Edite la revue Prométhée qui a succédé à Epanorthose.
La couleur du Cercle est le mauve. Velours pour les chimistes, toile pour les autres sections.
Centre dédié à l'étude des questions de sécurité et les politiques publiques internationales (environnement, santé, économie internationale, développement, …).
Amnesty International est une organisation non gouvernementale internationale qui promeut la défense des droits de l’homme et le respect de la Déclaration Universelle des droits de l’homme. L’organisation milite notamment pour la libération des prisonniers d’opinion, le droit à la liberté d’expression, l’abolition de la peine de mort et de la torture et l’arrêt des crimes politiques, mais aussi pour le respect de l’ensemble des droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels. L’organisation intervient au nom des victimes de violations de ces droits en se basant sur une recherche impartiale et sur le droit international. Par ailleurs, l’organisation est indépendante de tout gouvernement, idéologie politique, intérêt économique ou religion.
Amnesty International fut créé en 1961 par Peter Benenson en réaction à un événement ayant eu lieu au Portugal, au cours duquel deux étudiants portugais furent arrêtés et emprisonnés pour avoir porté un toast à la liberté. L’idée initiale de la création de l’organisation fut de faire participer le public et bombarder le gouvernement portugais de lettres de protestations. L’idée fait son chemin et évolue davantage ; les actions de l’organisation ne se consacrent désormais plus à un pays mais elle lance une campagne d’un an pour attirer l’attention du public sur le sort des prisonniers politiques et religieux à travers le monde. C’est dans cette perspective qu’un article signé Benenson paraît dans l’hebdomadaire anglais The Observer. L’article est illustré par les portraits photos de six prisonniers (originaires de Grèce, de Hongrie, de Roumanie, de Tchécoslovaquie, des Etats-Unis et de l’Angola) parmi lesquels aucun n’a usé de violence, mais tous sont emprisonnés pour dissidence d’opinion. Pour chacun d’entre eux, Benenson lance un ‘Appel à l’amnistie’ et demande au gouvernement respectifs de les relâcher ou de les juger de manière équitable. Benenson demande également aux groupes de sympathisants de participer aux activités de l’organisation et d’adopter trois prisonniers parmi lesquels, en vue de préserver l’impartialité de l’organisation, le premier serait détenu dans un pays du bloc soviétique, le deuxième en détention à l’Ouest et un troisième dans une prison du Tiers Monde.
Parallèlement, la publication d’articles dans les grands journaux des principaux journaux européens un nombre considérable de lettres, d’offres de services et d’adhésion de la part de volontaires. Parmi ceux-ci, Diana Redhouse, jeune dessinatrice anglaise, propose ses services à Benenson qui lui suggère la création de l’emblème de l’organisation. Ainsi est créé le logo représentant une bougie entourée de barbelés, logo qui n’a pas changé jusqu’à ce jour.
Fin 1961, les premiers délégués nationaux du mouvement issus de France, de Belgique, de Suisse, d’Irlande, des Etats-Unis et de Grande Bretagne se réunissent à Luxembourg et décident de faire du mouvement une organisation permanente qui portera le nom d’Amnesty International. Ainsi, les premiers fondements de l’organisation se posent et les premières sections nationales sont créées notamment en Suisse, en France, en Italie et bien évidemment au Royaume-Uni. La section belge d’Amnesty International est fondée en 1962.
Fondé en 1967 par Chaïm Perelman, Paul Foriers, Henri Buch et René Dekkers, le Centre de philosophie du droit dépend directement de l'Université et ne sera rattaché qu'en 1982 à la Faculté de Droit.
Les activités scientifiques du Centre Perelman se déclinent selon trois thématiques de recherche: le droit global, les approches comparative et pratique des droits de l'homme ainsi que l'argumentation, l'interprétation et l'histoire des idées juridiques. Il prendra en 2006 le nom de "Centre Perelman" en hommage à l'un de ses fondateurs, Chaïm Perelman, l'un des leaders de l’École de Bruxelles et le fondateur de la "Nouvelle rhétorique".
La Faculté est constituée de deux départements de l’ancienne Faculté de Philosophie et Lettres, à savoir le Département de Langues et Lettres et le Département des Sciences de l’Information et de la Communication, et de l'École de Traduction et Interprétation ISTI – Cooremans.
Almine Rech est une galériste française spécialisée en art contemporain. Elle ouvre sa première galerie à Paris en 1989, dans le Marais, en collaboration avec Cyrille Putman. Elle ouvre ensuite des galeries à Bruxelles (2007), Londres, New-York, Shangai.
Elle crée avec son mari Bernard Picasso, la Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte (FABA) en 2002. Une fondation de droit espagnol qui s'occupe d'étudier l'œuvre de Picasso.
Le Cercle a pour but de de partager leur passion pour les Arts, l’Archéologie et la Culture, et se destine à promouvoir la culture sous toute ses formes auprès des étudiants de l'ULB. Il a son propre journal La Chaarue.
Au début des années 60, après l’entrée en vigueur du Traité de Rome, les autorités académiques de l’ULB ont souhaité créer un Institut d’études européennes. L’Institut est officiellement inauguré le 27 février 1964.
Ce centre se concentre sur les questions européennes principalement à travers quatre disciplines : le droit européen, les sciences politiques, l’économie et l’histoire. Centre de recherche et d’enseignement, il forme les spécialistes des questions européennes.
Le Centre a d’abord existé en tant que section juridique de l’Institut d’Études Européennes. Il existe en tant que Centre rattaché à la Faculté de droit et de criminologie depuis 2015.
Les prémices de la création du mouvement syndical étudiant à l'ULB commencent en octobre 1960 avec la mise en place d'un Comité estudiantin de Revendication (CER). Cette première organisation syndicale cherche à améliorer la situation matérielle des étudiants. Le CER appellera à la participation des étudiants lors de la grande grève de 1960/1961, et beaucoup de ceux-ci répondront présents. Ceci, et la démocratisation de l'enseignement supérieur qui a débuté dans les années 50, permettant à des étudiants issus de classes sociales moins favorisées de s'inscrire à l'université, entraîne le développement d'une conscience syndicale au sein du milieu étudiant.
C'est ainsi qu'en octobre 1961, un groupe de militants du CER crée l'Union Générale Syndicale (UGS). L'UGS met deux revendications en avant : la démocratisation ainsi que la réforme du système d'enseignement et le combat avec la classe ouvrière pour faire sauter les structures sociales mises en place par la bourgeoisie. En novembre 61, l'UGS et le Brussels studentengenootschap (l'équivalent de l'AG pour les flamands) créent ensemble une Centrale d'achat, qui a pour but d'offrir aux étudiants des tarifs avantageux sur toutes sortes de biens (alimentation, cours, impressions...), elle sera par la suite intégrée aux service de l'ULB.
Des premières actions sont mises en place pour obtenir une réduction des prix sur les cours aux Presses et une réduction des tarifs au restaurant universitaire. L'Union prendra également contact avec le Ministère de la Prévoyance sociale afin de discuter des problèmes de sécurité sociale pour les étudiants (présalaire, soins médicaux gratuits...). Concernant la politique de l'ULB, l'UGS exige la cogestion, avec une représentation étudiante au Conseil d'administration. En 1962, l'Union compte plus de 2000 membres cotisants, et commence une unité d'action avec la CGSP-ULB. La réforme de l'AG qui a lieu la même année permet la création d'une Commission syndicale de l'AG (CoSAG) qui se rapproche de l'UGS , et certains membres de ce dernier deviennent membre du bureau exécutif de l'AG.
Suite à la première année d'actions syndicales à l'université les autorités prennent des mesures limitant le nombre d'affiches sur le campus et interdisant la vente de journaux politiques. En 1963, l'UGS dépose au Conseil d'administration de l'ULB un mémorandum concernant la cogestion, la réforme de la sécurité sociale et une critique de la cité des filles. Ne recevant aucune réponse, les étudiants organisent une grève avec le soutien de la CGSP-ULB. Cette proximité entre l'UGS et la CGSP amène à l'idée d'une intégration de l'Union à la CGSP en tant que secteur étudiant. Cependant, cette proposition divise fortement les membres de différentes tendances (socialistes et communistes) de l'UGS, et les relations internes se détériorent. En février 1964, le bureau de l'Union démissionne et l'UGS disparaît.
Mais déjà en septembre 1964 un nouvel organisme syndicale est créé, le Comité d'Action Etudiant, qui a pour but de jeter les bases pour une nouvelle organisation syndicale étudiante stable, tout en attaquant la politique sociale des autorités académiques. C'est sur base de ce Comité qu'en février 1965 l'Union Etudiante Syndicale (UES) est créée. Celle-ci adopte les structures d'un syndicat et affirme sa volonté d'intégration au sein du syndicalisme des travailleurs.
De nombreux travaux seront entamés pour intégrer l'UES à la CGSP, mais une motion dans ce sens est rejetée par cette dernière, qui renvoie la responsabilité de la création d'un secteur étudiant à la FGTB. Malgré ces déboires, l'UES entame des actions syndicales avec les jeunesses syndicales de la FGTB liées à la démocratisation de l'enseignement, et continue ses actions aux côtés de la CGSP. En 1966, la FGTB pose les conditions pour la création d’un secteur étudiant en son sein, mais celles-ci ne plaisent pas à l’Union. En effet, la FGTB veut développer ce secteur sur des bases neuves, sans passer par l’UES et ce secteur serait au niveau présyndical, alors que l’UES voulait être sur un pied d’égalité avec les secteurs professionnels. Cet épisode marque la fin des tentatives d’intégration au sein d’un syndicat national.
A côté de son implication au niveau de la politique sociale étudiante, l’Union s’engage également contre la guerre du Vietnam. En 1968, l’UES sera très occupée avec la crise de Leuven et réclamera le dédoublement linguistique des universités de Louvain et Bruxelles. Pour ces occasions, de nombreuses manifestations et grèves seront organisées, et celles-ci continueront lors des évènements de Mai 68. L’UES disparaitra peu après, et les raisons de cette disparition restent assez floues.
Les premières années de la Faculté ne comportaient que les enseignements suivants: l'algèbre, l'astronomie, la géométrie et la trigonométrie, la chimie, la physique, la géologie, la botanique, la zoologie et l'anatomie comparée. D'autres disciplines se sont développées à partir du XXe siècle.
La Patinoire Royale, Galerie Valérie Bach a ouvert ses portes en avril 2015. Le bâtiment qui l'abrite est la première patinoire à roulettes mondiale construite en 1877 et classée monument historique en 1995.
Marie Hélène de La Forest Divonne fonde la Galerie Vieille du Temple en 1988 et c'est en 2015 qu'elle adopte le nom de Galerie Forest Divonne lors de son déménagement vers la rue des Beaux-Arts au cœur de Saint Germain des Prés. Un nouvel espace voit le jour en 2016 à Bruxelles, celui-ci est dirigé par son fils Jean de Malherbe.
Présidé par le recteur ou la rectrice, le Conseil académique définit et exécute la politique académique et scientifique de l’Université : enseignement, recherche, relations internationales, formation continue, etc. Il nomme aux emplois du corps académique et du corps scientifique. Il est composé de vingt-six membres.
Le BEA se charge de la représentation étudiante au niveau de l’ULB. Ce sont ses administrateurs qui siègent dans les différents conseils et commissions de l’ULB. Il se charge aussi de différents projets qui concernent tous les étudiants de l’ULB.
L'Institut, créé en 1993, mène des recherches interdisciplinaires dans les domaines de l'environnement, du développement territorial, de la géographie humaine et du tourisme. Depuis 2006, l'Institut est un département de la Faculté des Sciences de l'Université Libre de Bruxelles, puis est intégré, en 2015, au Département de Géosciences, Environnement et Société de cette même faculté.
Créé à l’initiative du professeur Jean Teghem, le Conseil de l’Education Permanente de l’Université libre de Bruxelles (CEPULB) est l’une des premières universités ouvertes à toutes et tous, sans diplôme prérequis ou limite d’âge imposée.
En 2011, le Conseil sera complété par l'Université Inter-Âges.
Suite à l'installation de l'ULB au Solbosch, l'ASBL se proposait d'apporter une aide matérielle et morale au développement de la Bibliothèque de l'Université Libre de Bruxelles. La situation ayant évolué, l'Association se veut désormais l'amie de l'ensemble du réseau des bibliothèques de l'Université. Elle organise des activités culturelles autour du monde du livre et des bibliothèques, finance des acquisitions d'ouvrages et participe à des travaux de restauration pour le compte de la réserve précieuse.
Centre créé sous la forme d’une asbl liée par convention à la Faculté des Sciences Psychologiques et de l’Education de l’Université Libre de Bruxelles.
Mouvement étudiant de l'Université libre de Bruxelles.
Né du mouvement de Mai 68, Robert Fuss fonde UUU, groupe mao-spontex dont l’ancrage se situe pour l’essentiel à l’Université Libre de Bruxelles.
Ce mouvement, essentiellement universitaire de la gauche radicale à Bruxelles, allait regrouper, au fil des mois, des intellectuels révolutionnaires, des représentants de la gauche étudiante, jusqu’alors inorganisée, des syndicalistes étudiants issus de l’UES (Union Étudiante Syndicale), et des militants, issus du parti communiste dit «pro-chinois» ou «PC-Grippa»
En 1971, après avoir été traversé par de rudes débats, UUU finit par éclater en deux groupes distincts. Les tenants du spontanéisme se retrouvèrent dans La Parole au Peuple (PAP), alors que l’autre tendance, marquées par l’expérience de la GRCP en Chine et confronté à l’impérieuse nécessité de fonder un Parti d’avant-garde en Belgique, donnera naissance à Tout le Pouvoir aux Travailleurs. Ces groupes fusionneront eux-mêmes avec d'autres groupes.
La Faculté de Philosophie et Sciences sociales est la fusion de deux des départements de la Faculté des Sciences sociales et politiques et de deux départements de la Faculté de Philosophie et Lettres.
C'est en octobre 1960 que naît le premier mouvement syndical étudiant à l'ULB, le Comité estudiantin de revendications. Les premières critiques de ce Comité concernent le prix des repas et le prix des copies aux Presses Universitaires. De plus, le C.E.R. réclame une réforme de la gestion de l'université et une démocratisation de l'enseignement.
Suite à la création de l'Association des Cercles Facultaires, celle-ci intègre le Comité en tant que Bureau social et syndical. Lors de la Grande Grève de 60/61, le C.E.R. appelle à la mobilisation étudiante. En octobre 1961, un groupe d'anciens membres du Comité formera l'Union Générale Syndicale.
L'Ordre des Frères Macchabées est le plus ancien ordre encore en activité aujourd'hui. L'Ordre a été créé en 1918 (ou 1919 en fonction des sources), juste après la Première Guerre Mondiale, et aurait été appelé les Funèbres Macchabées dans un premier temps.
Selon une légende, l'Ordre trouve son origine dans la période de guerre, où des étudiants furent envoyés sur le front. Là, dans les tranchées, ils auraient participé à des réunions secrètes, basées sur la camaraderie maçonnique, organisées par des francs-maçons plus âgés. Après la guerre, les étudiants auraient voulu recréer cette mentalité en fondant l'Ordre. Le nom découlerait du fait que certains étudiants ne sont pas revenus de la guerre, ou que ceux qui sont revenus ont vu la mort de trop près.
Une autre origine de l'Ordre avancée est que les fondateurs étaient des enfants de francs-maçons, et qu'ils auraient voulu recréer un équivalent de Loge à l'ULB.
Au début de l'Ordre, les étudiants pouvaient poser leur candidature, et les Macchas décidaient de qui était digne de les rejoindre, après que ceux sélectionnés aient passé une série de tests et questions. Par la suite, les nouveaux membres sont cooptés, c'est-à-dire qu'un membre présente un étudiant aux Frères, qui est alors interrogé afin de décider de son admission. L'Ordre est très élitiste, et cherche surtout à recruter des étudiants bien placés dans des cercles, associations… A l'origine, l'Ordre est exclusivement masculin, et la première femme a être Grand Maître l'aurait été en 1981.
Si dans les années 20, leurs réunions étaient accessibles à la communauté universitaire, elles sont par la suite devenues secrètes. L'année 1931 marquerait le passage de l'existence publique à l'existence secrète de l'Ordre. Lors des réunions (tenures), les Frères se réunissent en toge et cagoule autour d'une table en fonction de leur hiérarchie. Chacune des fonctions porte un titre précis : Grand Maître, Antiseptique Injecteur, Méticuleux Gardien des Rites… Ces réunions servent à questionner les candidats potentiels, présenter des thèses (travaux thématiques), débattre du folklore et de problèmes universitaires, ou encore d'organiser des fêtes rituelles.
L'Ordre est rempli de symbolisme, tant au niveau des rites que de son langage. Ainsi, les jours et les mois portent des noms particuliers, et la correspondance fonctionne par antiphrase (il faut comprendre l'inverse de ce qui est écrit). Le décors et le vocabulaire se réfèrent souvent à la mort, le nombre 13 est sacré, et Jefke est un personnage important des rituels Macchas.
Le but de l'Ordre était de promouvoir un groupe construit sur la camaraderie estudiantine, afin de défendre les traditions estudiantines et les valeurs de l'ULB, comme le libre examen et la liberté d'expression. C'est dans cette optique que les Macchas communiquent par des tracts et des affiches à propos d'évènements d'actualités, en terminant souvent par la phrase : “Si la communauté universitaire ne réagit pas, les Macchas, eux, réagiront”. Les Frères Macchabées n'ont pas de revue officielle, mais ils ont pendant plusieurs années dirigé la publication du Bruxelles Universitaire, l'organe de l'Association Générale des Etudiants.
En ce qui concerne le lien avec la Franc-Maçonnerie, l'Ordre ne sert pas à proprement parler d'antichambre des loges, mais il est dit qu'à une époque, une partie des Frères rejoignaient une loge après leurs études.
Les activités de l'Ordre ont été interrompues pendant la Seconde Guerre Mondiale, l'occupant allemand étant fortement antimaçonnique. Une anecdote raconte que, dans un premier temps, les activités avaient continué, mais qu'au cours d'une tenure deux militaires allemands éméchés surgirent par hasard et crurent être au milieu d'un rituel maçonnique. Les Macchas se hâtèrent de partir et interrompirent leurs activités par prudence.
Association estudiantine folklorique regroupant les étudiants de la Faculté de Médecine de l’ULB ce qui comprend les carabin(e)s mais aussi les étudiant(e)s en médecine vétérinaire, en biologie médicale et en dentisterie.
La couleur du cercle est le rouge.
C'est en 1904, qu'A. Giron fonde le Cercle Commercial, peu de temps après la création de l'Ecole de Commerce et Ernest Solvay en est le président d'honneur. Dans un premier temps, l'objectif du Cercle est de défendre les statuts des ingénieurs commerciaux, qui n'ont alors pas encore de reconnaissance légale et les premières activités organisées sont des visites d'entreprises, puisque l'A.G. s'occupe des activités folkloriques.
La date du changement de nom de Cercle Commercial à Cercle Solvay n'est pas certaine, mais il est estimé qu'il s'est produit à la fin de la première guerre mondiale. Et si le Cercle stagne pendant une période, il prendra de l'importance au cours des années 30 et certains de ses membres occuperont des postes important au sein d'autres associations étudiantes. L'organisation de la gestion du Cercle reflètera ce développement, puisque au fil des années de nouveaux postes de délégués feront leur apparition, avec en parallèle la création de groupes de travail. De plus, le Cercle devient une asbl le 7 janvier 1959. Au niveau des membres, le Cercle en compte plus de 700 en 2001. En 1972, il comptait déjà 350 membres, sur les 500 étudiants inscrits à l'Ecole de Commerce. Cette importance peut en partie s'expliquer par la solidarité entre les membres au niveau des études, un des objectifs du Cercle (à partir de 1934) étant de collaborer à l'enseignement de l'Ecole au moyen, entre autre, de visites et conférences.
Si dès 1935, une première revue nommée La Revue Economique du Cercle Solvay est envisagée, ce n'est qu'en 1939 avec le Caducée que le Cercle se dote de son organe d'information. L'objectif de celui-ci sera d'informer les étudiants sur le Cercle, les études, le folklore ou encore l'humour, et il connaitra de nombreux changements de formats au cours de son existence.
Le Cercle organise également de nombreuses activités, et le Bal est la plus importante de chaque année. A l'origine nommé Bal Solvay (1926), il est par la suite organisé en collaboration avec l'Union des Ingénieurs Commerciaux sous le nom de grand Bal Orange (couleur du Cercle), dont le premier a eu lieu en 1966. Du côté du baptême, la première description de ceux-ci au niveau du C$ date de 1925, et ce n'est qu'après la deuxième guerre mondiale qu'il sera ouvert aux étudiantes. Le Cercle organise également une Revue, un spectacle satirique, dont la première a eu lieu en 1958, et c'est lors de celle-ci que nait le slogan "Solvay c'est du champagne". Entre 1964 et 1982, le Cercle n'organise pas une seule Revue, mais elles reprennent par la suite et continuent d'être présentées de nos jours. Le Cercle met également en place de nombreuses visites d'usines et voyages, et le premier voyage à l'étranger se déroule en 1928 à Lille. Par la suite, les voyages iront plus loin, et même en URSS dans les années 60. Un dernier événement important dont est responsable le Cercle Solvay, avec le Cercle Polytechnique, est le Festival international des films techniques et commerciaux (FITC). Plusieurs éditions auront lieu à partir de 1963, et en 1978, il devient le Festival international du film d’entreprise et de formation (FIFEF).
Distinction honorifique du Cercle Solvay, l'Ordre du Grand Caducée récompense chaque année les membres qui se sont le plus impliqués au sein du Cercle.
Fondé en 2014 par Frédéric Thomas et Nicolas Jena.
Premier cercle homosexuel étudiant de Belgique francophone, c'est en 1982 que le CHE est créé à l'ULB. C'est sur base de ce premier cercle que d'autres verront le jour par la suite en Wallonie. Le cercle est très actif, car il organise au moins une activité par semaine. Si à l'origine, le Cercle se concentrait sur les thématiques lesbiennes et gays, il a suivi l'évolution du mouvement LGBTQIA+ et est ouvert à l'ensemble de la communauté. Mais il ne se limite pas à accueillir des personnes issues de cette communauté, et il accepte donc toute personne qui est en questionnement, qui s'intéresse aux thématiques ou à la culture LGBTQIA+.
Un des objectifs du Cercle est de promouvoir et défendre les droits des personnes queers, et c'est dans l'optique de soutenir les cercles LGBTQIA+ de Fédération Wallonie-Bruxelles qu'en 2012, en collaboration avec les CHE de Liège et de Namur, est créé les Cercles Homosexuels Estudiantins Francophones Fédérés (CHEFF).
Les statuts du Cercle établissent la fondation des Népelés en 1935 par Georges Neirynck, Emile Penninck et Christian Lepoivre. Le nom du Cercle est d’ailleurs issu des initiales des noms des trois fondateurs (N.P.L.). La date de création officielle est cependant incertaine, car les statuts ont été rédigés à posteriori, 1935 étant uniquement la première date présente sur une liste des membres.
Peu d’informations subsistent sur les activités des Népelés avant la guerre. Mais un grand nombre de ses membres s’impliqua activement dans la Résistance, comme Henri Neuman, Christian Lepoivre ou René Ewalenko au sein du Groupe G. Quatorze de ses membres ont, avec certitude, été Résistants, bien qu'il soit possible que ce nombre soit plus élevé.
De 1939 à 1942, et puis à nouveau à partir de 1946, les Népelés organisent généralement un banquet par an, qui se déroule pendant deux ou trois jours, en parallèle de journées d’études sur un thème désigné à l’avance. Au cours de ces moments, un "dictateur" (chef de cérémonie) est désigné pour organiser le banquet suivant.
Elle regroupe les licenciés et les docteurs en chimie, mathématique, physique, sciences de la terre et environnement, biologie des organismes, biologie moléculaire, géographie, informatique ainsi que les ingénieurs agronomes et les ingénieurs chimistes et des bioindustries (maintenant regroupés sous l'intitulé unique de bioingénieurs)
L'association soutient la recherche, l'enseignement et la propagation des Sciences en participant, en soutenant financièrement ou en mettant en place des initiatives dans ce sens, notamment « Le Printemps des Sciences », et les Olympiades de biologie, chimie, physique, mathématique. Elle alloue annuellement un prix, sous le nom de "Prix AScBr", à un étudiant dont le mémoire de fin d'études, tout en étant d'un haut niveau scientifique, présente une ouverture originale d'application pratique ou théorique vers le monde extérieur.
Le centre regroupe des spécialistes des sociétés d’Ancien Régime jusqu’à la transition du XIXe s. et vise à une meilleure compréhension des sociétés européennes et méditerranéennes de l'Antiquité au XIXe siècle.
L'unité de recherche sociAMM abrite deux structures interfacultaires : le Groupe d’Études sur le XVIIIe siècle et le Groupe de recherches en Histoire Médiévale (GRHM).
La Société, fondée en 1819, est reconnue officiellement en 1822. Les membres fondateurs sont : Bauwens, Froidmont, Laisné, Seutin et Kickx.
En 1879, le siège des séances ainsi que la bibliothèque sont déplacés à l’Université libre de Bruxelles.
L'Institut de phonétique change de nom en 1994.
L'Institut des Langues vivantes et de Phonétique a pour objets l'étude scientifique du langage, celle de la linguistique appliquée et les enseignements qui leur sont liés.
En 2004, l’Institut est supprimé en tant qu’institut autonome et ses formations sont intégrées aux programmes des facultés.
Avec l'appui de l’Université Charles de Prague, le Centre a pour vocation de favoriser la connaissance de la culture, de la langue et de la civilisation tchèques.
En 1937, Eugène Dhuicque propose la création d'un Institut d'urbanisme qui formerait dans une discipline commune des architectes, des ingénieurs, des administrateurs. Son projet est accepté. L'Institut est inauguré en 1937 et placé sous sa direction. En 1962, le programme d’étude est étendu à l’aménagement du territoire et l’Institut renommé Institut d’Urbanisme et d’Aménagement du Territoire (IUAT). En 1969, une collaboration est initiée entre l’ULB et l’Institut Supérieur d’Architecture Victor Horta. En 1974, un programme de
doctorat est créé transformant l’IUAT en une unité de recherche. En 2006 l’IUAT intègre le département BATir. En 2008, après la réforme de Bologne, le programme devient un master complémentaire en urbanisme et aménagement du territoire, récemment (2015) changé en master de spécialisation. Depuis 2017, ce nouveau master en urbanisme de la transition est proposé conjointement par la Faculté d’Architecture et l’Ecole Polytechnique.
Le centre propose son expérience dans les domaines de l’économie publique, du travail, de la santé, ainsi qu’en matière d’économie régionale.
Les étudiants de philosophie et lettres étaient autrefois rassemblés via le cercle facultaire de droit, de notariat et de philosophie et lettres. Aussi appelé Cercle de Droit et de Philosophie et lettres, ce dernier voyait se côtoyer des étudiants de droits, futurs avocats et juristes, avec des étudiants de philosophie, une grande partie devenant professeurs. D’autres cercles de philosophie existaient (notamment les Cercles de Philologie Romane et de Philologie Classique) et collaboraient avec le cercle facultaire.
Plusieurs différends se développèrent vers les années 1932-1933 entre les étudiants en philosophie et ceux en droit, certains donnant pour raison des différences majeures séparant les attitudes et mentalités de ces mêmes étudiants. Une volonté de sécession naquit chez les étudiants côté « philosophie et lettres », sécession soutenue par certains cercles comme les chimistes et les polytechniciens, au contraire du Cercle de Médecine qui supportait plutôt les étudiants en droit. L’idée de la création d’une faculté exclusivement réservée aux étudiants de philosophie et lettres paraissait viable, au vu de la présence et de l’implication des différents cercles de philosophie dans la vie universitaire (aujourd’hui nous parlerions de cercles de sections).
Après pétitions et référendums, et quelques empoignades, le Cercle de Philosophie et Lettres vit le jour en 1934, ou du moins déclara son indépendance. En 1935, les tensions s’abaissant quelque peu, des discussions furent entamées et vers 1936, sans violence a priori, le CPL se détacha complètement du Cercle de Droit (CD), avec lequel il désire garder de bons liens.
Jacques Pohl fut le premier président du CPL et devint professeur à l'ULB peu de temps après avoir fini ses études.
À la rentrée 1969 est constituée une a.s.b.l. par Jean-Pierre Gahide, Danielle Mignolet et Vladimir Stiennon.
Philomène est le journal du cercle depuis 1973 et succède à Le Sol, paru en 1936 et 1986, La Chouette, 1974-1951, l'Hérétique, 1953-1954, La Curée, 1955-1956, Flash, 1964-1965, La Pierre philosophale, 1965-1969 et Per-vers de gris, 1971-1973.
La couleur du Cercle est le gris.
L'Institut de Philosophie et de Sciences Morales n'existe plus et correspond désormais à la partie du Département de Philosophie Ethique et des Sciences des Religions de la Laïcité consacrée à la philosophie et à ·l'éthique. [2020]
L’École de Pharmacie de l’Université libre de Bruxelles débute en 1842 au sein de la Faculté de Médecine. En 1968, elle obtient son indépendance et devient l’Institut de Pharmacie. Cette indépendance ne sera officialisée qu’en 2004. En 2010, elle devient Faculté de Pharmacie. La Faculté fait partie du Pôle Santé qui regroupe les disciplines à orientation médicale.