Bruxelles, le 20 juillet 1935 -
Ingénieur civil mécanicien-électricien (1958), Ingénieur des Télécommunications et d'électronique (1959) ; Docteur en Sciences appliquées (1963)
18 janvier 1937 - 4 août 2012
Ingénieur civil mécanicien et électricien, spécialité physique (1959) ; Docteur en Sciences appliquées (1967)
Bruxelles, 1933 -
Ingénieur civil des constructions (1956) ; docteur en sciences appliquées (1963)
Ingénieur civil physicien (1970) ; ingénieur en automatique (1972) ; docteur en sciences appliquées (1979)
Liège, 1937 -
Ingénieur civil mécanicien-électricien (1960)
Uccle, le 13 octobre 1933 -
Ingénieur civil mécanicien et électricien et ingénieur radioélectricien (1956), Licencié en mathématiques (1959)
20 novembre 1932 - 1999
Ingénieur électromécanicien (1955) ; Master of sciences in nuclear engineering (MIT, 1959)
Ixelles, le 23 mars 1927 - le 17 septembre 2007
Ingénieur civil mécanicien et électricien (1949), Docteur en sciences appliquées (1960)
Candidat ingénieur civil (ULB, 1940) ; Ingénieur civil mécanicien et électricien au Jury central (1943)
Ingénieur mécanicien-électricien (1929)
Nivelles, le 25 juillet 1903 - Bruxelles, le 18 novembre 1965
Docteur en sciences physiques et mathématiques (1925)
Ingénieur mécanicien électricien (1927)
Ne fait plus partie du corps enseignant après la guerre.
Saint-Gilles, le 1 janvier 1889 - Ixelles, le 27 février 1947
Ingénieur civil des mines, candidat en sciences physiques et mathématiques
Ath, 1797 - le 31 décembre 1871
Kniestadt (Hanovre), 14 juillet 1808 - Leipzig, 2 août 1874
Docteur en droit de l'Université de Goettingue. Il quitte l'Allemagne à la suite de troubles politiques de 1831, il cherche refuge à Bruxelles puis à Paris, où il donna un cours de psychologie. En 1834, il fut appelé à l'Université de Bruxelles et il y resta jusqu'en 1848, nommé alors membre du Parlement de Francfort, il accepta une chaire à Gratz, puis à Leipzig où il mourut.
Franz Hellens né à Bruxelles le 8 septembre 1881 et décédé dans la même ville le 20 janvier 1972. Il est romancier, poète, essayiste et critique d’art.
Docteur en droit de l’Universté de Gand en 1905, il se lie avec des peintres gantois et publie plusieurs articles de critique d’art.
Il renonce à sa carrière d’avocat et entre comme stagiaire à la Bibliothèque royale. Durant la première guerre mondiale, non mobilisable, il séjourne en Hollande et en Angleterre et à son retour il découvre la lumière et les couleurs de la Côte d’Azur où il fait la connaissance de Matisse, Modigliani, Maeterlinck, Jules Romain.
De retour à Bruxelles en 1920, il reprend ses fonctions de bibliothécaire à la Chambre des Représentants.
En 1921, Franz Hellens fonde la revue Signaux de France et de Belgique qui deviendra en 1922 et jusque 1925 le Disque Vert.
Il fréquente les “Diners du lundi” à partir de 1932 signe le Manifeste de ce groupe avec 21 auteurs belges dont Grégoire Le Roy, Eric de Haulleville, René Verboom en 1932.
Jette, le 22 juillet 1913 -
Docteur en médecine (1938), agrégé de l'enseignement supérieur (1953).
Venise, 20 juillet 1834 - Bruxelles, 11 décembre 1880
Banquier, financier.
Rejoint Bruxelles en 1856 pour effectuer un stage chez Joseph Oppenheim.
Co-fondateur de la Banque de Bruxelles le 13 novembre 1871.
Docteur en sciences pharmaceutique (ULB, 2005)
Doctorat en sciences pharmaceutiques (Ulb, 1995)
Arlon, le 30 avril 1954 -
Pharmacien (1977) ; docteur en sciences pharmaceutiques (1983)
Docteur en médecine, chirurgie et accouchement (ULB, 1951) ; Licencié en science dentaire (ULB, 1958)
Tamines, le 10 septembre 1929 - Uccle, le 24 juillet 2010
Docteur en Médecine à l'ULB (1956) ; brevet de spécialiste en radiodiagnostic (1959)
Bruxelles, avril 1921 - 2014
Docteur en médecine, chirurgie et accouchements (ULB, 1945)
Uccle, le 30 janvier 1934 - Bruxelles, le 23 mars 2020
Docteur en Médecine (1958)
Bruxelles, le 12 août 1930 - le 16 avril 2015.
Docteur en médecine (1954)
Anvers le 27 août 1921 - le 17 janvier 2019
Docteur en médecine (1946)
Wavre, le 15 février 1922 - Bruxelles, le 17 mai 2014.
Huy, le 9 octobre 1907 - Tours (France), le 24 juillet 1975
Docteur en médecine de l'Université de Liège (1933) ; licencié en science dentaire (1937)
Schaerbeek, le 1er juin 1906 - Watermael-Boitsfort, le 24 août 1991
Docteur en médecine (1930)
Reims, le 25 janvier 1900 - 1979
Docteur en médecine (1926)
Anvers, le 2 novembre 1898 - le 13 mars 1998
Docteur en médecine (1924), Docteur spécial en sciences biologiques (1928)
Marchienne-au-Pont, le 23 septembre 1885 -1956
Médecin
Cuesmes, 2 mars 1886 - 28 décembre 1961
Erezée, le 16 avril 1873 - Ottignies, le 10 janvier 1956
Docteur en médecine, chirurgie et accouchement (ULB, 1897), Docteur spécial en sciences médico-chirurgicales (ULB, 1904)
Frasnes-lez-Gosselies, le 7 juin 1946 -
Licence en sciences psychologiques (1971) ; Doctorat en sciences psychologiques (1980)
Licencié en Sciences psychologiques et pédagogiques (ULB, 1982), Docteur en sciences psychologiques (ULB, 1986)
29 mars 1975 -
Doctorat en philosophie (ULB, 2004)
Braine-le-Comte, le 1e janvier 1969 -
Licencié en droit (1992) ; licencié spécial en droit public et administratif (1993) ; docteur en droit (2001)
Docteur en droit (ULB, 1998)
Master en Sciences informatiques (1994), docteur en sciences informatique (2000)
Doctorat en Sciences zoologiques (ULB, 1982)
Doctorat en Sciences chimiques (ULB, 1990)
Bruxelles, le 5 janvier 1958 -
Licenciée en Sciences mathématiques (ULB, 1978) ; Licenciée en Sciences actuarielles (ULB, 1981) ; Docteur en Sciences mathématiques (ULB, 1985)
Henri Storck est un cinéaste belge né à Ostende en 1907 et mort à Uccle en 1999. Il s'intéresse au cinéma dès son plus jeune âge. Henri Storck est multitâche. Dans le secteur cinématographique, il est tour à tour réalisateur, directeur technique, producteur, monteur et même acteur dans Zéro de conduite de Jean Vigo. Mais il est aussi professeur à l’INSAS et à l’IAD. Enfin, c’est un acteur institutionnel de premier plan, il écrit beaucoup sur la production en Belgique, est membre de plusieurs associations notamment l’AID (Association internationale des documentaristes). Il s’entoure de partenaires et amis de haut-vol tels que Charles Spaak, Joris Ivens, Leon Spilliaert, Maurice Jaubert, Luc de Heusch (son gendre) pour ne citer qu’eux.
A 20 ans, il fonde le ciné-club d’Ostende. Il y fréquente notamment James Ensor et Félix Labisse.
En 1930, il est nommé « cinégraphiste » de la ville d’Ostende. Il n’est pas rémunéré pour ce travail et demande, en contrepartie, de pouvoir utiliser les images qu’il tourne pour ses propres créations. Il réalise donc ses premiers films sur Ostende. Son approche expérimentale du cinéma le mène à être un des premiers à dessiner sur la pellicule (Films abstraits dessinés sur pellicule, 1930). Il est aussi novateur, avec Histoire du soldat inconnu en 1932, dans la pratique du found footage. Ce film est profondément antimilitariste et sera censuré par la France l’année de sa sortie. En 1933, il filme les ouvriers du Borinage aux côtés de Joris Ivens. Misère au Borinage (1933) fait polémique pour son orientation communiste. Il est censuré dans de nombreuses villes.
Henri Storck, qui veut que le cinéma belge devienne une véritable industrie, fonde l’INRACI en 1938, la plus vieille école de cinéma de Belgique. La même année, il co-fonde la Cinémathèque royale aux côtés de Pierre Vermeylen et André Thirifays.
Entre 1942 et 1944, il tourne Symphonie paysanne, ensemble de courts-métrages sur les paysans avant l’industrialisation se déroulant sur les quatre saisons de l’année. (Etant un des rares films tournés pendant l’occupation, il fut soupçonné d’œuvre de propagande. Henri Storck s’en est toujours défendu.)
Entre autres films de commande, il tourne plusieurs films sur le folklore belge.
En 1951, il réalise son unique fiction, Le banquet des fraudeurs, Charles Spaak en est le scénariste.
Il tourne aussi de nombreux films sur l’art autour de Paul Delvaux, Permeke, Rubens ou Labisse.
Beaucoup de films restent dans les tiroirs, projets de collaborations, adaptations de romans ou de pièces de théâtre, des projets qui sont parfois bien avancés. Les plus connus restent Bula Matari et Ces messieurs du marché noir.
En 1978, il fonde le Centre Audiovisuel à Bruxelles (le CBA), atelier d’accueil.
Il est nommé Docteur Honoris causa à la VUB en 1978 et à l’ULB en 1995.