Jonathan Lamblot membre fondateur du CPhi
Fondé le 5 avril 1979, le cercle a pour objectifs :
- de développer, d’encourager et de maintenir les liens d’amitié entre les étudiants congolais de Belgique et les étudiants d’autres nationalités, dans un esprit de compréhension mutuelle.
- d’assurer et de défendre les intérêts matériels et moraux de ses membres.
- de créer et favoriser l’esprit d’entraides et recherche de la vérité chez tous ses membres, conformément au principe du Libre Examen.
(Statuts)
Cercle fondé par Jean-Marie Neyts
Le cercle se propose de rassembler toutes les personnes intéressées dans ce domaine. Pour ce faire, des soirées d'accueil, des programmes culturels et des soirées TD, banquet ou bal annuel sont organisées chaque année.
Le Centre Scientifique et Médical de l’Université libre de Bruxelles en Afrique Centrale (CEMUBAC) est créé le 23 mars 1938 à l’initiative d’Albert Dustin, premier Président de la CEMUBAC, soutenu par le Fonds Jacques Cassel. Le Centre est initialement focalisé sur des questions médicales telles que les maladies tropicales endémiques. À partir de 1950, le CEMUBAC se développe et entame une diversification de ses centres d’intérêt professionnels pour devenir la base de la recherche scientifique des membres de l’ULB en Afrique centrale. A cette date, le CEMUBAC est organisé en sept sections : psychologie, enseignement, sciences naturelles, sciences appliquées, géographie, économie et une section interdisciplinaire. En 1958, une huitième section est ajoutée dans l’organigramme de l’organisation : le comité opérationnel. Cette dernière section est notamment le bras opérationnel de la section interdisciplinaire et s’occupe de l’organisation de nombreux voyages des scientifiques de l’Université libre de Bruxelles. A l’indépendance du Congo, le CEMUBAC recentra ses activités dans le domaine médical. Aussi, son statut juridique évolue pour devenir un établissement d’utilité publique de droit zaïrois. En 1976, elle quitte le giron du droit congolais pour devenir une association sans but lucratif de droit belge, Le Centre Scientifique et Médical de l’Université libre de Bruxelles pour ses activités de coopération. En 1982, le CEMUBAC évolue vers le statut d’organisation non gouvernementale, lui permettant d’obtenir des subventions de la coopération belge et de la Commission des Communautés Européennes (CEE).
Fondé en 1967 par Chaïm Perelman, Paul Foriers, Henri Buch et René Dekkers, le Centre de philosophie du droit dépend directement de l'Université et ne sera rattaché qu'en 1982 à la Faculté de Droit.
Les activités scientifiques du Centre Perelman se déclinent selon trois thématiques de recherche: le droit global, les approches comparative et pratique des droits de l'homme ainsi que l'argumentation, l'interprétation et l'histoire des idées juridiques. Il prendra en 2006 le nom de "Centre Perelman" en hommage à l'un de ses fondateurs, Chaïm Perelman, l'un des leaders de l’École de Bruxelles et le fondateur de la "Nouvelle rhétorique".
Le centre de recherche Mondes Modernes et Contemporains constitue un espace de recherche pour l’étude des phénomènes et des sociétés modernes et contemporains, du "long 19ème siècle" à nos jours.
Le Centre puise ses racines dans la création à l’ULB de la chaire d’histoire des religions, occupée dès 1884 par Eugène Goblet d’Alviella, l’une des premières du genre dans le monde, puis la mise sur pied de l’Institut d’Histoire du Christianisme (1965) et de son successeur, l’Institut d’Etude des Religions et de la Laïcité (1984), devenu CIERL en 2003.
Ce Centre est l'Institut de recherche en sciences de gestion de l'Université libre de Bruxelles, affilié à la SBS-EM. Soutenu par la Fondation Bernheim, ses objectifs sont le développement et la promotion de la recherche scientifique avancée en Sciences de Gestion et en Économie Appliquée. Il est organisé en 8 départements thématiques de recherche : Ressources Humaines, Organisation et Économie du travail ; la Microfinance ; la Finance, Comptabilité et Fiscalité ; le Commerce International et Développement ; la Stratégie ; l'Histoire économique et financière ; le Management et l'Environnement.
Le centre regroupe des spécialistes des sociétés d’Ancien Régime jusqu’à la transition du XIXe s. et vise à une meilleure compréhension des sociétés européennes et méditerranéennes de l'Antiquité au XIXe siècle.
L'unité de recherche sociAMM abrite deux structures interfacultaires : le Groupe d’Études sur le XVIIIe siècle et le Groupe de recherches en Histoire Médiévale (GRHM).
Le Groupe d’Histoire et de Sociologie du Communisme, créé en 1989 par José Gotovitch, propose chaque année un grand nombre d'activités, conférences, colloques, séminaires, expositions sur l’histoire ou la sociologie de la gauche. En 1998, le Centre d’Histoire et de Sociologie des Gauches succèdera au Groupe.
Avec l'appui de l’Université Charles de Prague, le Centre a pour vocation de favoriser la connaissance de la culture, de la langue et de la civilisation tchèques.
Le Centre d’Étude de la Vie Politique (Cevipol) est une unité de recherche spécialisée en sociologie politique et politique comparée. Ses travaux portent sur la vie politique, les institutions, les acteurs, les règles et ressources des systèmes démocratiques.
Quatre axes thématiques structurent l’identité intellectuelle du Cevipol :
Les Partis, élections et représentation ; L'Intégration européenne : communautés en redéfinition, souverainetés et valeurs en conflit ; Les Identités, sociétés, pouvoirs en comparaison, pour une approche qualitative des systèmes politiques et Les Sport et politique
Créé en 2000, le Centre développe ses activités depuis 1995 au sein de l’École des sciences criminologiques de l’ULB à laquelle il est rattaché.
Les membres du centre s’investissent dans cinq domaines principaux :
- les peines et leur application
- le « white-collar crime »
- la police et la sécurité publique (fonction policière, pratique policière, politique de prévention…)
- la criminologie clinique (pratiques psycho-sociales, délinquance « sexuelle »…)
- la justice des mineurs (enfermement, mesures alternatives, pratiques éducatives, délits liés au statut…).
Le centre est fondé par Gilbert Hottois et Charles Susanne en 1987.
Sa mission est d’étudier les problèmes à dimension historique, éthique et philosophique suscités par le développement des sciences et des techniques de la vie et de la santé : éthique biomédicale, éthique appliquée, histoire et philosophie de la médecine, éthique environnementale, éthique des biotechnologies, neuroéthique, éthique de l’enhancement, etc.…
Le CReA-Patrimoine fédère l'ensemble des programmes de recherche dans les domaines de l'archéologie et du patrimoine, tant en Belgique qu'à l'étranger.
Le Centre de recherche en philosophie aborde non seulement les différents champs de la philosophie (logique, métaphysique, ontologie, épistémologie, théorie de la science, éthique, esthétique...), mais aussi son histoire et ses multiples courants.
Le Centre de droit public est fondé en 1979 par Ganshof Van der Meersch et Jacques Velu. Depuis 2010, il accueille l’équipe d’enseignement et de recherche de l’ULB spécialisée en droit social. En 2021, il devient le Centre de droit public et social.
Fondé en 1969 par le Professeur Jacques Heenen, le Centre de droit privé de l’ULB et ses membres contribuent à la recherche, à l’enseignement et au développement du droit privé.
Sept unités de recherche se partagent différents domaines, tels l’étude des droits de la création intellectuelle et de l’innovation, économique, familial, fiscal, judiciaire, international privé et notarial.
Le Centre de droit international et de sociologie appliquée au droit international, a été inauguré officiellement le 17 février 1964, comme centre de recherches à l’Institut de Sociologie de l’Université libre de Bruxelles. Les thèmes étudiés sont essentiellement le droit des conflits armés, le droit de la paix et de la sécurité internationale ainsi que la théorie critique du droit international. Depuis 2012, le Centre développe des recherches et activités liant culture populaire (cinéma, séries télévisées, musique, littérature, etc.) et droit international.
En 1993, le Centre est rattaché conjointement à la Faculté de droit et à l'Institut de Sociologie mais deviendra en janvier 2001 exclusivement un centre de la Faculté de droit.
Le Centre a d’abord existé en tant que section juridique de l’Institut d’Études Européennes. Il existe en tant que Centre rattaché à la Faculté de droit et de criminologie depuis 2015.
Fondé au début des années 1960 par le Prof. Luc de Heusch, l’un des fers de lance du structuralisme et spécialiste du monde bantou. Le Centre est spécialisé dans les domaines de l’anthropologie religieuse, de l’anthropologie de l’environnement, de l’anthropologie historique, de la technologie culturelle et de l’étude des cultures matérielles. Ses terrains d’enquête sont localisés principalement en Afrique, en Asie et en Amérique du sud, tant dans le monde rural qu’en milieu urbain.
Créé en 1959 au sein de l’Institut de Sociologie sous l’impulsion de John Gilissen, le Centre d’histoire du droit et d’ethnologie juridique porte ses études autour du droit dans une approche historique et comparée. Disparu en 1980, après l’accession à l’éméritat de John Gilissen, le centre rouvre ses portes, en 1991, cette fois en Faculté de droit. Portée par Jacques Vanderlinden, qui succède à John Gilissen, cette renaissance prend forme sous une nouvelle appellation : il s’agit du Centre de droit comparé et d’histoire du droit.
En 2001, sous la direction de Barbara Truffin, le centre devient le Centre d’histoire du droit et d’anthropologie juridique.
Les activités de recherches continuent à se développer aujourd’hui autour de l’anthropologie juridique et de l’histoire du droit.
Centre créé sous la forme d’une asbl liée par convention à la Faculté des Sciences Psychologiques et de l’Education de l’Université Libre de Bruxelles.
Créér par le Professeur Alain Eraly et dirigé par Giovanni Esposito au sein de l’Institut de Sociologie à l’ULB, le centre se consacre à l’étude du fonctionnement et de l’organisation des administrations publiques ainsi qu’à l’évaluation des politiques publiques.
Le BEA se charge de la représentation étudiante au niveau de l’ULB. Ce sont ses administrateurs qui siègent dans les différents conseils et commissions de l’ULB. Il se charge aussi de différents projets qui concernent tous les étudiants de l’ULB.
Lycée situé rue Berkendael à Forest, Bruxelles.
Centre de recherche interdisciplinaire, l'Atelier rassemble des chercheurs en histoire, en sociologie et en science politique travaillant sur le genre et la sexualité.
Initialement fondé en 2005 en tant qu’espace de débat et d’échange sur les études sur le genre et la sexualité au sein du paysage académique belge, à l’initiative de Cathy Herbrand, David Paternotte, Annalisa Casini et David Berliner, le centre acquiert une importante renommée tant nationale qu’internationale. L'actuel AGS poursuit cette politique de collaboration autant avec des partenaires académiques issus de l’ULB (notamment via Striges, la Structure de recherche sur le genre, l’égalité et la sexualité de la Maison des Sciences Humaines de l’ULB) comme d’autres universités (notamment via Sophia, le réseau belge des études de genre), mais aussi avec des acteurs de la société civile.
Parmis les présidents de l'Association libérale de Bruxelles nous pouvons trouver Pierre-Théodore Verhaegen et Prosper Hanrez, le premier sécretaire était Auguste Orts.
Fondée en juin 1896 par un groupe d'étudiants afin de représenter officiellement le corps des étudiants, d'améliorer leurs conditions de vie et de défendre à l'Université le libre-examen. Le premier Comité provisoire fut présidé par André Guillery. A cette époque, l'A.G. organisait de nombreuses activités (bals, conférences, concerts...) et elle éditait deux revues : Le Trumeau bissextil et Education de Prince.
En 1909, l'A.G. devient un cercle à part entière disposant d'une assemblée générale et ayant pour objectifs la création d'une Maison des Etudiants et la représentation des étudiants auprès des autorités académiques.
Après la Guerre et la fermeture de l'ULB, l'A.G. traversa une période difficile, celle-ci n'arrivant pas à s'adapter à l'évolution de la population étudiante et à l'apparition d'une conscience facultaire. Cependant, dès 1920, tous les étudiants libre-exaministes inscrits à un cercle facultaire en sont membres. A partir de la moitié des années 20, elle réussit à reprendre sa place de représentation de la communauté estudiantine et de défense du libre-examen.
Au cours des années 50, l'A.G. connut une crise importante, liée au manque de démocratie et de représentativité dans le processus d'élection de ses dirigeants. Certains cercles facultaires avaient d'ailleurs décidé de se distancer de l'Association. Ceci mena à sa dissolution en 1959. L'A.G. réapparait dans les années 60, mais celle-ci est toujours dans une période de crise, avec des comités intérimaires et des problèmes de comptes. De nombreux cercles réclament des réformes et même la création de nouveaux organismes représentant les étudiants. En janvier 1963, un nouvel organisme est créé : le Parlement Etudiant. Ses membres sont élus par les étudiants des différentes facultés et il a pour objectif d'élire et contrôler le bureau exécutif de l'A.G. Mais au cours de l'année 64-65, le bureau exécutif devient de plus en plus politisé, et le Parlement n'arrive plus à le contrôler à cause d'absentéisme. Ce dernier sera d'ailleurs dissous la même année, laissant le bureau assurer la gestion de l'A.G seul jusqu'à la fin de 1965. Un nouveau bureau sera élu en 1967, avec pour objectif de former un nouveau Parlement, qui verra le jour en avril 1968. Cependant, le bureau qui en découlera ne sera pas très actif. L'association sera définitivement dissoute en 1970.
L'Association des Cercles facultaires créée en 1973 reprend les mêmes objectifs que l'A.G.