Licence en histoire de l'art, Musicologie (ULB, 2000) ; Doctorat en musicologie (ULB, 2004)
Docteur en droit (ULB, 1935) ; Licencié en notariat (Jury central, 1936)
Malines, le 8 février 1879 - Ixelles, le 14 février 1967.
Docteur en histoire (ULB, 1901) ; Docteur en philosophie et lettres (ULB, 1903) ; Docteur spécial en philosophie (ULB, 1906)
Il étudie à l'Université de Bruxelles et poursuit aux universités de Berlin et de Paris. Sociologue et philosophe. Enseigne à l’ULB dès 1907. Il enseigne principalement l’histoire de la philosophie grecque, la métaphysique, la philosophie morale et la sociologie générale.
Médecin et chercheur en oncologie, né à Bruxelles le 12 décembre 1884 et décédé à Saint-Gilles le 29 octobre 1942.
Après des humanités effectuées à l’Athénée royal de Bruxelles, Albert Dustin entreprend des études médicales à l’Université libre de Bruxelles. Promu docteur en médecine en juillet 1907, il entame ensuite des séjours d’études à la station biologique de Roscoff puis au sein du laboratoire de Marcel Prenant à la Faculté de Médecine de Paris. Rentré en Belgique, il est reçu docteur spécial en sciences anatomiques, en défendant une thèse d’agrégation intitulée « Le rôle des tropismes et de l’odogénèse dans la régénération ». Un mois plus tard, en juillet 1910, à la suite du décès précoce du titulaire de la chaire d’histologie, Hermann Joris, Albert Dustin reprend cet enseignement comme chargé de cours. Il accède à l’ordinariat le 18 juillet 1914, soit deux semaines avant l’avènement de la Première Guerre mondiale.
Le premier conflit majeur du XXe siècle contraint le médecin bruxellois à l’exil. Engagé volontaire, il est médecin de régiment avant de répondre à l’appel d’Antoine Depage en vue de diriger un service de neurochirurgie à l’Ambulance de l’Océan à la Panne. Il participe également à la fondation et à la direction du recueil « Les Travaux de l’Ambulance de l’Océan », qui devient, à la fermeture de l’hôpital en octobre 1919, « Les Archives de Médecine expérimentale ». À la fin de la guerre, il se rend aux États-Unis accompagné de Jules Bordet, d’Antoine Depage et de René Sand afin de rencontrer les représentants de la Fondation Rockefeller, et ce dans la perspective de l’octroi d’un financement pour la construction du nouvel hôpital universitaire Saint-Pierre. Après avoir repris son enseignement en 1920, il est désigné directeur du laboratoire et du musée d’anatomie pathologique au sein de la Faculté de Médecine de l’Université. Conjointement, il assume la fonction de professeur du cours de « Neuropsychologie » à l’École de Guerre et celle de chef de service des autopsies et du laboratoire d’Anatomie pathologique de l’hôpital Saint-Pierre. Quand un « Centre des Tumeurs » est créé en 1925, il est nommé chef du service d’anatomie et de cancérologie.
Directeur de l’Institut d’Anatomie à partir de 1931, Albert Dustin qui bénéficie de la confiance de la Faculté de Médecine est désigné délégué de celle-ci auprès du Conseil d’Administration de l’Université entre 1932 et 1933. Un an plus tard, Albert Dustin assume la vice-présidence de la Faculté de Médecine.
À la fin du rectorat d’Edouard Bogaert en 1935, il est promu recteur de l’Université par le Conseil. Parallèlement à ce mandat, il participe au Comité Exécutif de l’Institut d’Éducation physique, ainsi qu’au comité de gestion et au comité scientifique du nouvel Institut Jules Bordet. En 1938, Albert Dustin prend part à la fondation du Centre scientifique et Médical de l’ULB en Afrique Centrale (CEMUBAC) et en devient le premier président. Un an plus tard, il est désigné président de la Faculté de Médecine, fonction qu’il assume jusqu’à la décision du Conseil d’Administration de l’Université de suspendre définitivement les cours en novembre 1941.
En effet, face à la germanisation de l’Université libre de Bruxelles par l’occupant, les autorités universitaires décident à l’unanimité de fermer les portes de l’institution. En conséquence de cet acte, les Allemands arrêtent plusieurs étudiants et huit professeurs dont Albert Dustin. Ce dernier, emmené à la forteresse de Huy, demeure en captivité jusqu’en février 1942. Peu après sa sortie, le médecin bruxellois est de nouveau incarcéré. Au sortir de son deuxième emprisonnement, passablement affaibli par les rudes conditions de détention, Albert Dustin tâche néanmoins de continuer ses recherches en cancérologie mais décède quelques mois plus tard, en octobre 1942, d’un accident cérébral.
Docteur en médecine (ULB, 1937)
Marche-en-Famenne, 13 août 1913 – Ixelles, 21 décembre 1991.
Licence en sciences chimiques (ULB, 1935) et licence en sciences botaniques (ULB, 1937) ; Docteur en sciences botaniques (ULB, 1940)
Il devient chargé de cours à l’Institut agronomique de Gembloux en 1949 et à l'ULB l'année suivante. Il participe au réseau des cours clandestins en donnant des cours de botanique
Licencié en sciences chimiques (1963), docteur en sciences (1969).
Spécialiste des céramiques dites techniques.
Leuze, le 10 août 1834 - Bruxelles, le 13 juillet 1909
Docteur en droit (1857)
Docteur en droit de l'Université libre de Bruxelles et avocat
Bruxelles, le 6 septembre 1866 - Paris, 1937
Docteur en philosophie et lettres (1887), docteur spécial en philosophie (1892)
Professeur à l'Université nouvelle.
Candidat (1985) et licencie (1988) en droit de l'Université libre de Bruxelles. Docteur en Sciences juridiques (2013)
Professeur de droit judiciaire et avocat
Watermael-Boitsfort, 13 décembre 1955 -
Docteur en médecine (1980)
Bruxelles, le 2 avril 1954 -
Docteur en sciences sociales (ULB, 1985) et docteur en économie appliquée (ULB, 1987)
Bruxelles, 24 juin 1886 - 18 septembre 1960.
Docteurs en sciences physiques et mathématiques (ULB, 1909) et spécial en sciences mathématiques (ULB, 1920).
Il étudie la théorie des nombres à l'Université de Göttingen (1909 à 1912) dont l'un des aspects fera l'objet de sa thèse de doctorat spécial : Le Problème des quatre couleurs.
Venise, 20 juillet 1834 - Bruxelles, 11 décembre 1880
Banquier, financier.
Rejoint Bruxelles en 1856 pour effectuer un stage chez Joseph Oppenheim.
Co-fondateur de la Banque de Bruxelles le 13 novembre 1871.
25 septembre 1896 - 30 mars 1977.
Docteur en sciences chimiques (ULB, 1921) et en sciences physico-chimiques (ULB, 1923)
Son doctorat en poche, Jacques passe deux ans à Leipzig où il étudie la chimie physique des colloïdes, puis deux ans à Paris, au Collège de France et à l'Institut Pasteur. Dès son retour en Belgique, il enseigne à l'Université libre de Bruxelles. Ses recherches portent sur la constitution moléculaire de la matière.
Bruxelles, le 4 septembre 1858 - 1 août 1905
Docteur en sciences naturelles (ULB, 1880), poursuit sa formation aux universités de Strasbourg, Bonn et Würzburg. Botaniste. Il milite en faveur de la création de laboratoires.
Uccle, 14 juin 1914 - 23 mai 2009.
Docteur en médecine (ULB, 1939), docteur en médecine tropicale (ULB, 1940), médecin hygiéniste (ULB, 1948), agrégé (1952)
Médecin biologiste.
Membre du Groupe G
Laeken, 23 juillet 1860 - Bruxelles, 12 juillet 1922
Docteur en droit (1881). Juriste
Docteur en Sciences Economiques et de Gestion (Université de Liège, 2018)
Bruxelles, le 4 septembre 1943 - Bruxelles, le 4 mars 2017
Ingénieur commercial (1966), Licence Spéciale en Mathématiques Appliquées à la Gestion (1968), Docteur en Economie Appliquée (1973)
Balanod (Jura), le 18 juillet 1912 - Viriat (Ain), le 29 septembre 1988
Agrégation de Mathématiques à la Faculté des Sciences de Lyon (1936), Licence de Psychologie (1945).
En 1959, il prend la direction du laboratoire de Psychologie de l'Université libre de Bruxelles
Licence en Kinésithérapie et Réadaptation (ULB, 1990) ; Docteur en kinésithérapie et réadaptation (ULB, 1997)
Binche, le 22 mai 1825 - le 26 janvier 1885.
Professeur de droit civil.
Licencie en Philologie et histoire orientales (Ulb, 1949), Docteur en philologie et histoire orientales, section Orient ancien (Ulb, 1952)
Avocat et homme politique.
Etterbeek, le 7 mai 1946 -
Diplômée en pharmacie (1969), Pharmacien d'industrie (1976)
Doctorat en science politique (Paris, La Sorbonne, 2001)
15 novembre 1914 - Bruxelles, le 18 mai 1980
Docteur en droit (1937) de l'Université libre de Bruxelles, licencié en économie financière et en sciences politiques
Licencié en droit (1974), docteur en droit économique (1996)
Auderghem -
Diplôme de pharmacien (1945), docteur en sciences pharmaceutiques (1952), agrégée (1965)
Seraing-sur-Meuse, 25 mars 1870 - Dilbeek, 30 juin 1957.
Ingénieur des arts et manufacture (Université de Liège, 1890).
Ingénieur du bâtiment U (campus du Solbosch) de la Faculté des sciences (1924). Il aménage également l'intérieur de la Faculté de médecine et de pharmacie.
Wavre, le 21 novembre 1851 - Bruxelles, le 21 avril 1916
Fait ses études à l'Université de Liège et l'Université de Bruxelles. Candidat en médecine, docteur en sciences naturelles, docteur agrégé à l'Université de Bruxelles. Professeur d'embryologie animale au doctorat en sciences naturelles.
Orphelin de père et de mère, Émile est élevé par son oncle. A l'âge de 15 ans, son oncle meurt, resté seul, il s'engage à l'école régimentaire afin de continuer ses études. En 1884, il est nommé sous-lieutenant. Il embarquera la même année au Congo où il se met à disposition de l'Association Internationale Africaine.
Premier président de la Fondation universitaire et du Fonds national de la Recherche scientifique.
La Fondation Universitaire et le FNRS offriront un buste d'Emile Francqui à l'Université libre de Bruxelles le 14 février 1936.
Bruxelles, le 18 octobre 1835 - Bruxelles, le 3 novembre 1871
Pharmacien (1855), docteur en sciences naturelles (1858)
Doctorat en études chinoises (Université Jean Moulin Lyon 3, France, 2007) ; DEA en études chinoises (Université Jean Moulin Lyon 3, France, 2004)
Fondatrice du centre de recherche EASt, spécialisé sur l'Asie de l'est
Docteur en droit (ULB, 1946)
Licence en journalisme et communication (ULB, 1991) ; Doctorat en Communication, information et journalisme (ULB, 1996)
Créé en janvier 2021 à la demande de Marie-Soleil, le fonds Regards sur l’Afrique a pour objet d’octroyer des aides financières aux étudiants de master en journalisme de l’ULB qui souhaitent effectuer un séjour en Afrique pour y mettre en œuvre un projet journalistique (presse écrite, radio, télévision, web, photo) ou une recherche, dans le cadre de leur mémoire.
Liège, 24 avril 1812 - Bruxelles, 2 janvier 1896.
Docteur en droit (1832)
Walthère suit des cours au collège de France et à la Sorbonne et poursuit ses études aux universités de Liège et de Louvain et obtient son diplôme de docteur en Droit.
Fondateur du Parti libéral, il en sera le président jusqu'à sa mort.
Bruxelles, le 31 octobre 1871 - Ixelles, le 16 juillet 1957
Ingénieur civil des mines (ULB, 1894)
Docteur en droit (ULB, 1999), maître en philosophie (1993, Paris) et licencié spécial en droit économique (1990, ULB)
Professeur en histoire
Docteur en sciences naturelles (ULB, 1883), en médecine (ULB, 1886) et agrégé en 1890.
C’est au service des Archives et de la Réserve Précieuse de l’Université Libre de Bruxelles que Jacquemine Ganshof van der Meersch, fille du vicomte Walter Ganshof van der Meersch, a confié les archives de son père. C’est ainsi qu’après un long travail d’inventoriage, l’Université Libre de Bruxelles peut enfin rendre accessible aux lecteurs et au milieu de la recherche ce témoignage exceptionnel.
L’importance matérielle de ces archives porterait à croire que celles-ci ont été produites au cours de la vie de plusieurs hommes tant le travail de Walter Ganshof van der Meersch fut titanesque, que ce soit dans sa carrière judiciaire, académique et même politique. En effet, l’énergie qu’il a déployée tout au long de sa vie a engendré une vingtaine de mètres linéaires d’archives. Ces documents, objets et photographies représentent une addition exceptionnelle aux archives de l’université car ils sont le témoin de quasiment toute l’histoire belge du vingtième siècle. En tant que juriste, professeur d’université, académicien mais aussi militaire, Ganshof van der Meersch sera un témoin privilégié de tous les grands événements du siècle dernier. Vivant les deux guerres mondiales, la décolonisation de l’Afrique et les crises politiques de la Belgique, il sera un acteur direct et indirect de ces moments. Homme de principe, il n’hésitera jamais à défendre l’obscurantisme, le droit constitutionnel et les Droits de l’Homme même au prix d’incarcérations par le régime nazi durant la Seconde Guerre mondiale et de campagnes de décrédibilisation tout au long de sa carrière. Il semblerait d’ailleurs que celle-ci ne se soit jamais arrêtée, le juriste étant toujours porteur de conseils pour ses amis et occupant des postes dans différentes organisations même durant ses dernières années de vie. Évitant la lumière des projecteurs lorsque cela lui était possible, il est aujourd’hui peu connu par le grand public. L’Université libre de Bruxelles est donc fière de présenter cet inventaire et de permettre l’ouverture de ces archives. Les travaux et ouvrages scientifiques que cette dernière engendrera donneront, peut-être, plus de crédits à son travail et à son rôle dans l’histoire judiciaire et politique belge.
Walter Ganshof van der Meersch est né à Bruges le 18 mai 1900, fils de Louise Van Der Meersch et Arthur Ganshof, il complète ainsi une fratrie de trois garçons. Après des études secondaires chamboulées par la Première Guerre mondiale, il s’engage comme volontaire de guerre en 1917. Il entame ensuite des études de droit à l’Université Libre de Bruxelles et se marie à Elisabeth Orts, fille de Pierre Orts et de Georgina Peltzer en 1923. La même année il est nommé substitut du procureur du Roi. Tout en continuant sa carrière judiciaire, Ganshof, alpiniste et « bobeur », est peu connu pour ses exploits sportifs bien que celui-ci participe aux Jeux-Olympiques d’Hiver de 1928. De plus, celui-ci s’engage dans une mission scientifique en 1932 dont le but est d’explorer le Ruwenzori. Cette mission lui permet de pratiquer la chasse et l’alpinisme et il en tirera un reportage photo exceptionnel.
Dès les années 1930, celui-ci veut partager ses connaissances en devenant professeur, il est d’abord engagé à l’École de criminologie de l’État en tant que professeur de droit pénal. Il devient ensuite chargé de cours à l’ULB et professeur ordinaire de droit public dans la même université en 1944. Durant sa longue carrière académique, il crée plusieurs chaires au sein de son Alma Mater et mais également le Centre de Droit Public puis l’Institut d’Études Européennes (1964) qu’il préside lors des premières années suivant sa création (1964-1972). Pour un temps, il préside la faculté de Droit de l’ULB mais également l’Académie Royale de Belgique dont il est membre de la classe des lettres depuis 1978. Il est également invité à parler dans de nombreuses universités tant belges que internationales. Il devient d’ailleurs professeur de l’Académie de Droit internationale de La Haye.
Mises à part ses carrières sportive et académique, Ganshof Van Der Meersch est surtout connu pour avoir été un pilier de la discipline judiciaire belge durant des décennies. Après avoir été nommé substitut du procureur du Roi en 1923, il devient Auditeur général juste avant l’invasion de la Belgique par l’Allemagne en mai 1940. Il est contraint de fuir avec le Gouvernement en France et revient en juillet avant de se faire emprisonner à la prison de Saint-Gilles. C’est après cette détention de plusieurs mois qu’il s’engage pleinement dans la résistance, notamment via la presse clandestine. Il procure également des renseignements au Gouvernement réfugié à Londres et appartient au Comité clandestin. Dans un même temps, il devient Haut-Commissaire à la sécurité de l’État en 1943 après avoir été à nouveau détenu à la citadelle de Huy l’année précédente. De par ses nouvelles fonctions, il témoigne de la libération des camps de concentration et d’extermination allemands et devient, par la suite, un acteur important de la répression des crimes contre la sécurité de l’État et de la collaboration avec l’ennemi.
Après la Seconde Guerre mondiale, Ganshof est sollicité par de nombreux autorités judiciaires. C’est ainsi qu’il est nommé Avocat Général (1948) puis procureur général (1968-1974) à la Cour de Cassation. Il est également désigné comme juge ad hoc à la Cour internationale de La Haye en 1968 et juge puis Vice-Président à la Cour européenne des Droits de l’Homme de Strasbourg. De surcroît, il préside ou fait partie de nombreux comités, colloques, conseils comme lorsqu’il prend en charge le dossier de l’affaire des guichets de Schaerbeek. Il renoue aussi avec sa passion de la chasse en présidant le Conseil supérieur de la chasse et le Conseil national belge de la Food and Agriculture Organisation de l’ONU. Enfin, sa carrière sera complétée par une carrière politique. En 1946, Léopold III lui demande de former un gouvernement, ce qu’il refusera. Cependant, en mai 1960, il devient ministre des affaires générales en Afrique. Il part en mission de plusieurs mois dans le but de préparer le transfert de pouvoir aux autorités locales.
C’est après cette carrière de titan que Walter Ganshof Van Der Meersch s’éteint en septembre 1993 à Tintange, dans sa résidence principale. On peut retenir de cet homme son dévouement pour la démocratie et la Belgique, qui s’est traduit tout au long de sa carrière par un intérêt évident pour les Droits fondamentaux et pour le Droit européen. De par ses prises de paroles, il appelle couramment à un renouveau des systèmes juridique et pénale. On peut enfin se souvenir de ses importantes réflexions scientifiques et juridiques dont on a pu saluer l’expertise.
Bruxelles, le 4 janvier 1911 - La Hulpe, le 23 août 1985
Licencié en sciences mathématiques (1934), docteur en sciences mathématiques (1936)
Schaerbeek, le 24 juin 1925 - 1988
Diplôme de régente scientifique (1945), licenciée en sciences psychologiques de l'Ecole des sciences de l'éducation (ULB, 1953), docteur en sciences psychologiques (ULB, 1959)