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Notice d'autorité
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De Boeck, Jean-Louis-Joseph

  • BE AULB NA P 0091
  • Personne
  • 1863-1913

Bruxelles, 15 mai 1863 - 25 novembre 1913.
Docteur en médecine (1887), docteur spécial (1893), agrégé (1894) de l'Université libre de Bruxelles.
Psychiatre.

Burniat, Pol

  • BE AULB NA P 0075
  • Personne
  • 1902-1975

Champion (Namur), le 1 mars 1902 - Mont-Saint-Guibert, le 25 juillet 1975.
Docteur en sciences physiques et mathématiques (Université de Liège, 1925)

Waelbroeck, Jean

  • BE AULB NA P 0251
  • Personne

Economiste.

Tollet, Robert

  • BE AULB NA P 0290
  • Personne
  • 1946 -

Etterbeek, 26 mars 1946 -
Licencié en sciences économiques (ULB, 1971) ; licencié spécial en économétrie (ULB, 1974)

Thielemans, Marie-Rose

  • BE AULB NA P 0233
  • Personne
  • 1926 - 2017

Glimes, 7 octobre 1926 - Braine-l'Alleud, 4 novembre 2017.
Licenciée en histoire (ULB, 1948) ; Doctorat en histoire (ULB, 1961)

Professeur honoraire de l'ULB

Université nouvelle de Bruxelles

  • BE AULB NA C 0062
  • Collectivité
  • 1894-1919

L'Université Nouvelle (UN) fut fondée à la suite d'un conflit interne à l'Université libre de Bruxelles (ULB). Cette dernière connaissait en effet quelques ennuis à cause de sa politique jugée trop conservatrice : l'affaire Dwelschauvers de 1890 participa à la création d'un groupe de dissident au sein de l'ULB et l'affaire Reclus en 1893 entama le mouvement de la création de l'UN. La première affaire avait éclatée à la suite du refus d'une thèse de doctorat par le professeur Tilberghiem, officiellement à cause d'un manque de valeur scientifique, officieusement parce que le positivisme de Georges Dwelshauvers entrait en contradiction avec le spiritualisme du professeur en question. La seconde affaire éclate à la suite de l'annulation du cours de géographie comparée d'Elisée Reclus par le conseil d'administration qui craignait des débordements par suite de l'attentat d'Auguste Vaillant à Paris le 9 décembre 1893.
Alors que le premier événement s'était relativement bien terminé (l'étudiant ayant terminé sa thèse à l'étranger), le second avait provoqué, d'un côté, une cassure plus durable au sein du monde politique libéral, désormais fortement divisé entre doctrinaire et radicaux, mais surtout des problèmes plus spécifiques à l'ULB. Le cours de Reclus, supprimé par le Conseil d'administration, fut finalement donné dans un local de la Loge des Amis Philanthropes avec le soutien de l'Extension universitaire. Pour autant, les opposants à la décision de l'ULB, voyant que leur institution ne donnait aucunement l'impression de vouloir moderniser sa façon de penser, s'organisèrent pour préparer la fondation d'une nouvelle institution d'enseignement, dont se chargera un comité composé de Paul Janson, Edmond Picard, Guillaume De Greef, Elie Lambotte, Jacques Des Cressonnières et Charles Dejongh. Un appel au public fut lancé en mars 1894 ; la location de l'ancienne maison de Théodore Verhaegen (13, rue des Minimes, à Bruxelles) commença le 3 avril ; l'Ecole Libre d'Enseignement Supérieur était fondée ; la nouvelle institution se voulait bâtie sur des bases progressistes et positivistes, ainsi que, comme son institution-mère, le libre examen. L'Université Nouvelle s'organisa rapidement afin d'offrir un enseignement qu'elle voulait novateur. En 1895, elle possédait les quatre facultés principales (Philosophie et Lettre, Sciences, Droit et Médecine) qui lui devait lui permettre de se désigner comme « Université » au sens légal des lois de 1890 et 1891, mais elle les jugeait insuffisantes pour offrir un enseignement universitaire complet. De là, l'institution développera de nombreux instituts et facultés : l'Institut des Hautes Etudes (IHEB), dès 1894, dernier reliquat de l'UN toujours en activité ; l'Institut de Fermentation de 1896 à 1911 sous la direction de Jean Effront ; l'Institut d'histoire naturelle générale des sciences, des arts et des métiers de 1897 à 1902 dont le président honorifique était Théodore Wechniakoff ; l'Institut d'Hygiène de 1897 à 1902 dirigé par Arthur Bonmariage ; l'Institut géographique de 1898 à 1919, dirigé par Elisée Reclus ; enfin, l'Ecole polytechnique de 1897 à 1899 devenant l'Institut Industrielle de 1899 à 1903, dirigé par Louis De Brouckère avec l'aide du Parti Ouvrier Belge. Du point de vue de la pédagogie, l'UN mit en avant le savoir encyclopédique face à une spécificité trop grande de certaines matières (les cours plus spécialisés se retrouvaient en général à l'Institut des Hautes Etudes).
L'Université Nouvelle n'eut que très tardivement un règlement et des statuts précisant sa structure, tout en ayant des pratiques de gestion déjà bien en place – des discussions pour mettre ces pratiques par écrit apparaissent dès 1911 et les statuts et le règlement furent approuvés en 1912. L'UN était gérée par un comité administratif (ou comité central), équivalent du Conseil d'administration de l'ULB composé du recteur, de dix membres permanents cooptés, de deux délégués élus pour deux ans par le corps professoral, du secrétaire général, de deux secrétaires de l'IHEB et du secrétaire trésorier. On y nommait les professeurs et résolvait les questions d'ordre administratifs, scientifiques et morales. Une assemblée annuelle du corps professoral servait à rendre compte aux membres de l'institution de la situation de l'UN aussi bien pour les réunions du comité administratif que celles du corps professoral, deux délégués étudiants avec voix consultative étaient élus par les étudiants.
L'UN dut se battre tout au long de son existence pour une reconnaissance légale et un droit à l'obtention d'un jury spécial qu'elle n'obtiendra que pour les facultés de Philosophie et Lettres et de Droit de 1894 à 1899 et pour toutes ses facultés de 1911 à 1914. Durant la Première Guerre mondiale, elle fut l'une des rares, si pas la seule, institution belge d'enseignement supérieur à continuer ses travaux. Rapidement après le conflit, l'Université Nouvelle entama les discussion pour sa dissolution et sa fusion avec l'Université libre de Bruxelles : l'Ecole Libre d'Enseignement Supérieur ferma ses portes en 1919, après 25 ans d'existence.

Boisacq, Émile

  • BE AULB NA P 0491
  • Personne
  • 1865-1945

Namur, le 26 novembre 1865 - Ixelles, le 2 juin 1945
Docteur en philosophie et lettres (1889), agrégé (1891)

De Mot, Émile

  • BE AULB NA P 0337
  • Personne
  • 1835-1909

Anvers, le 20 octobre 1835 - Bruxelles, le 23 novembre 1909
Docteur en droit (ULB, 1857)

Francqui, Émile

  • BE AULB NA P 0653
  • Personne
  • 1863 - 1935

Orphelin de père et de mère, Émile est élevé par son oncle. A l'âge de 15 ans, son oncle meurt, resté seul, il s'engage à l'école régimentaire afin de continuer ses études. En 1884, il est nommé sous-lieutenant. Il embarquera la même année au Congo où il se met à disposition de l'Association Internationale Africaine.
Premier président de la Fondation universitaire et du Fonds national de la Recherche scientifique.
La Fondation Universitaire et le FNRS offriront un buste d'Emile Francqui à l'Université libre de Bruxelles le 14 février 1936.

Plainevaux, Jean Édouard

  • BE AULB NA P 0197
  • Personne
  • 1920 -

Saint-Nazaire (France), le 28 octobre 1920 -
Ingénieur civil (ULB, 1945)

De Smet, Édouard

  • BE AULB NA P 0483
  • Personne
  • 1842-1925

Bruxelles, le 22 octobre 1842 - Ixelles, le 3 décembre 1925
Docteur en médecine (1866)

Bigwood, Édouard-Jean

  • BE AULB NA P 0057
  • Personne
  • 1891-1975

Bruxelles, 10 septembre 1891 - 11 décembre 1975.
Médecin et biochimiste.
Édouard Jean Bigwood est né en 1891 à Bruxelles au sein d’une famille de la bourgeoisie financière. Il entame des études de médecine à l’Université libre de Bruxelles en 1914 ; néanmoins, l’avènement du premier conflit mondial met un frein à la poursuite de son cursus. Dès lors, il décide de rejoindre en août 1914, l’équipe médicale de l’Ambulance du Palais royal de Bruxelles, un service de soins aux blessés de guerre organisé par la reine Élisabeth et dirigé par le chirurgien bruxellois Antoine Depage . Cette collaboration ne dure que quelques mois ; en effet, il tente en 1915 de s’évader de Belgique mais capturé par les Allemands à la frontière belgo-néerlandaise, il est condamné à 6 mois d’emprisonnement. Une fois l’armistice déclaré, il reprend ses études de médecine et acquiert le grade de docteur en médecine, chirurgie et accouchement avec distinction en mars 1920.
Bigwood entreprend ensuite un séjour d’étude à Paris, au sein du laboratoire du célèbre médecin et bactériologiste français Fernand Widal. En septembre 1920, il est sélectionné par la Belgian American Educational Foundation pour faire partie du premier contingent de post-gradués belges à aller se spécialiser aux États-Unis. Auprès du docteur Walter Walker Palmer, il se forme aux soins hospitaliers et à la recherche en biochimie à l’université John Hopkins à Baltimore puis à l’université Columbia à New-York. Instruit par deux ans de pratique et de recherche médicale en laboratoire aux États-Unis, à son retour à Bruxelles en janvier 1923, il rejoint en tant qu’assistant le service de chimie biologique de l’Université libre de Bruxelles, dirigé par le docteur Auguste Slosse . Quand ce dernier entreprend un séjour académique aux États-Unis en octobre 1923, Édouard Bigwood assure la suppléance de son cours de chimie biologique. En outre, quelques mois plus tard, en juin 1924, il est reçu docteur spécial en sciences biochimiques.
Salué pour la qualité de son travail durant l’absence d’Auguste Slosse, Edouard Bigwood est promu, en novembre 1924, chef de travaux du cours de chimie biologique et pathologique de l’Université. Il obtient la titularisation de ce cours quatre ans plus tard et accède, en juin 1930, à l’ordinariat. La même année, il se voit confier la direction de la chaire de chimie biologique, pathologique et d’hygiène alimentaire. Un an plus tard, il devient directeur du laboratoire de biochimie normale et pathologique. À l’aube de la Seconde Guerre mondiale, il est nommé membre du Comité de l’Institut de Sociologie Solvay et du Conseil scientifique de l’Institut Jules Bordet. Parallèlement à ses activités académiques, il est nommé en 1936 par le ministre de la Santé publique Émile Vandervelde, représentant de la Belgique au sein de deux commissions techniques internationales relatives à la physiologie et à la nutrition de la Section d’Hygiène de la Société des Nations. Apprécié par ses pairs, il est désigné, un an plus tard, expert technique de cette section pour les questions d’alimentation et de physiologie.
Édouard Bigwood est absent lors de la rentrée universitaire de 1940. Le biochimiste se trouve en effet en Haute-Garonne où, sous les auspices de la Croix-Rouge de Belgique, il s’emploie au rapatriement des réfugiés belges. Passé en Angleterre, il demeure, jusqu’en 1943, vice-président du Comité de la Croix Rouge de Belgique à Londres. Il se rend ensuite aux États-Unis et prend part à la conférence de Hot-Springs de 1943, en tant que représentant de la Belgique. Participant également, quelques mois plus tard, à la première réunion du Conseil de l’Administration des Nations unies pour le secours et la reconstruction (UNRRA), il est désigné intercesseur de l’exécutif belge auprès du Département de la Guerre américain, en vue d’organiser le programme d’approvisionnement en matière d’hygiène et d’alimentation de la Belgique prochainement libérée. À partir de 1944, il coordonne, avec les milieux universitaires américains, l’écriture et la publication d’une documentation renseignant les progrès médicaux effectués en Amérique durant le conflit et ce, afin d’actualiser les connaissances et savoirs des responsables de la santé en Belgique. Rentré en Europe durant l’été 1944, Édouard Bigwood reprend ses fonctions académiques et professorales à l’Université libre de Bruxelles. Nommé secrétaire de la Faculté de Médecine et de de Pharmacie en septembre 1944, il devient membre du Conseil scientifique de l’Institut Jules Bordet, du Comité directeur de l’Institut de sociologie et du Comité directeur du Centre de microchimie. En novembre 1946, il est nommé titulaire à la Faculté des Sciences des cours de « Chimie biologique approfondie » et de « physique biologique ». Membre du Conseil d’Administration et du Conseil Académique, il est nommé vice-président de la Faculté de Médecine et de Pharmacie entre 1948 et 1950. À l’automne 1953, il devient recteur pour trois années. Parallèlement, le biochimiste, considéré comme « l’un des plus imminents nutritionnistes médicaux en Europe et dans le monde », demeure éminemment investi dans les hautes sphères diplomatiques et scientifiques internationales. Il offre en effet son concours tant à la FAO qu’à l’Organisation Mondiale de la Santé ; parfois dans des comités conjoints à ces deux organisations.
Désigné pro-recteur entre 1956 et 1959, embrassant de nouvelles charges de cours à la Faculté des Sciences appliquées , Édouard Bigwood accède finalement à l’honorariat en 1961. Déchargé de ses enseignements, il consacre la derrière partie de son existence à la direction du Centre de recherche sur le droit à l’alimentation de l’Institut d’étude européenne.

Bogaert, Édouard

  • BE AULB NA P 0062
  • Personne
  • 1881-1946

Edouard Bogaert fait ses humanités à l’Athénée royal de Bruxelles. Il entame ensuite des études à l’École polytechnique de l’Université libre de Bruxelles où il obtient le titre d’ingénieur des constructions civiles en 1904. Il se rend ensuite à Paris afin de suivre, durant deux années, un cursus d’ingénieur civil des constructions navales à l’École d’application du Génie militaire de France. Rentré en Belgique, il intègre l’Administration de la Marine à Ostende. Conjointement, il rédige sa thèse de doctorat intitulée : « L’effet gyrostatique et ses applications » et est reçu docteur spécial en Sciences mécaniques à l’Université libre de Bruxelles en 1912. Deux ans plus tard, il obtient le grade d’agrégé à la Faculté des Sciences appliquées.
Edouard Bogaert embrasse une carrière professorale à l’Université libre de Bruxelles dès 1912 ,lorsqu’il devient suppléant de Lucien Anspach pour le cours de « Résistance des matériaux ». En 1914, Il est proposé par l’École de Commerce comme successeur d’Albert Lecointe pour la chaire de « Technologie des transports »; il obtiendra la titularisation de cet enseignement en 1917. Quand l’armée allemande envahit la Belgique en août 1914, il reçoit l’ordre de demeurer à Bruxelles où il est chargé des payements clandestins des fonctionnaires de la Marine et du Chemin de fer. En parallèle, il participe à un groupe de réflexion dirigé par Emile Tassel relatif à la réforme des études d’ingénieur. En 1917, se sentant découvert, il décide de passer aux Pays-Bas afin de rejoindre le gouvernement mais est arrêté à la frontière. Détenu à Aix-la-Chapelle puis à Holzminden, Edouard Bogaert est libéré peu après l’armistice en 1918 .
Nommé professeur ordinaire en janvier 1919, il dispense le cours dédoublé de « Mécanique rationnelle » et celui de « Mécanique appliquée ». En 1920, il entame plusieurs séjours à l’étranger, dont un aux États-Unis, en vue d’organiser le nouveau laboratoire de mécanique Lucien Anspach, laboratoire dont il prend la direction en juillet 1921. Parallèlement, Edouard Bogaert est désigné secrétaire de la Faculté des Sciences appliquées et ce, pour trois années. Fort de son expérience et de la confiance de ses pairs, il devient titulaire de la Chaire de mécanique en 1922 ainsi que directeur à mi-temps du laboratoire de Mécanique et d’Hydraulique en 1923 et de la salle des travaux graphiques de mécanique et d’hydraulique en 1924. C’est trois ans plus tard, soit en 1927, qu’il est nommé président de la Faculté des Sciences appliquées, un mandat académique qu’il assume jusque 1930.
À la fin du mandat de Georges Smet en juillet 1932, Edouard Bogaert devient recteur de l’Université libre de Bruxelles pour trois ans. C’est durant son rectorat que sont organisées les célébrations du centenaire de l’Université. Le nouveau recteur participe également à la fondation de la cité universitaire Paul Héger sur le campus du Solbosch, au développement de l’École Supérieure d’Éducation Physique ainsi qu’à la création des bourses Robert de Breyne . Désigné pro-recteur en 1935, il assume de plus la direction du laboratoire de mécanique, hydraulique et technique de la chaleur et de la salle des travaux de mécanique. À la veille de la Seconde Guerre mondiale, il préside la commission de Sécurité et prend part à la commission pour l’étude des publications de l’Université.
En octobre 1939, le recteur Frans van den Dungen est contraint de renoncer temporairement à son mandat afin de répondre à son ordre de mobilisation. Les statuts organiques de l’Université prévoient que le recteur absent doit être remplacé temporairement par le dernier recteur sorti de charge, néanmoins celui-ci est également empêché ; Albert Dustin est en effet aux États-Unis. C’est donc à Edouard Bogaert que revient la charge de rectorat faisant-fonction durant les premiers temps de la guerre . Au retour de van den Dungen en juin 1940, Bogaert est déchargé de sa charge rectorale mais continue néanmoins à prendre une part active au fonctionnement de l’Université durant l’occupation. Il participe à la séance du Conseil d’Administration du 24 novembre 1941 qui, face aux diktats allemands, décide à l’unanimité de suspendre les cours.
Quelques jours plus tard, le 29 novembre 1941, Edouard Bogaert répond à la demande du secrétaire de l’Université de reprendre son enseignement. Dans cette lettre, il rappelle les principes fondateurs de son alma mater et dit qu’il « serait contraire à ma conscience d’apporter mon concours à une transformation de l’Université qui ne serait plus l’institution libre où j’ai été appelé à enseigner » . Quand la Gestapo vient l’arrêter pour l’incarcérer à la forteresse de Huy, l’ancien recteur n’est plus chez lui. Sérieusement malade, il est alité à l’hôpital universitaire. Présent à la réouverture de l’université en juin 1945, il dispense son enseignement durant quelques mois avant que la maladie ne finisse par l’emporter au printemps 1946.

Verschaffelt, Jules-Émile

  • BE AULB NA P 0731
  • Personne
  • 1870 - 1955

Docteur en sciences physiques et mathématiques (Gand, 1893 et Leyde, 1899)

Cogan, Élie

  • BE AULB NA P 0617
  • Personne

Arntz, Égide

  • BE AULB NA P 0297
  • Personne
  • 1812-1884

Clèves (Prusse orientale), 1 septembre 1812 - Bruxelles, 23 août 1884.
Docteur en droit. Avocat

Grégoire, Paul-Égide

  • BE AULB NA P 0430
  • Personne
  • 1901 -

Boom, le 16 mai 1901 -
Docteur en médecine (1927). Professeur de biochimie pathologique

Devroey, Jean-Pierre

  • BE AULB NA P 0028
  • Personne
  • 1950 -

Licencié en Histoire (1973) et docteur en Philosophie et Lettres (1982) de l’ULB.

Professeur d'histoire médiévale et d’histoire économique à l’ULB. Membre de la Classe des Lettres de l’Académie royale de Belgique depuis 2000.

Faculté des Sciences sociales et politiques

  • BE AULB NA C 0015
  • Collectivité
  • 1946 - 2015

La Faculté est créée en 1946 par la réunion de l'École de Commerce Solvay, fondée en 1903, et de l'École des Sciences politiques et sociales (issue en 1899 de l'enseignement spécial des Sciences politiques et sociales qui avait été établi en 1889). Elle sera dotée d'une structure unitaire en 1964.
Elle fusionnera en 2015 avec la Faculté de Philosophie et lettres pour devenir la Faculté de Philosophie et sciences sociales.

De Keyser, Léon

  • BE AULB NA P 0265
  • Personne
  • 1873-1956

5 décembre 1873 - 18 mars 1956.
Docteur en médecine (ULB, 1899)

Foriers, Paul Alain

  • BE AULB NA P 0369
  • Personne
  • 1952 -

Licencié en droit (1974), docteur en droit économique (1996)

Verhaegen, Théodore

  • BE AULB NA P 0250
  • Personne
  • 1796 - 1862

Avocat près de la cour d'appel de Bruxelles.
En 1834, Théodore participe à la fondation de l'Université libre de Bruxelles. Il y donnera des cours de droit. Il est également bourgmestre de Watermael-Boitsfort.

Brouwers, Dieudonné

  • BE AULB NA P 0073
  • Personne
  • 1874-1948

Historien belge et archiviste général des Archives de l'État en Belgique de 1935 à 1939.

Wilkin, Alexis

  • BE AULB NA P 0749
  • Personne
  • 1977 -

Docteur en histoire (ULiège, 2006)

Scalia, Damien

  • BE AULB NA P 0754
  • Personne
  • 1980 -

Licence de droit (Grenoble, 2001), Maîtrise de droit européen / droit international public (Fribourg, 2002), Doctorat en droit (international) pénal (Genève et Paris-Nanterre, 2009)

Rea, Andrea

  • BE AULB NA P 0374
  • Personne
  • 1959 -

Licence en sciences sociales (1982) et docteur en sociologie (2000)
Fondateur du Groupe de recherche sur les Relations Ethniques, les Migrations et l’Egalité (GERME) de l’Institut de Sociologie. Spécialisé dans l’étude des politiques migratoires et d’intégration, des inégalités sociales dans le domaine de l'éducation, de l'intégration professionnelle des jeunes sur le marché de l'emploi et des pratiques et politiques d'inclusion sociale.

Metzger, Francis

  • BE AULB NA P 0377
  • Personne
  • 1957 -

Watermael-Boistfort, le 22 octobre 1957 -
Diplômé de l'Académie des beaux-arts, discipline architecture (1982)

Gurdjian, Pierre

  • BE AULB NA P 0350
  • Personne
  • 1961 -

Wilrijk, le 8 février 1961 -
Ingénieur commercial (VUB, 1984)

Vandermotten, Christian

  • BE AULB NA P 0758
  • Personne
  • 1944 -

Docteur en sciences géographiques et licencié en urbanisme.

Carner i Puig-Oriol, Josep

  • BE AULB NA P 0687
  • Personne
  • 1884-1970

Né le 9 février 1884 à Barcelone et mort le 4 juin 1970 à Bruxelles, Josep Carner est un poète, journaliste, dramaturge et traducteur espagnol d'expression catalane.
Il entre à l'université de Barcelone en 1897. Il obtient une licence en droit et en philosophie. Il collabore aux revues Montserrat et L'Atlàntida et dirige la revue Catalunya (1903-1905 puis 1913-1914) et Empori (1907-1908).
Il se marie avec Emilie Noulet en seconde noce.

Delève, Ernest

  • BE AULB NA P 0688
  • Personne
  • 1907-1969

Né à Ixelles le 13 octobre 1907 à Ixelles et décédé le 14 août 1969 à Ransart.
Il fait ses études secondaires à l’Athénée de Schaerbeek et achève ses études de droit à l’Université libre de Bruxelles où il se lie d’amitié avec Edmond Kind.

Demblon, Célestin

  • BE AULB NA P 0689
  • Personne
  • 1859-1929

Né le 9 mai 1859 et décédé le 13 décembre 1924 était un homme politique, enseignant et écrivain socialiste belge, connu pour ses opinions anticléricales et sa promotion de la culture wallonne francophone. Il était également un écrivain créatif dans la tradition symboliste et l'auteur de livres sur une variété de sujets, notamment la question de la paternité de Shakespeare.

Billen, Henri

  • BE AULB NA P 0762
  • Personne
  • 27 janvier 1918 - 16 août 2014

Bruyneel, André

  • BE AULB NA P 0763
  • Personne
  • 1941-présent

Avocat au Barreau de Bruxelles, professeur à la Faculté de Droit et à la Solvay Brussels School of Economics and Management.
André Bruyneel a obtenu le diplôme de docteur en Droit à l'Université libre en 1964, il a ainsi pu débuter sa carrière de pédagogue, d'abord comme assistant à la Faculté de Droit. Le même année il a reçu le prix René Marcq. En 1968 il a accompli les études de Master of Law à Harvard Business School. En 1971 André Bruyneel a intégré le corps professoral de l'Université libre de Bruxelles. En 1995-1998 l'Union des Anciens étudiants l'a nommé titulaire de la Chaire d'Ethique des affaires dont les cours ont été délivrés aux étudiants de l'Ecole polytechnique et le Solvay Business School. A partir de ce moment, il est devenu professeur aussi à la Solvay Business School, ou il a été nommé titulaire du cours de Droit financier.
André Bruyneel était un étudiant actif et engagé. En 1962-1963 il présidait le Cercle de Droit. Il était le membre actif aussi du Cercle de Libre examen. Sa vision de la question du libre examen, appelée Motion Bruyneel, a engendré beaucoup de discussions en 1963.

Bourdeau, Philippe

  • BE AULB NA P 0765
  • Personne
  • 1926 -

Rabat, le 25 novembre 1926 -
Ingénieur agronome (Faculté des Sciences agronomiques de Gembloux, 1949).

Louault, Frédéric

  • BE AULB NA P 0736
  • Personne

Doctorat en sciences politiques (Institut d'études politiques de Paris, 2011)

Jaspers, Jürgen

  • BE AULB NA P 0769
  • Personne

Doctorat en langues germaniques (Université d'Anvers, 2004)

Philixte, centre de recherche Études philologiques, littéraires et textuelles

  • BE AULB NA C 0095
  • Collectivité
  • [2017]

Le Centre appréhende les textes comme des objets complexes et étudie le « littéraire » dans son acceptation la plus large, selon des approches caractérisées par leur dimension comparatiste et pluridisciplinaire. En s’attachant à l’explication de textes et à leur contexte de production, elle aborde les domaines traditionnels de l’étude de la langue et de la matérialité du texte mais elle s’ouvre également au renouvellement des disciplines des sciences humaines.

Centre interdisciplinaire d'étude des religions et de la laïcité

  • BE AULB NA C 0024
  • Collectivité
  • 1965 -

Le Centre puise ses racines dans la création à l’ULB de la chaire d’histoire des religions, occupée dès 1884 par Eugène Goblet d’Alviella, l’une des premières du genre dans le monde, puis la mise sur pied de l’Institut d’Histoire du Christianisme (1965) et de son successeur, l’Institut d’Etude des Religions et de la Laïcité (1984), devenu CIERL en 2003.

Louis, Vincent

  • BE AULB NA P 0772
  • Personne

Licence en philologie romane (Ulg, 1987), doctorat en philosophie et lettres (Ulg, 2001)

Hallin, Marc

  • BE AULB NA P 0778
  • Personne
  • 1949 -

Licence en Sciences mathématiques (Ulb, 1971), Licence en Sciences actuarielles (Ulb, 1972), Doctorat en Sciences (Ulb, 1976)

Weil, Philippe

  • BE AULB NA P 0777
  • Personne

Doctorat en économie (Harvard University, 1985)

Legros, Patrick

  • BE AULB NA P 0780
  • Personne
  • 1958 -

Licence de Sciences économiques et de gestion (Paris XII, 1978)

Kirchsteiger, Georg

  • BE AULB NA P 0781
  • Personne

Doctorat en économie (Universität Wien, 1993)

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