Les Amis de la Bulle crée un journal satirique en 1959 "La Bulle" par deux étudiants en droit de l'ULB.
Créé au départ pour se moquer de l'affichage des Macchas, l'Ordre a perduré ...
Leur chant est "Le plaisir des dieux"
Groupement catholique d'étudiants non exclusivement inscrits à l'ULB.
Leur chant est "Les fraises et les framboises" et leur journal "Le Pantagruel" et les couleurs de leur penne sont bordeau et bleu
En 1937, Eugène Dhuicque propose la création d'un Institut d'urbanisme qui formerait dans une discipline commune des architectes, des ingénieurs, des administrateurs. Son projet est accepté. L'Institut est inauguré en 1937 et placé sous sa direction. En 1962, le programme d’étude est étendu à l’aménagement du territoire et l’Institut renommé Institut d’Urbanisme et d’Aménagement du Territoire (IUAT). En 1969, une collaboration est initiée entre l’ULB et l’Institut Supérieur d’Architecture Victor Horta. En 1974, un programme de
doctorat est créé transformant l’IUAT en une unité de recherche. En 2006 l’IUAT intègre le département BATir. En 2008, après la réforme de Bologne, le programme devient un master complémentaire en urbanisme et aménagement du territoire, récemment (2015) changé en master de spécialisation. Depuis 2017, ce nouveau master en urbanisme de la transition est proposé conjointement par la Faculté d’Architecture et l’Ecole Polytechnique.
L’Institut du Travail est fondé à l’ULB, le 25 juin 1955 par Madeleine Gevers-Dwelshauvers, Léon-Eli Troclet (ministre du travail à l’époque), Michel Magrez et Louis Duchatelet. L'institut a pour but de former les cadres supérieurs des pays en voie de développement en développant la connaissance et l’enseignement universitaire du droit social et de la sécurité sociale en droit international, en droit comparé et en droit interne.
En 2004, l'Institut devient l'Institut des sciences du travail.
Institut voué à l'étude multidisciplinaire du travail humain, sur le modèle du Bureau international du travail (BIT) en tentant de lier les diverses disciplines impliquées dans l'étude de l'activité humaine.
Quatre sections de recherche et enseignement furent créées par L. Troclet (droit et sociologie du travail), J.M. Faverge (problèmes humains du travail), F. Waleffe (problèmes du travail dans les pays en développement) et M. Millet (licence spéciale en médecine du travail).
Le centre est fondé par Gilbert Hottois et Charles Susanne en 1987.
Sa mission est d’étudier les problèmes à dimension historique, éthique et philosophique suscités par le développement des sciences et des techniques de la vie et de la santé : éthique biomédicale, éthique appliquée, histoire et philosophie de la médecine, éthique environnementale, éthique des biotechnologies, neuroéthique, éthique de l’enhancement, etc.…
Créé par Nathan Dullier en 2021.
Le CFULB a pour objectif de combattre le sexisme et toutes les autres formes que prend l’inégalité, (racisme, classicisme, validisme, transphobie, putophobie, grossophobie, …) à l’université comme en dehors.
Marie Hélène de La Forest Divonne fonde la Galerie Vieille du Temple en 1988 et c'est en 2015 qu'elle adopte le nom de Galerie Forest Divonne lors de son déménagement vers la rue des Beaux-Arts au cœur de Saint Germain des Prés. Un nouvel espace voit le jour en 2016 à Bruxelles, celui-ci est dirigé par son fils Jean de Malherbe.
La Patinoire Royale, Galerie Valérie Bach a ouvert ses portes en avril 2015. Le bâtiment qui l'abrite est la première patinoire à roulettes mondiale construite en 1877 et classée monument historique en 1995.
L'Institut de phonétique change de nom en 1994.
L'Institut des Langues vivantes et de Phonétique a pour objets l'étude scientifique du langage, celle de la linguistique appliquée et les enseignements qui leur sont liés.
En 2004, l’Institut est supprimé en tant qu’institut autonome et ses formations sont intégrées aux programmes des facultés.
Almine Rech est une galériste française spécialisée en art contemporain. Elle ouvre sa première galerie à Paris en 1989, dans le Marais, en collaboration avec Cyrille Putman. Elle ouvre ensuite des galeries à Bruxelles (2007), Londres, New-York, Shangai.
Elle crée avec son mari Bernard Picasso, la Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte (FABA) en 2002. Une fondation de droit espagnol qui s'occupe d'étudier l'œuvre de Picasso.
Centre de recherche interdisciplinaire, l'Atelier rassemble des chercheurs en histoire, en sociologie et en science politique travaillant sur le genre et la sexualité.
Initialement fondé en 2005 en tant qu’espace de débat et d’échange sur les études sur le genre et la sexualité au sein du paysage académique belge, à l’initiative de Cathy Herbrand, David Paternotte, Annalisa Casini et David Berliner, le centre acquiert une importante renommée tant nationale qu’internationale. L'actuel AGS poursuit cette politique de collaboration autant avec des partenaires académiques issus de l’ULB (notamment via Striges, la Structure de recherche sur le genre, l’égalité et la sexualité de la Maison des Sciences Humaines de l’ULB) comme d’autres universités (notamment via Sophia, le réseau belge des études de genre), mais aussi avec des acteurs de la société civile.
Le Groupe mène des recherches et encadre des thèses dans le domaine de la sociologie et de la culture.
En 1986, ce groupe était un séminaire de recherche interdisciplinaire (GRESA), mais, depuis 2003, sous la direction de Daniel Vander Gucht, il devient le GRESAC.
Avec l'appui de l’Université Charles de Prague, le Centre a pour vocation de favoriser la connaissance de la culture, de la langue et de la civilisation tchèques.
Elle regroupe les licenciés et les docteurs en chimie, mathématique, physique, sciences de la terre et environnement, biologie des organismes, biologie moléculaire, géographie, informatique ainsi que les ingénieurs agronomes et les ingénieurs chimistes et des bioindustries (maintenant regroupés sous l'intitulé unique de bioingénieurs)
L'association soutient la recherche, l'enseignement et la propagation des Sciences en participant, en soutenant financièrement ou en mettant en place des initiatives dans ce sens, notamment « Le Printemps des Sciences », et les Olympiades de biologie, chimie, physique, mathématique. Elle alloue annuellement un prix, sous le nom de "Prix AScBr", à un étudiant dont le mémoire de fin d'études, tout en étant d'un haut niveau scientifique, présente une ouverture originale d'application pratique ou théorique vers le monde extérieur.
Né du mouvement de Mai 68, Robert Fuss fonde UUU, groupe mao-spontex dont l’ancrage se situe pour l’essentiel à l’Université Libre de Bruxelles.
Ce mouvement, essentiellement universitaire de la gauche radicale à Bruxelles, allait regrouper, au fil des mois, des intellectuels révolutionnaires, des représentants de la gauche étudiante, jusqu’alors inorganisée, des syndicalistes étudiants issus de l’UES (Union Étudiante Syndicale), et des militants, issus du parti communiste dit «pro-chinois» ou «PC-Grippa»
En 1971, après avoir été traversé par de rudes débats, UUU finit par éclater en deux groupes distincts. Les tenants du spontanéisme se retrouvèrent dans La Parole au Peuple (PAP), alors que l’autre tendance, marquées par l’expérience de la GRCP en Chine et confronté à l’impérieuse nécessité de fonder un Parti d’avant-garde en Belgique, donnera naissance à Tout le Pouvoir aux Travailleurs. Ces groupes fusionneront eux-mêmes avec d'autres groupes.
Mouvement étudiant de l'Université libre de Bruxelles.
Centre créé sous la forme d’une asbl liée par convention à la Faculté des Sciences Psychologiques et de l’Education de l’Université Libre de Bruxelles.
Suite à l'installation de l'ULB au Solbosch, l'ASBL se proposait d'apporter une aide matérielle et morale au développement de la Bibliothèque de l'Université Libre de Bruxelles. La situation ayant évolué, l'Association se veut désormais l'amie de l'ensemble du réseau des bibliothèques de l'Université. Elle organise des activités culturelles autour du monde du livre et des bibliothèques, finance des acquisitions d'ouvrages et participe à des travaux de restauration pour le compte de la réserve précieuse.
Créé à l’initiative du professeur Jean Teghem, le Conseil de l’Education Permanente de l’Université libre de Bruxelles (CEPULB) est l’une des premières universités ouvertes à toutes et tous, sans diplôme prérequis ou limite d’âge imposée.
En 2011, le Conseil sera complété par l'Université Inter-Âges.
Présidé par le recteur ou la rectrice, le Conseil académique définit et exécute la politique académique et scientifique de l’Université : enseignement, recherche, relations internationales, formation continue, etc. Il nomme aux emplois du corps académique et du corps scientifique. Il est composé de vingt-six membres.
Le Centre a d’abord existé en tant que section juridique de l’Institut d’Études Européennes. Il existe en tant que Centre rattaché à la Faculté de droit et de criminologie depuis 2015.
Fondé au début des années 1960 par le Prof. Luc de Heusch, l’un des fers de lance du structuralisme et spécialiste du monde bantou. Le Centre est spécialisé dans les domaines de l’anthropologie religieuse, de l’anthropologie de l’environnement, de l’anthropologie historique, de la technologie culturelle et de l’étude des cultures matérielles. Ses terrains d’enquête sont localisés principalement en Afrique, en Asie et en Amérique du sud, tant dans le monde rural qu’en milieu urbain.
Fondée en 1960 par Isy Brachot II, sur les cendres de la galerie « L’Art Belge » de son père (Isy Brachot I), la galerie Isy Brachot, dès les années 1960, se spécialise dans l’art moderne et contemporain et expose des artistes tels que Dali, Ensor ou Picasso. Isy Brachot III et sa femme Christine Duchiron reprennent la galerie à la mort d’Isy Brachot II en 1967. Ensemble, ils ouvrent la galerie à des artistes toujours plus contemporains. Isy Brachot III étend également l’œuvre de ses prédécesseurs en ouvrant trois autres galeries, à Knokke-le-Zoute (1971-1979), Paris (1978-1993) ainsi qu’une deuxième galerie à Bruxelles en 1989.
Spécialiste de René Magritte, Isy Brachot III réalisera plus de 30 expositions sur l’artiste surréaliste dans ses galeries, entre 1968 et 1995. Épaulé par son épouse, qui elle-même ouvrira certaines galeries à Bruxelles (Rue Villa Hermosa) et à Paris (Rue Mazarine), le galériste s’intéresse également à l’Hyperréalisme, l’art conceptuel et le Pop Art, organisant des expositions de Panamarenko et Roman Opalka. De plus, la galerie participe également à de nombreuses expositions internationales, de Madrid à Miami, et s’associe couramment avec d’autres galeries étrangères (Maeght (Paris), Krugier (Genève), Pace (New-York) …).
En parallèle à ses fonctions au sein de sa galerie, Isy Brachot III préside 10 ans durant l’Union Professionnelle des Marchands d’Art Moderne et Contemporain. De plus, après 10 ans de vice-présidence, il mène, pendant un an, la Chambre Belge des Experts en Œuvres d’Art. En 1993, Isy Brachot III procède à la liquidation volontaire de sa galerie. Désormais, ses enfants, Laure, Isadora et surtout Isy Gabriel Brachot perdurent l’héritage de leur père avec leurs galeries personnelles respectives.
Ordre folklorique louvaniste faisant partie de l'Ordre national belge
D'abord connu sous le nom de Nederduitsch Taalminnend Genootschap Schild en Vriend (Société des amoureux de la langue néerlandaise Schild en Vriend), le cercle, après de nombreuses refondations, devient Geen taal, geen vrijheid. Association qui a fait office de groupe de pression flamand et libéral aux XIXe et XXe siècles. Le GTGV prendra plus tard le nom de Brussels Studentengenootschap