Bruxelles, 1 juillet 1932 - id., 6 avril 1993.
Licencié en philologie romane (ULB, 1954).
Waremme, 12 août 1890 - Rhode-Saint-Genèse, 13 octobre 1960.
Licencié en sciences économiques (ULB, 1926) ; Docteur en sciences économiques (ULB, 1928)
Directeur du journal "Le Peuple" et Ministre du Travail (POB)
Bruxelles, 14 mai 1924 - 8 décembre 2013.
Professeur de littérature à l'Université libre de Bruxelles. Directeur du Centre d'études des avant-gardes littéraires de l'ULB.
Ingénieur technicien des industries chimiques issu de l'enseignement technique en 1935, Licence en sciences physiologiques (ULB, 1939), Licence en sciences chimiques (ULB, 1939)
Lionel-Édouard Wiener, Bruxelles 13 avril 1879 - Bordeaux 5 septembre 1940. Ingénieur, professeur à l’ULB, écrivain, musicien, collectionneur.
Lionel Wiener naît dans une famille réputée dans divers domaines. Les arts, il est le petit-fils du graveur Jacques Wiener. Les finances, fils d’Édouard Wiener vice-président du Crédit général liégeois et administrateur de la Banque de Bruxelles. La politique par son oncle Sam Wiener sénateur de l’état indépendant du Congo et finalement la littérature via son cousin Franz Wiener pseudonyme de Francis de Croisset.
Ces nombreuses influences contribuent à l’épanouissement artistique de Lionel Wiener. Sous le pseudo Lionel Renieu, il publie une “Histoire des théâtres de Bruxelles” et prépare une “Histoire des théâtres de Paris” et une “Histoire des théâtres de Londres” qu’il n’a pas pu éditer.
Autre aspect de sa personnalité, Lionel Wiener est collectionneur : papillons, cartes postales, tickets de chemin de fer. Il quitte la Belgique à l’annonce de la seconde guerre mondiale pour Bordeaux.
30 novembre 1904 - 26 mars 1944 au camp d'Esterwegen.
Agent de change. Epoux de Phyllis Beddington qui crée la fondation Fondation Wiener-Anspach en 1965 en l'honneur de son mari.
Saint-Josse, le 21 février 1839 - Schaerbeek, le 27 novembre 1912
Docteur en philosophie et lettres (ULB, 1858).
Philologue et historien du livre.
Docteur en Philosophie et lettres (ULB, 1922)
Professeur de morale. Inspecteur de morale dans l’enseignement secondaire de l’Etat.
Cousin de Paul Janson.
Biernatki (Pologne), 2 janvier 1922 - Bruxelles, 7 janvier 1994
Ingénieur civil mécanicien.
Montignies sur Sambre, 20 novembre 1941 - Chamonix, 19 janvier 2018.
Licencié en sciences (ULB, 1965).
Secrétaire de l'ULB et du CA de l'Université depuis 1998, fut tour à tour chercheur, coordinateur du Bureau de programmation, adjoint du président du CA pour les problèmes financiers et trésorier de l'Université.
Bruxelles, 7 mai 1927 - 7 août 2012.
Licencié en Sciences politiques et administratives (ULB, 1947) ; Doctorat en Sciences coloniales (ULB, 1955) : Quelques aspects de la monarchie et du mythe au Ruanda Urundi et dans la civilisation interlacustre du Centre africain
Directeur de recherche à l’Institut de Sociologie pour les études concernant l'anthropologie sociale et culturelle africaine. Il se consacre principalement à l'étude comparée des systèmes magico-religieux bantous et des formes de la royauté sacrée comme structure symbolique.
Scénariste et réalisateur cinématographique. Membre correspondant de l'Académie royale de Belgique (en 2003). Membre du groupe Cobra.
5 décembre 1873 - 18 mars 1956.
Docteur en médecine (ULB, 1899)
Bâle, le 28 janvier 1884 - Chexbres, le 24 mars 1962
Ingénieur-mécanicien (Ecole polytechnique de Zurich, 1910) ; Docteur ès sciences (Ecole polytechnique de Zurich, 1913)
En 1922, Auguste occupe la chaire de physique à l'Université libre de Bruxelles et dirigera le nouveau laboratoire de physique alors en cours de construction.
Bruxelles, 22 juillet 1902 - Lasne, 24 octobre 1978.
Architecte (Académie royale des Beaux-arts de Bruxelles). Professeur d'histoire de l'architecture à l'ULB. En 1962, il construit le restaurant inséré dans l'ancienne cité étudiante au cœur du Campus du Solbosch. Construit deux ans plus tard, l'Institut de Sociologie de l'ULB, au 44 avenue Jeanne, est le bâtiment le plus important réalisé par Robert Puttemans, treize niveaux construits en ossature métallique avec son fameux auvent en voile de béton, conçu avec l'ingénieur André Paduart. Il réalise en plusieurs phases l'extension du centre de traumatologie et de réadaptation dans le site de l'hôpital Brugmann à Bruxelles de 1964 à 1976.
Réalisations architecturales à l'Université libre de Bruxelles :
- agrandissement et aménagement de la Bibliothèque centrale
- construction du nouveau central téléphonique
- constructions d'auditoires et de salles de séminaires pour les facultés de Philo et de Droit
- construction et transformation des restaurants universitaires et des foyers
- construction du complexe sportif
- construction de l'Institut de Sociologie (et le garage)
- aménagement des terrains de sports
Liège, 1 janvier 1869 - Bruxelles, 27 décembre 1930
Docteur en médecine (Université de Liège, 1894). Il complète ses études dans les universités de Breslau et d'Edimbourg. Médecin spécialiste de l'embryologie. En 1904, il obtient la chaire d’anatomie humaine de la Faculté de Médecine de l’ULB. La même année, il est nommé directeur du laboratoire d’embryologie et d’anatomie humaine. En 1906, il est chargé de l’enseignement de l’embryologie et de l’anatomie descriptive et la topographie. En 1911, il est promu au rang de professeur ordinaire.
Liège, 11 juillet 1861 - Bruxelles, 9 juin 1942.
Maurice Wilmotte (1861-1942), né à Liège le 11 juillet 1861, d’une mère française et d’un père ingénieur, fait de brillantes études à l’Université de Liège en philologie romane. Il y sera nommé professeur ordinaire en 1895 après cinq années d’enseignement dans son domaine de prédilection, non sans y avoir fondé, en passant, la Section de Langue et littérature romanes. Fondateur des revues Le Moyen Age (1888) et La Revue wallonne, il crée également une maison d’édition La Renaissance du livre (1923) avec le professeur Charlier de l’ULB. Grand défenseur de la langue française, il devient président de l’Association internationale pour la culture et l’extension de la langue française (1905). Cette association, dont il est à l’origine, organisera des congrès importants à Liège (1905), à Arlon (1909) et à Gand (1913). Non seulement professeur à l’Université de Liège (1890-1931), journaliste, essayiste, conférencier et directeur de revues, il entrera en 1920 à l’Académie de langue et de littérature françaises où il restera jusqu’à sa mort le 9 juin 1942.
Bruxelles, 5 mars 1955 -
Physicien théoricien. Docteur en sciences (Ulb, 1980). Directeur des Instituts internationaux Solvay de physique et chimie (2004)
Tournai, 6 juillet 1889 - Bruxelles, 20 février 1965
Directeur-Général de la Croix-Rouge de Belgique.
Bruxelles, 4 mars 1950 -
Licencié en philologie germanique de l'Université libre de Bruxelles (1971). Membre fondateur de l'Université populaire de Bruxelles.
Historien. Professeur d'histoire des temps modernes à l'Université libre de Bruxelles.
Licenciée en Histoire (ULB, 1960)
Archiviste-conservateur adjoint aux Musées et Archives de la Ville de Bruxelles
Anvers, 4 février 1937 - Rhode-Saint-Genèse, 24 février 2014
Licence en sciences économiques (ULB, 1966) ; doctorat en sciences économiques (ULB, 1970)
Anvers, le 4 octobre 1904 -
Ingénieur électro-mécanicien (Ulb, 1928) et docteur en chimie-physique (Ulb, 1935).
Donne cours entre 1929 et 1941. Quitte administrativement l'ULB en 1944.
Bruxelles, 1906 - Paris, 2000
Docteur en droit de l'Université libre de Bruxelles (1927), avocat, journaliste, éditorialiste, critique de cinéma, directeur des services parisiens du quotidien Le Soir, essayiste, dramaturge, écrivain et biographe, critique littéraire.
Forme parallèle du nom : Marcel Defosse
Grivegnée, 23 octobre 1918 - Ixelles, 30 janvier 2009
Ingénieur commercial (Solvay, 1941), Directeur général du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés
Ixelles, le 22 décembre 1903 - Ixelles., le 7 mars 1954
Docteur en philosophie et lettres (1926). Chargé de cours de Sanskrit
Anvers, 3 juin 1920 - Uccle, 8 février 2007
Sinologue, épouse de Gilbert Jaeger
New York, le 14 juin 1928 - Linkebeek, le 3 mai 2011.
Physicien des particules. Obtient la Chaire de Physique théorique à l'ULB. Nommé professeur ordinaire en 1966 cinq années après avoir rejoint l'Université.
Dates d'existence : 1901-1928
Jean Périer, fils de Gaston-Frédéric Périer et de Jeanne Thys, nait le 9 mars 1901 à Bruxelles et meurt en février 1928. Il effectue ses études secondaires à l’Athénée royal d’Ixelles où il rencontre, entre autres, Max Pierret, Robert de Geynst et Marcel Cuvelier. Il se distingue très tôt par ses productions littéraires en créant quelques revues ; La Lyre du Potache, l’Hermès et le Cénacle et en écrivant le discours d’adieu à la fin de sa rhétorique en 1918. Quelques mois plus tard, il fonde un cercle littéraire, le Cénacle et en janvier 1919, il s’inscrit en faculté de Droit à l’Université libre de Bruxelles. C’est à cette période que ses productions littéraires s’intensifient. Il collabore avec diverses revues comme La Patrie Belge, dans laquelle un de ses poèmes sera publié pour la première fois, et il fera imprimer le Combat de la Neige et du Poète en janvier 1920. Il ajoute le prénom de son grand-père paternel, Odilon, afin d’éviter toute confusion avec l’acteur homonyme et publie La Vertu et le Chant en juillet de la même année. Il entame son service militaire à Beverloo en avril 1922 et y rencontre Eric de Hauleville avec lequel il nouera une grande amitié. Cependant, son service militaire lui cause vite des problèmes de santé et, en juillet, il développe une angine puis des rhumatismes articulaires qui l’obligent à rester alité jusqu’en octobre 1922 et ne le quitteront jamais, il passera sa vie entre crises et cures. Sa maladie ne l’empêche pas de publier Notre Mère la Ville durant ses mois de convalescence. Au début de l’année 1923, il entre à La Nouvelle Revue Française, où il rencontre Marcel Arland, Jules Supervielle et d’autres passionnés de littérature. Dès cette année et jusqu’en 1926, il passera son temps à Bruxelles, Paris et au Zoute, en subissant des crises de rhumatisme. Il se voit rappelé à Berveloo en août et septembre 1924. En février 1925 a lieu la représentation de sa pièce Les Indifférents au théâtre des Marais et Odilon-Jean Périer effectue un nouveau séjour au camp de Beverloo de juin à juillet. Entre deux crises de rhumatisme, il publie le Jeu de Carte en fin d’année. Il effectue plusieurs voyages en 1926, en Italie et en France et publie Le Passage des Anges. Il se marie avec Laure Féron en septembre et repart ensuite en Italie pour revenir à Bruxelles un mois plus tard. En 1927, il passe son temps entre Bruxelles et le Zoute et publie Le Promeneur en janvier. Il effectuera ensuite une cure à Aix-la-Chapelle et publie, en collaboration avec ses amis, le Premier Livret en décembre. Odilon-Jean Périer meurt d’une péricardite rhumatismale le 22 février 1928, le jour de la publication du Deuxième Livret et quelques jours avant la naissance de son fils, Olivier-Jean Périer.
Forme parallèle du nom : Périer, Jean
Fonctions et activités :
• Élève à l’Athénée royal d’Ixelles (1911-1918)
• Étudiant en droit à l’Université Libre de Bruxelles (1919-1924)
• Docteur en droit (1924)
• Poète et écrivain
Entame des études de Philosophie et lettres avant de poursuivre des études de droit (1880-1895). Il obtient son doctorat de droit en 1895. Il est secrétaire du Cercle des étudiants et anciens étudiants socialistes dans les années nonante. Il est rédacteur-éditeur de "La République belge"
Obtient son doctorat en droit à l'Université de Gand le 12 août 1825. Inscrit au barreau de Mons et grâce à son éloquence aisée, il obtient de nombreux succès à la cour d'assise. Suite aux événements de 1830, il reçoit la décoration de la Croix de fer. En 1847, il crée un établissement de céramique à Baudour.
Licenciée en Sciences géographiques en 1935 à l'ULB. Etudie au Clark University Geographical Society (1946)
Etterbeek, 26 mars 1946 -
Licencié en sciences économiques (ULB, 1971) ; licencié spécial en économétrie (ULB, 1974)
Jean Ghilain est né le 27 décembre 1893 à Fontenoy, dans le Hainaut. Il fait des études d’ingénieur commercial à l’ULB qu’il termine en 1919. Il travaille ensuite au ministère des Affaires étrangères et pour le ministère du Travail. En 1922, il est engagé à la CITAS (Compagnie Industrielle et de Transports au Stanley Pool). Il est nommé sous-directeur deux ans plus tard et déménage à Léopoldville. Il devient directeur de l’Union nationale des transports fluviaux (l’UNATRA) en 1930. Suite à la fondation de l’Office des transports coloniaux (l’OTRACO) en 1936, l’UNATRA et le Chemin de fer Matadi Léopoldville (CFML) sont incorporés à l’OTRACO. Jean Ghilain occupe successivement les postes de directeur (1936-1946), directeur général (1946-1952) et conseiller (1952-1954) de l’OTRACO.
Parallèlement à ses fonctions à l’OTRACO, il s’engage pour la Croix-Rouge au Congo dans les années 1930. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, il occupe la fonction d’administrateur général de la Croix-Rouge de Belgique. Il est également professeur à l’Université coloniale d’Anvers de 1927 à 1951. Dès 1951, il figure parmi les représentants du Centre scientifique et médical de l’ULB en Afrique centrale (CEMUBAC). La même année, il enseigne un cours intitulé Régime économique du Congo belge à la Faculté des sciences politiques et sociales de l’ULB. Il fut également auxiliaire scientifique, puis collaborateur scientifique à l’Institut de Sociologie Solvay. Il est nommé professeur extraordinaire à l’ULB en 1958, puis professeur ordinaire en 1959. Il décède le 27 septembre 1968 à Bruxelles.
Espierres, 4 mai 1772 - Bruxelles, 2 mars 1858
Avocat et philosophe. Elève de l'Ecole normale de Paris (1795). Il collabore au journal Le Républicain du Nord devint clerc, puis secrétaire-greffier à Louvain (1800-1809). Suite à un décret impérial, Van Meenen prête serment à la cour d'appel de Bruxelles mais exerce sa profession à Louvain. lors de l'appel de Th. Verhaegen, P;-F. participe à la fondation de l'Université de Bruxelles et pris, dans la foulée, la chaire d'encyclopédie de la philosophie pour l'échanger ensuite contre celle de philosophie morale.
Bruxelles, le 15 novembre 1799 - le 5 juillet 1887
Avocat et homme politique, il est reçu docteur en droit de l'Université de Liège en 1823.
Co-fondateur de l'Université libre de Bruxelles, il y enseigne le droit administratif.
Deroubaix, Louis (1813 – 1897). Etudiant en médecine à l’Ecole pratique de Saint-Pierre, il devient interne des hôpitaux de la ville en 1833 et est attaché au service chirurgical de Louis Seutin. En 1835, il est reçu Docteur en médecine de l’Université de Louvain en 1835 et de chirurgie et d’accouchements en 1836 par le jury central. Ses diplômes acquis, il passe quelques mois à Paris auprès d’Alfred Velpeau. En 1837, il est fait membre du Comité de salubrité publique et remplit les fonctions de prosecteur à l’Université Libre de Bruxelles. En 1841, il occupe la chaire d’anatomie descriptive et devient chef du service chirurgical de l’Hôpital Saint-Jean et de la clinique liée en 1876. Voir : Gallez et Gallez, Histoire de l’Académie royale, p.381;R. Bardez, La Faculté de médecine de l’Université Libre de Bruxelles: entre création, circulation et enseignement des savoirs (1795 – 1914), non publiée, Université libre de Bruxelles, 2015, p.435.
Anvers, le 29 mai 1809 - Bruxelles, le 6 janvier 1875.
Docteur en droit (Université de Louvain, 1835)
Avocat et professeur de droit criminel à l'Université d'Etat de Louvain de 1831 à 1834. Il intègre ensuite l'Université de Bruxelles où il enseignera jusqu'à sa mort, soit durant trente-sept ans.
Bruxelles, 13 novembre 1822 - Ixelles, le 23 août 1870
Docteur en sciences et en médecine, chirurgie et accouchement.
Clèves (Prusse orientale), 1 septembre 1812 - Bruxelles, 23 août 1884.
Docteur en droit. Avocat
Bruxelles, le 9 août 1819 - 25 novembre 1901
Docteur en philosophie et lettres (1845)
Bruxelles, le 18 octobre 1835 - Bruxelles, le 3 novembre 1871
Pharmacien (1855), docteur en sciences naturelles (1858)
Louvain, le 30 septembre 1812 - le 20 novembre 1888
Avocat.
Il effectue ses études de médecine à l’Université Libre de Bruxelles. En 1841, il est reçu Docteur en médecine, chirurgie et accouchements. Durant ses études, il occupe les fonctions d’interne et travaille sous la direction de Louis Seutin. En 1848, il est porté au programme des cours de la Faculté de médecine de l’Université bruxelloise sur la demande du Conseil des hospices afin de dispenser une clinique des maladies syphilitiques et cutanées à l’Hôpital Saint-Pierre. Au sein de cette institution, il remplit la fonction de chef de service et applique les théories de Philippe Ricord. En 1850, il est nommé Professeur extraordinaire de la Faculté de médecine et se voit confier le cours de pathologie chirurgicale. En 1856, il est nommé Professeur ordinaire et dispense, un an plus tard, le cours d’ophtalmologie, rattaché à son enseignement clinique. Il démissionne de ses fonctions d’enseignement en 1893. En 1848, il contribue à fonder La Presse médicale belge avec Jean Crocq, Jean Hannon et Émile Houzé. Il est élu membre titulaire de l’Académie royale de médecine en 1862, en remplacement de Louis Seutin. Voir : A.U.L.B. : Dossier administratif Jean Thiry
Lausanne, 9 novembre 1835 - Bruxelles, 21 juillet 1898
Licencié en droit de l'Académie de Lausanne, docteur en droit de l'Université de Berlin (1858).