruxelles, le 26 juin 1863 - Bruxelles, le 5 mai 1945
Docteur en sciences naturelles (ULB, 1884), Docteur spécial en sciences zoologiques (ULB, 1888)
Bruxelles, 7 janvier 1903 - 1 juillet 1985.
Doctorat en sciences physiques et mathématiques (ULB, 1926)
DEA de philosophie (Université Paris IV-Sorbonne, 2003)
Diplôme de Docteur en médecine, chirurgie et accouchements (1965), Licence Spéciale en Neuro-Psychiatrie (ULB 1968), Licence Spéciale en médecine légale, Section Psychiatrique (ULB 1969)
Bruxelles, le 14 décembre 1902 - id., le 11 avril 1964
Docteur en philosophie et lettres (ULB, 1924). Auteur de la thèse, défendue en avril 1939, "Les fastes d'Ovide, Histoire du texte"
Licence en Philosophie et lettre (Philologie germanique) (1966) ; Docteur en philosophie et lettres (1968)
Malines, le 15 avril 1867 - Ixelles, le 18 janvier 1959
Docteur en médecine, chirurgie et accouchements (Ulb,1892) ; docteur spécial en sciences médicales (1897).
Médecin pédiatre, il participera à la fondation de l'École de Pédagogie.
Obaix, le 10 mars 1930 - le 11 mars 1991
Diplôme de pharmacien (1956)
Licence en sciences politiques (ULB, 2003). Doctorat en sciences politiques et sociales (ULB, 2008)
Uccle, le 30 janvier 1934 - Bruxelles, le 23 mars 2020
Docteur en Médecine (1958)
Schaerbeek, le 1er juin 1906 - Watermael-Boitsfort, le 24 août 1991
Docteur en médecine (1930)
Licence (Master) en Langues et littératures romanes (ULB, 1997) ; Doctorat en lettres modernes (Université de Toulouse-Le Mirail / Université libre de Bruxelles, 2006)
Docteur en médecine (ULB, 1885)
Charles, inscrit en 1878 en médecine à l'Université libre de Bruxelles, diplômé en 1885
Ingénieur civil des constructions (ULB, 1935)
Fils du peintre Jules Pappaert.
Athènes, 14 février 1934 - Bruxelles, 7 mars 2009.
ingénieur civil des Mines (1958), docteur en sciences appliquées (1964), professeur ordinaire et directeur de service à l'Université libre de Bruxelles, membre de l'Académie royale des sciences outre-mer et de sociétés savantes. Nommé professeur ordinaire le 1er octobre 1976 et prend la tête du service d’exploitation des mines de l’ULB, fonction qu’il occupera jusqu’à sa retraite en octobre 1999.
Haine-Saint-Paul, le 23 septembre 1976 -
Licence en sciences mathématiques (ULB, 1998) ; Doctorat en Sciences, orientation statistique (ULB, 2002)
Metz, le 16 juillet 1794 - Paris, le 23 mars 1867
Avocat de l'Université de Strasbourg (1815).
La Haye, le 19 septembre 1916 - Bruxelles, le 28 août 1980
Psychologue clinicien. Certificat de pédagogie (1938), diplôme spécial de psychologie appliquée aux consultations pour enfants (1938) et diplôme général d'études pédagogiques (1939), docteur en philosophie de l'Université de Genève (1941).
De retour en Belgique en 1945, il devient assistant du professeur Nyssen à l'Ecole de pédagogie de l'Université libre de Bruxelles.
Bruxelles, le 7 avril 1814 - le 3 novembre 1880
Avocat, historien et homme politique
Ingénieur commercial (ULB, 1998) ; Histoire de l'art et archéologie (ULB, 2001) et Docteur en sciences économiques et de gestion (ULB, 2003)
Parthenay, 19 novembre 1898 - Suresnes, 19 septembre 1958.
Licencié en philosophie de l'École Normale Supérieure ; Docteur en médecine (Paris, 1929) et docteur ès lettres (Paris, 1947).
Professeur ordinaire de psychologie aux Facultés de Philosophie et lettres, des Sciences et des Sciences politiques, économiques et sociales, aux Écoles des Sciences pédagogiques, des Sciences criminologiques, des Sciences de l'Éducation, des Infirmières, annexée à L'Université, aux Instituts de Philologie et d'Histoire orientales et slaves, et du Travail.
Doctorat en sciences politiques et relations internationales (Sciences Po, Paris, 2009)
Bruxelles, le 14 décembre 1836 - Saint-Gilles, le 30 janvier 1899
Docteur en droit (1858) de l'Université libre de Bruxelles.
Molenbeek, le 28 mai 1888 - Ixelles, le 3 juin 1959
Ingénieur commercial (ULB, 1910) et licencié en sciences politiques et sociales (ULB, 1910)
Crée l'Institut de statistique en 1952.
Bruxelles, 18 septembre 1957 - 11 décembre 2003.
Licence en histoire de l'art et archéologie (ULB, 1078), Docteur en histoire de l’art et archéologie (ULB, 1993) et premier assistant en art contemporain à l’ULB.
Uccle, le 16 juillet 1925 - Bruxelles, le 8 juin 2012
Licenciée en Sciences botaniques, spécialisée en Physiologie végétale (ULB, 1948) ; docteur en sciences, physiologie végétale (ULB, 1963)
Anvers, le 12 février 1891 - Bruxelles, le 20 octobre 1972
Docteur en médecine (1921), Docteur en sciences psychiatriques (1931)
Licence en Philologie romane (ULB, 1965) ; Doctorat en Philologie romane (ULB, 1975)
Auteur dramatique. Professeur, ses cours portent sur l’analyse de films et l’esthétique cinématographique.
Courtrai, le 27 mars 1851 - Bruxelles, le 4 septembre 1920
Etude le droit à l'université de Gand puis fréquenta les universités de Heidelberg, Leipzig et Berlin, Il succède à Alphonse Rivier comme professeur de droit international.
Licence en droit (ULB, 1991), Doctorat en sciences juridiques (ULB, 2002)
Bruxelles, 1933 -
Ingénieur civil des constructions (1956) ; docteur en sciences appliquées (1963)
Née le 2 mai 1892 à Auderghem et morte le 7 août 1978 à Coxyde, est romaniste, historienne de la littérature et critique littéraire belge.
En 1937 elle épouse le poète catalan exilé Josep Carner i Puig-Oriol (1884-1970), elle l’accompagne, avant le déclenchement de la guerre, au Mexique où elle resta durant tout le conflit. Elle y enseigne et y fonde avec son mari la revue Orbe.