"Une libre expression assumée et constructive, un attachement immodéré au tissu social bruxellois et un amour sans borne pour la diversité musicale et culturelle"
BXL 92.1
Suite à une donation faite par M. Robert Werner (Fondation Werner), le Conseil d'Administration de l'Université, en sa séance du 29 novembre 1930, crée l'Institut. L'objet sera l'étude de l'histoire et des langues des peuples de l'Asie antérieure et de l'Egypte jusques et y compris l'époque byzantine.
D'abord Institut de philologie et d’histoire orientales, il fusionnera peu après avec la chaire de langues et de littératures slaves pour former l’institut de philologie et d’histoire orientales et slaves (IPHOS)
Le CFULB a pour objectif de combattre le sexisme et toutes les autres formes que prend l’inégalité, (racisme, classicisme, validisme, transphobie, putophobie, grossophobie, …) à l’université comme en dehors.
La galerie FIFTY ONE est spécialisée dans la photographie d'art et les œuvres sur papier.
Depuis sa fondation en 2000, la galerie se concentre sur la photographie des 20e et 21e siècles (vintage, classique, mode, africaine et contemporaine).
En 2014, un nouvel espace galerie a ouvert ses portes : FIFTY ONE TOO.
En 2018, la galerie a lancé '28 Vignon Street'; une nouvelle plateforme d'art en ligne qui répond à l'évolution en ligne du marché de l'art.
En 2020, Gallery FIFTY ONE a célébré son 20e anniversaire, une période au cours de laquelle la galerie a pu se forger une forte notoriété et un public (inter)national.
L’Institut du Travail est fondé à l’ULB, le 25 juin 1955 par Madeleine Gevers-Dwelshauvers, Léon-Eli Troclet (ministre du travail à l’époque), Michel Magrez et Louis Duchatelet. L'institut a pour but de former les cadres supérieurs des pays en voie de développement en développant la connaissance et l’enseignement universitaire du droit social et de la sécurité sociale en droit international, en droit comparé et en droit interne.
En 2004, l'Institut devient l'Institut des sciences du travail.
Institut voué à l'étude multidisciplinaire du travail humain, sur le modèle du Bureau international du travail (BIT) en tentant de lier les diverses disciplines impliquées dans l'étude de l'activité humaine.
Quatre sections de recherche et enseignement furent créées par L. Troclet (droit et sociologie du travail), J.M. Faverge (problèmes humains du travail), F. Waleffe (problèmes du travail dans les pays en développement) et M. Millet (licence spéciale en médecine du travail).
Les archives du Comité National Palestine (CNP) sont le témoignage d’un activisme politique convaincu explosant durant les années 1970 à la suite des contestations de Mai 68. Cela se notifie notamment par la création et par la diligence de mouvements de solidarité envers le Tiers-Monde comme, par exemple, avec la Palestine. En outre, les activités du CNP rapportées dans ces archives illustrent bien l'animation politique et culturelle des années 1970 dans les milieux immigrés de solidarité où la Nouvelle-gauche (tel que le marxisme-léninisme) est présente en proposant des expositions, des projections de films révolutionnaires, des foyers culturels populaires en Belgique, principalement à Bruxelles.
Au final, par sa communication, par sa documentation et par ses échanges sociaux, le CNP représente une idéologie et un activisme politique spécifique de solidarité existant, d’un point de vue plus large, en Belgique mais aussi dans d’autres pays d’Europe.
Le Comité National Palestine est un mouvement de gauche anti-impérialiste et devient, en Belgique, un des principaux relais des partis de la guérilla palestinienne et du Croissant Rouge palestinien. Créé en 1969 par plusieurs activistes réputés – comme l’avocat marxiste Luc Somerhausen – le CNP est conçu, au départ, comme une plateforme pluraliste. Cependant, en 1970, le flambeau du Comité est repris par des activistes marxistes-léninistes dont les plus actifs sont, notamment, Luc Daniel Dupire et Yvonne Sterk. Dès cette époque, le CNP connaît des dissensions avec d’autres comités, considérés comme des rivaux, car ces derniers dépeignent le Comité National Palestine comme groupusculaire.
Le 15 décembre 1976, des dirigeants du CNP décident de dissoudre le Comité, principalement en raison de désaccords sur le futur de la révolution palestinienne à la suite du discours de Yasser Arafat fait à l’ONU et, par conséquent, à la nouvelle orientation prise par l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) dès 1974.
Le Groupe mène des recherches et encadre des thèses dans le domaine de la sociologie et de la culture.
En 1986, ce groupe était un séminaire de recherche interdisciplinaire (GRESA), mais, depuis 2003, sous la direction de Daniel Vander Gucht, il devient le GRESAC.
Centre de recherche interdisciplinaire, l'Atelier rassemble des chercheurs en histoire, en sociologie et en science politique travaillant sur le genre et la sexualité.
Initialement fondé en 2005 en tant qu’espace de débat et d’échange sur les études sur le genre et la sexualité au sein du paysage académique belge, à l’initiative de Cathy Herbrand, David Paternotte, Annalisa Casini et David Berliner, le centre acquiert une importante renommée tant nationale qu’internationale. L'actuel AGS poursuit cette politique de collaboration autant avec des partenaires académiques issus de l’ULB (notamment via Striges, la Structure de recherche sur le genre, l’égalité et la sexualité de la Maison des Sciences Humaines de l’ULB) comme d’autres universités (notamment via Sophia, le réseau belge des études de genre), mais aussi avec des acteurs de la société civile.
Les travaux du centre portent sur l’histoire de la musique et son langage du Moyen-âge à nos jours, qu’il s’agisse des traditions occidentales ou extra-européennes, et des cultures savantes ou populaires.