Le Centre Scientifique et Médical de l’Université libre de Bruxelles en Afrique Centrale (CEMUBAC) est créé le 23 mars 1938 à l’initiative d’Albert Dustin, premier Président de la CEMUBAC, soutenu par le Fonds Jacques Cassel. Le Centre est initialement focalisé sur des questions médicales telles que les maladies tropicales endémiques. À partir de 1950, le CEMUBAC se développe et entame une diversification de ses centres d’intérêt professionnels pour devenir la base de la recherche scientifique des membres de l’ULB en Afrique centrale. A cette date, le CEMUBAC est organisé en sept sections : psychologie, enseignement, sciences naturelles, sciences appliquées, géographie, économie et une section interdisciplinaire. En 1958, une huitième section est ajoutée dans l’organigramme de l’organisation : le comité opérationnel. Cette dernière section est notamment le bras opérationnel de la section interdisciplinaire et s’occupe de l’organisation de nombreux voyages des scientifiques de l’Université libre de Bruxelles. A l’indépendance du Congo, le CEMUBAC recentra ses activités dans le domaine médical. Aussi, son statut juridique évolue pour devenir un établissement d’utilité publique de droit zaïrois. En 1976, elle quitte le giron du droit congolais pour devenir une association sans but lucratif de droit belge, Le Centre Scientifique et Médical de l’Université libre de Bruxelles pour ses activités de coopération. En 1982, le CEMUBAC évolue vers le statut d’organisation non gouvernementale, lui permettant d’obtenir des subventions de la coopération belge et de la Commission des Communautés Européennes (CEE).
La commission coloniale de l’Université libre de Bruxelles tient sa première séance le 27 novembre 1947, elle se situe dans la continuité des initiatives prises par Herbert Speyer pour la promotion des voyages de recherche au Congo. Elle répond également à l’appel du ministre des colonies, Pierre Wigny, qui souhaite une implication plus importante des milieux scientifiques et universitaires au sein des colonies. Cette commission est notamment composée du Recteur, du président du cercle colonial, d’un délégué de l’Union des anciens étudiants de l’Université et de professeurs spécialisés dans des matières dépendantes de la politique coloniale. La commission, qui se réunit plusieurs fois par an jusqu’en 1960-1961, a pour objet de délivrer un avis consultatif sur tous projets en lien avec des activités au Congo.
Le but de la Fondation est de mettre à disposition de l'Université des capitaux à des fins jugées utiles par celle-ci ou répondant au désir de la fondation américaine. Le conseil d'administration se composait de 4 membres désignés par l'Université libre de Bruxelles et de 5 membres désignés par la fondation américaine. Les revenus des portefeuilles constitués allaient être affectés d'une part à l'Université dans son ensemble et d'autre part à l'Ecole de Médecine.
La Société chimique de Belgique change de nom plusieurs fois. Entre 1887 et 1904, Association belge des chimistes, devient entre 1904 et 1987 la Société chimique de Belgique et en 1987 la Société royale de chimie.
Parmis les présidents de l'Association libérale de Bruxelles nous pouvons trouver Pierre-Théodore Verhaegen et Prosper Hanrez, le premier sécretaire était Auguste Orts.
Le fonds Jacques Cassel est créé en 1931 à l’initiative de Herbert Speyer à la suite du décès du Banquier Jacques Cassel. Ce fonds a pour objectif de favoriser l’organisation de missions scientifiques des professeurs de l’université dans les colonies. Le fonds finance par exemple la participation du botaniste de l’ULB, Lucien Hauman, au Comité pour l’exploration scientifique du Ruwenzori, l’enquête sociologie dans le Ruanda-Urundi du Professeur G. Smets. De même, le fonds finance les études dans le Kivu, le Katanga et le Virunga de géologues de l’université, dont celles d’Ivan de Magnée et Georges Mortelmans, ou encore les études en psychologie expérimentale d'André Ombredane. Ce fonds constitue une source de financement importante pour les professeurs et chercheurs de l’ULB. Cependant, à partir de 1950, la diversification du CEMUBAC et son ouverture sur de nouvelles disciplines donnent lieu à l’incorporation du fonds Jacques Cassel.
Fonds a été constitué par Victor Brien, professeur de l'Université libre de Bruxelles pour soutenir l'étude de la géologie appliquée et des sciences minérales en général à l'Université. Le fonds sert à financer l'enseignement et la recherche dans le domaine de la géologie et crée des bourses de voyages pour les étudiants.
Complexe agro-industriel : Agriculture - Elevage - Distillerie - Sucrerie
Les marchands d'art Albert Baronian et Renos Xippas se sont associés pour fonder Baronian Xippas, une nouvelle galerie à Bruxelles.
Située dans l'ancien espace d'Albert Baronian, la galerie est une collaboration unique entre deux figures majeures du monde des galeries d'art contemporain. Combinant la force de leurs 80 ans d'expérience et d'expertise dans le monde de l'art, Baronian et Xippas unissent leurs forces, leurs connaissances et leur passion pour créer une nouvelle galerie qui sort de l'ordinaire. Cette convergence créera une force sur les scènes artistiques belge, européenne et sud-américaine.
Baronian Xippas présentera des projets ambitieux avec les artistes phares de chaque galerie – tels que Darren Almond, Robert Devriendt, Wang Du, Lionel Esteve, Gilbert and George, Vik Muniz, Takis, Gilberto Zorio…- tout en s'appuyant sur leurs atouts respectifs : une forte présence sur le marché belge pour Albert Baronian et une structure solide pour Renos Xippas.
Dès la fondation de l'Université en 1834, une faculté était destinée à l'étude des sciences administratives et politiques. Suite à un blocage par la loi organique du 27 septembre 1835, on ajouta au titre officiel de la Faculté de droit la mention : Et des sciences politiques et administratives. En 1888, sous l'initiative de M. Van der Rest, le Conseil d'Administration examine le projet de créer une institution abordant les sciences sociales. A partir de 1897, E. Solvay s'engage à assurer l'existence de l'École.
En 1946, l'École s'associe avec l'École de Commerce Solvay afin de créer une nouvelle faculté : la Faculté des Sciences sociales et politiques.
En 2010, La Faculté prend une nouvelle orientation en donnant naissance à deux nouvelles entités facultaires : la Faculté Solvay Brussels School of Economics and Management (SBS-EM) et la Faculté des Sciences sociales et politiques (FSP).
L'Université Nouvelle (UN) fut fondée à la suite d'un conflit interne à l'Université libre de Bruxelles (ULB). Cette dernière connaissait en effet quelques ennuis à cause de sa politique jugée trop conservatrice : l'affaire Dwelschauvers de 1890 participa à la création d'un groupe de dissident au sein de l'ULB et l'affaire Reclus en 1893 entama le mouvement de la création de l'UN. La première affaire avait éclatée à la suite du refus d'une thèse de doctorat par le professeur Tilberghiem, officiellement à cause d'un manque de valeur scientifique, officieusement parce que le positivisme de Georges Dwelshauvers entrait en contradiction avec le spiritualisme du professeur en question. La seconde affaire éclate à la suite de l'annulation du cours de géographie comparée d'Elisée Reclus par le conseil d'administration qui craignait des débordements par suite de l'attentat d'Auguste Vaillant à Paris le 9 décembre 1893.
Alors que le premier événement s'était relativement bien terminé (l'étudiant ayant terminé sa thèse à l'étranger), le second avait provoqué, d'un côté, une cassure plus durable au sein du monde politique libéral, désormais fortement divisé entre doctrinaire et radicaux, mais surtout des problèmes plus spécifiques à l'ULB. Le cours de Reclus, supprimé par le Conseil d'administration, fut finalement donné dans un local de la Loge des Amis Philanthropes avec le soutien de l'Extension universitaire. Pour autant, les opposants à la décision de l'ULB, voyant que leur institution ne donnait aucunement l'impression de vouloir moderniser sa façon de penser, s'organisèrent pour préparer la fondation d'une nouvelle institution d'enseignement, dont se chargera un comité composé de Paul Janson, Edmond Picard, Guillaume De Greef, Elie Lambotte, Jacques Des Cressonnières et Charles Dejongh. Un appel au public fut lancé en mars 1894 ; la location de l'ancienne maison de Théodore Verhaegen (13, rue des Minimes, à Bruxelles) commença le 3 avril ; l'Ecole Libre d'Enseignement Supérieur était fondée ; la nouvelle institution se voulait bâtie sur des bases progressistes et positivistes, ainsi que, comme son institution-mère, le libre examen. L'Université Nouvelle s'organisa rapidement afin d'offrir un enseignement qu'elle voulait novateur. En 1895, elle possédait les quatre facultés principales (Philosophie et Lettre, Sciences, Droit et Médecine) qui lui devait lui permettre de se désigner comme « Université » au sens légal des lois de 1890 et 1891, mais elle les jugeait insuffisantes pour offrir un enseignement universitaire complet. De là, l'institution développera de nombreux instituts et facultés : l'Institut des Hautes Etudes (IHEB), dès 1894, dernier reliquat de l'UN toujours en activité ; l'Institut de Fermentation de 1896 à 1911 sous la direction de Jean Effront ; l'Institut d'histoire naturelle générale des sciences, des arts et des métiers de 1897 à 1902 dont le président honorifique était Théodore Wechniakoff ; l'Institut d'Hygiène de 1897 à 1902 dirigé par Arthur Bonmariage ; l'Institut géographique de 1898 à 1919, dirigé par Elisée Reclus ; enfin, l'Ecole polytechnique de 1897 à 1899 devenant l'Institut Industrielle de 1899 à 1903, dirigé par Louis De Brouckère avec l'aide du Parti Ouvrier Belge. Du point de vue de la pédagogie, l'UN mit en avant le savoir encyclopédique face à une spécificité trop grande de certaines matières (les cours plus spécialisés se retrouvaient en général à l'Institut des Hautes Etudes).
L'Université Nouvelle n'eut que très tardivement un règlement et des statuts précisant sa structure, tout en ayant des pratiques de gestion déjà bien en place – des discussions pour mettre ces pratiques par écrit apparaissent dès 1911 et les statuts et le règlement furent approuvés en 1912. L'UN était gérée par un comité administratif (ou comité central), équivalent du Conseil d'administration de l'ULB composé du recteur, de dix membres permanents cooptés, de deux délégués élus pour deux ans par le corps professoral, du secrétaire général, de deux secrétaires de l'IHEB et du secrétaire trésorier. On y nommait les professeurs et résolvait les questions d'ordre administratifs, scientifiques et morales. Une assemblée annuelle du corps professoral servait à rendre compte aux membres de l'institution de la situation de l'UN aussi bien pour les réunions du comité administratif que celles du corps professoral, deux délégués étudiants avec voix consultative étaient élus par les étudiants.
L'UN dut se battre tout au long de son existence pour une reconnaissance légale et un droit à l'obtention d'un jury spécial qu'elle n'obtiendra que pour les facultés de Philosophie et Lettres et de Droit de 1894 à 1899 et pour toutes ses facultés de 1911 à 1914. Durant la Première Guerre mondiale, elle fut l'une des rares, si pas la seule, institution belge d'enseignement supérieur à continuer ses travaux. Rapidement après le conflit, l'Université Nouvelle entama les discussion pour sa dissolution et sa fusion avec l'Université libre de Bruxelles : l'Ecole Libre d'Enseignement Supérieur ferma ses portes en 1919, après 25 ans d'existence.
La Faculté est créée en 1946 par la réunion de l'École de Commerce Solvay, fondée en 1903, et de l'École des Sciences politiques et sociales (issue en 1899 de l'enseignement spécial des Sciences politiques et sociales qui avait été établi en 1889). Elle sera dotée d'une structure unitaire en 1964.
Elle fusionnera en 2015 avec la Faculté de Philosophie et lettres pour devenir la Faculté de Philosophie et sciences sociales.
Le Centre puise ses racines dans la création à l’ULB de la chaire d’histoire des religions, occupée dès 1884 par Eugène Goblet d’Alviella, l’une des premières du genre dans le monde, puis la mise sur pied de l’Institut d’Histoire du Christianisme (1965) et de son successeur, l’Institut d’Etude des Religions et de la Laïcité (1984), devenu CIERL en 2003.
Cercle étudiant qui sert à aider, représenter et défendre les étudiants en ostéopathie, promouvoir cette discipline à tous niveaux, et, enfin, permettre de se tenir au courant des avancées, nouveautés, changements et améliorations de cette profession. Le Cercle tient à se démarquer de la kinésithérapie et d'en exprimer sa spécificité.
L'École est créée en 1936 à l'initiative de Léon Cornil et de Léopold De Vos, deux professeurs de droit pénal. Léon Cornil voulait étudier les phénomènes liés à la criminalité à travers d’autres disciplines que le droit.
En 2010, la Faculté et l’École fusionnent pour donner naissance à la « Faculté de Droit et de Criminologie »
L'Institut des Hautes Études de Belgique, fondé en 1894, a été constitué en association sans but lucratif, jouissant de la personnalité civile, par acte de Me Hauchamps en date du 29 décembre 1922 ("Moniteur Belge" du 20 janvier 1923). L'Institut a pour but d'organiser des conférences de niveau universitaire, des colloques internationaux, journées d'étude, tables rondes, séminaires, débats, etc ainsi que des cours ne faisant pas partie des programmes universitaires.
Durant l’année 2014-2015, la Faculté de Philosophie et Lettres et la Faculté des Sciences sociales et politiques se sont structurées de manière à intégrer les enseignements de traduction et interprétation de l’ISTI et de l’Institut Cooremans à l’ULB. Deux nouvelles structures facultaires ont été créées : la Faculté de Philosophie et Sciences sociales et la Faculté de Lettres, Traduction et Communication.
Créé en 1976 sous l'impulsion de Charles de Coster. Le Cercle sera officialisé sous la présidence de Michèle Descy et Evelyne Engels.
La couleur du Cercle est le mauve, comme les mathématiciens.
Le cercle se propose de rassembler toutes les personnes intéressées dans ce domaine. Pour ce faire, des soirées d'accueil, des programmes culturels et des soirées TD, banquet ou bal annuel sont organisées chaque année.
La couleur du cercle est le vert (toile). Il publie La Betterave suave très irrégulièrement.
Fondé en 1887 par Dwelshauwers. Cercle qui a comme ambition de rassembler toutes les facultés le plus également possible.