Léon Roup est né à Ath le 16 mai 1881. Il est docteur en sciences naturelles et professeur d’Athénée.
Rotterdam, le 17 avril 1768 - Bruxelles, le 3 août 1838.
Homme politique belge, il participe à la création de l'Université de Bruxelles.
Marche, 31 mai 1831 - Paris, 21 décembre 1908
Docteur en sciences physiques et mathématiques (1854). Professeur de Géométrie descriptive (1859-1865), physique mathématique (1859-1906), physique expérimentale (1861-1906), physique industrielle (1873-1874).
Anvers, le 29 mai 1809 - Bruxelles, le 6 janvier 1875.
Docteur en droit (Université de Louvain, 1835)
Avocat et professeur de droit criminel à l'Université d'Etat de Louvain de 1831 à 1834. Il intègre ensuite l'Université de Bruxelles où il enseignera jusqu'à sa mort, soit durant trente-sept ans.
Etudes de philologie romane (Université Charles de Prague)
Fondateur du Centre d'études tchèques en 1997.
Merchtem, le 9 avril 1829 - Bruxelles, le 25 février 1915
Docteur en médecine (1857)
le 26 août 1934 -
Licencié en sciences physiques (ULB, 1956), docteur en sciences physiques (ULB, 1961)
Diplômé en psychologie industrielle (ULB, 1964)
Docteur en droit (ULB, 1954) ; Docteur en droit international (Paris, 1957)
Bruxelles, le 3 juin 1815 - Bruxelles, le 23 octobre 1874
Avocat
Berlin, le 25 janvier 1926 - Bruxelles, le 11 mai 2012
Docteur en médecine (ULB, 1951), post-graduat de pédiatrie (1953), candidature en sciences psychologiques (1953)
Ixelles, 30 janvier 1877 - Bruxelles, 23 août 1953.
Docteur en médecine (ULB, 1900) ; Docteur spécial en sciences anatomo-physiologiques (ULB, 1903)
Fonde, à l’Université libre de Bruxelles, l’Institut d’Hygiène et de Médecine Sociale (notamment avec l’aide de la Fondation Rockefeller).
Licence spéciale en économétrie (ULB, 1972)
Licence de droit (Grenoble, 2001), Maîtrise de droit européen / droit international public (Fribourg, 2002), Doctorat en droit (international) pénal (Genève et Paris-Nanterre, 2009)
Charleroi, 1965 -
Avocate
Rio de Janeiro, le 23 mai 1953 -
Médecin généraliste
Bruxelles, 8 mars 1832 - 6 février 1879
Docteur en sciences physiques et mathématiques (ULB, 1854)
Docteur en philosophie et lettres (1993)
Wavre, le 14 février 1898 -
Docteur en droit (1935)
Licencié en sciences criminologiques (ULB, 1941) ; docteur en droit (ULB, 1942) ; Agrégé (1957)
Docteur en médecine, chirurgie et accouchements (1937) ; Licence en éducation physique (1937)
Ingénieur commercial (ULB, 1935)
Paris, le 25 mai 1813 - Liège, le 11 décembre 1900.
Entomologiste, ornithologue et mammalogiste belge.
Dès 1825, il suit des leçons à domicile sous la direction de différents professeurs. En 1829, à 16 ans, il devient membre effectif de la Société des sciences naturelles de Liège. Il bénéficie de l’appui de Stephens et de Davreux et présente un mémoire sur les lépidoptères de la province de Liège.
Il crée en 1855 la société entomologique de Belgique.
Paris, le 30 juin 1875 - Woluwé-Saint-Lambert, le 11 mai 1963.
Docteur en sciences naturelles (zoologie) (Université de Liège, 1901)
Au retour de l'expédition dans l'Antarctique, le commandant de Gerlache avait confié à Edouard Van Beneden la collection des Tuniciers récoltés par la « Belgica ». E. Van Beneden en avait entrepris l'étude lorsque la mort le faucha. Ses observations restaient inachevées, il revint alors à Marc de Selys Longchamps la mission d'assurer la publication posthume des résultats de ces recherches.
Sa fille, Irène, se mariera avec William Lameere, fils de Auguste Lameere.
Huy, le 25 septembre 1856 - Finnevaux, le 30 novembre 1946
Docteur en philosophie et lettres (ULB, 1874) et docteur en droit (ULB, 1877)
Licence en Histoire (Paris-Sorbonne, 1993) ; Doctorat en Histoire et civilisations du monde arabe de (Institut National des Langues et Civilisations Orientales INALCO, Paris, 2005))
Fondatrice de l’Observatoire des Mondes Arabes et Musulman (OMAM) à la MSH, elle anime un séminaire sur les approches sociales et politiques du monde arabe et musulman. Ses principaux domaines de recherche sont les réfugiés, la fabrication, les usages et les pratiques des archives dans le monde arabe, l'histoire et la mémoire de la guerre civile libanaise, la liberté académique et la récente crise libanaise.
Homme politique
Docteur en droit (1921)
Participe à partir de 1958 à la chaire de psychologie et de psychopathologie,
Ingénieur en Sciences physiques (ULB, 1979).
Bruxelles, le 24 février 1863 - Ixelles, le 9 octobre 1930
Docteur en médecine (1888), docteur spécial (1897).
Après ses études, il part en Allemagne perfectionner ses connaissances techniques de chimie biologique. Il crée en 1924 le cours de biochimie pathologique à l'Université libre de Bruxelles
Licenciée en sciences politiques (ULB, 1994) et en criminologie (ULB, 2006)
Bruxelles, 7 juillet 1881 - 8 février 1961.
Docteur en Histoire (ULB, 1904), Docteur en droit (ULB, 1908)
Juriste, sociologue, ethnologue. Pro-recteur pendant les années académiques 1932-1933 à 1934-1935, Directeur de l'Institut de Sociologie Solvay depuis le 1er octobre 1935, Fut chargé d'une mission ethnologique dans l'Urundi en 1935. Membre Permanent du Conseil d'Administration de l'Université depuis décembre 1944, Président de l'Institut de Philologie et d'Histoire orientales et slaves depuis 1947, Président du Comité Central de l'Extension de l'Université Libre de Bruxelles.
Recteur-adjoint de l'Université libre de Bruxelles (1970)
Licenciée en Histoire (ULB, 1960)
Archiviste-conservateur adjoint aux Musées et Archives de la Ville de Bruxelles
Bléré, le 31 août 1861 - Paris, le 8 juin 1933
De nationalité française, P. Sollier fait des études de médecine à Paris, où il soutient en 1891 une thèse sur la psychologie de l'idiot et de l'imbécile. Dès la fin du siècle, il partage ses activités entre Paris et Bruxelles; d'un côté, il dirige un sanatorium/clinique psychiatrique réputé à Boulogne-sur-Seine, — il y accueillera notamment Marcel Proust — ; de l'autre, il assure, dès 1897, divers enseignements et fonctions administratives au sein de l'Institut des Hautes Études de Belgique.
Lucien Solvay, Saint-Josse-ten-Noode, 7 octobre 1851 - Ixelles, 15 août 1950. Journaliste, historien de l'art et poète belge, il fut le premier rédacteur en chef du Soir. Il s'inscrit à l'Université libre de Bruxelles en médecine mais change de filière au profit du droit en 1869. Il suit en parallèle les cours à l'Académie des Beaux-arts. Il collabore à un grand nombre de journaux.
Uccle, le 30 novembre 1938 - 30 juillet 2024
Docteur en sciences (1963). Glaciologue
Renaix, le 4 décembre 1880 - Uccle, le 30 novembre 1960
Il entame ses études à l'université de Gand où il obtient un diplôme de candidat en philosophie et continue des études de droit à l'Université libre de Bruxelles (1904)
Paul Spaak, Ixelles 5 juillet 1871 - 8 mai 1936, avocat, poète, dramaturge belge. Docteur en droit de l'Université libre de Bruxelles en 1894. Il épouse Marie Janson, fille de Paul Janson , ils ont ensemble quatre enfants dont Paul-Henri Spaak. Il est professeur d'histoire de la littérature à l'Université Nouvelle à partir de 1897 et enseigne cette matière à l’Institut des hautes études de Belgique de 1902 à 1922.
Il est un des directeurs de la Monnaie de 1920 jusqu'à son décès et un membre de l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique de 1920 jusqu’à sa mort en 1936.
Bruxelles, 25 janvier 1899 - 31 juillet 1972.
Docteur en droit (ULB, 1922).
Avocat. Petit-fils de Paul Janson, fils de Marie Janson (première femme à entrer au Sénat belge).
Premier ministre belge (1947-1949). Président de l'Assemblée commune européenne (1952-1954). Secrétaire général de l'OTAN (1957-1961).
Bruxelles, le 13 mai 1854 - Uccle, le 24 décembre 1947
Docteur en médecine, chirurgie et accouchements (1879), docteur agrégé (1884)
Enseigne la biologie de l’éducation physique et la biométrie des enfants.
Fondateur de la Ling Unversitas.
Londres, 7 octobre 1870 - 14 mars 1942
Docteur en droit, en sciences politiques et administratives (ULB, 1898).
Président de la Fondation Cassel (CEMUBAC), sénateur libéral, membre du Conseil Colonial. Nommé professeur extraordinaire à la Faculté de Droit (1910) et principal promoteur des thématiques coloniales.
Licencié en droit (ULB, 1974) ; licencié en sciences criminologiques (ULB, 1974) ; licencié spécial en droit économique (ULB, 1975)
Louvain, 21 août 1813 - Bruxelles, 13 décembre 1891.
Médecin et chimiste analytique (Université de l'Etat de Louvain, 1835).
Connu pour ses travaux sur la masse atomique des éléments chimiques et ses recherches sur les poids atomiques.
Il intervient comme expert dans le procès du vicomte de Bocarmé, accusé d'avoir empoisonné son beau-père, Hyppolite Visart, à l'aide de nicotine (1850)
Historien belge et professeur de l'Université libre de Bruxelles, Jean Stengers est né le 13 juin 1922 à Bruxelles. En 1939, à l’âge de 17 ans, Jean Stengers s’inscrit en histoire à l’Université libre de Bruxelles. Étudiant précoce, en 1941, il publie son premier article dans la Revue belge de Philologie et d’Histoire. Durant la guerre, il poursuit ses études à l’Université de Liège d’où il sort diplômé en 1943. Ensuite, sous la direction de Paul Bonenfant, il entame une thèse de doctorat sur la question des fondements historiques de la nationalité belge. Il est reçu docteur avec la plus grande distinction en 1948.
Étudiant et chercheur reconnu, il est, dès 1949, chargé du cours d'histoire coloniale en qualité de suppléant du professeur Frans van Kalken auquel il succède en 1951 pour l'ensemble de ses enseignements dans le champ de l'histoire contemporaine. Il est promu professeur ordinaire en 1954, à l'âge de trente-deux ans. Médiéviste à l’origine, son éclectisme lui permet d’aborder toutes les périodes de l’histoire. Il prend d’ailleurs la direction du séminaire d'histoire contemporaine en 1967. Sa réputation et sa notoriété scientifique se sont en partie construites au départ de l’histoire coloniale belge, sujet sur lequel il publie, dès 1957, un premier livre, Combien le Congo a-t-il coûté à la Belgique ? Son intérêt continu pour cette thématique l’amène à publier de nombreux articles sur le sujet. Ces articles furent en partie regroupés dans l’ouvrage Congo, Mythes et réalités publié en 1989. Sa parfaite connaissance des sources relatives à l’histoire de l’État indépendant du Congo et du Congo belge en a fait un critique pertinent des ouvrages d’Adam Hochschild.
Jean Stengers s’est également intéressé à d’autres domaines de recherche dont les rapports entre église et sexualité. Ses contributions les plus fondamentales dans l’historiographie de l’histoire contemporaine belge sont ses travaux autour de la royauté et de la question royale. Ses recherches sur le sujet ont donné lieu à deux publications : Léopold III et le gouvernement. Les deux gouvernements belges de 1940 (1980), et L’action du Roi en Belgique depuis 1831. Pouvoir et influence (1992). Jean Stengers est décédé le 15 août 2002 à Bruxelles.
Docteur en Philosophie et Lettres.